Le Tourisme Culturel Istorique Dans la Ville de Constanța

MÉMOIRE DE MAITRISE

Le tourisme culturel-istorique dans la ville de Constanța

Candidat – Zontea Alina

Professeur Coordonnateur – Grozavu Adrian

Iași, iulie 2016

Table des matières

I. Introduction

I.1 La motivation de choix du thème

I.2 L’historique de la recherche sur le sujet et la zone d'étude

I.3 Méthodologie de travail

I.4 L’emplacement et les conditions géographiques générales de la ville de Constanta

II. Le potential touristique culturel-historique de la ville de Constanta

II.1 Considérations générales concernant le tourisme culturel-histoique en Roumanie

II.2 Bref historique de la ville de Constanta

II.3 Potentiel touristique culturel-historique de la ville de Constanta

Objectifs culturels-historiques

-Vestiges archeologiques

-Objectifs architecturaux

– Musées

-Monuments

La culture materielle et spirituelle

-Coutumes et traditions

Personnalités marquantes de la ville de Constanta

III. La valorisation du potentiel touristique culturel-historique de la ville de Constanta

III.1 L'état actuel de la valorisation du potentiel touristique culturel-historique

La promotion du tourisme culturel-historique

L’infrastructure

Foires, expositions, festivals, manifestations folkloriques

La dynamique du nombre de touristes

III.2 Perspectives de développement du tourisme culturel-historique dans la ville de Constanta

Stratégies de promotion touristique

Le développement et la diversification des infrastructures et des services touristiques

Projets de développement touristique

La protection et la conservation des ressources touristiques

Conclusions

Bibliografie

LISTES DE FIGURES

LISTES DE TABLEAUX

RÉSUMÉ

Dans cet projet, on parle sur le tourisme culturel-historique de Constanta, ainsi, le premier chapitre présente quelques faits sur le rôle et l'importance du tourisme dans l'économie roumaine. Dans le deuxième chapitre, on parle du tourisme culturel-historique, mais pas seulement en ce qui concerne Constanta, si non à l'échelle nationale. Le troisième chapitre présente une brève description et les données physiques et géographiques sur Constanta. Le quatrième chapitre acquiert en vigueur l'objet de ce projet, en traitant les parties componentes du tourisme culturel, ainsi que le chapitre V, mais sur la thème du tourisme historique. En ajoutant un plus et une point d’ attraction pour ce projet, selon mon opinion, le chapitre VI est livré avec des informations intéressantes sur certaines personnalités du Constanta. Le septième chapitre présente des propositions pour la récupération, la modernisation et la promotion du potentiel existant à Constanta. Le document se termine par des conclusions.

I.INTRODUCTION

Je fais cette petite introduction parce-que j’ai visite en plusieurs reprises la ville de Constanta, et j’ai testé la Roumanie avec des yeux de tourist. Une chose compliquée vous pouvez dire, mais comme il est compliqué, car il est intéressant.

Constanța est l'une des plus grandes villes de Roumanie, le port le plus important du pays et aussi l'étape la plus intéressante du littoral roumain, permettant de mêler la plage et la culture. Une architecture riche, des vestiges grecs et immeubles contemporains en passant par l'héritage ottoman et les constructions du XIXe siècle. 

Ville portuaire, ville de brassage, ville balnéaire, la ville de Constanța est multiple, éclectique. Comme d’autres grands centres urbains en bord de mer, son emplacement géographique a forgé sa personnalité. J’ai surtout voulu dénicher la « vraie » Constanța, celle que l’on connaît moins bien, son histoire enfouie, ses gens de toujours, ce qui la fait vraiment vivre.

Constanta, la troisième ville du pays, peut être le prétexte d'une escapade pour ses trésors archéologiques et l'atmosphère de son vieux centre. Constanta est maintenant un important centre culturel et économique, et elle mérite d’être étudiée pour ses trésors archéologiques et de l’atmosphère de la vieille ville. C’est aujourd’hui une ville animée et touristique, qui attire les passionnés de culture : on y trouve des vestiges antiques et des exemples d’architecture byzantine, islamique et orthodoxe. 

À première vue, Constanta semble avec un méli-mélo de vieux bâtiments en mauvais état. Au deuxième vue, cependant, même un yeux non averti peut voir que la ville possède un potentiel touristique et les efforts spécifiques sont timides pour soulever le tourisme.

Constanta est un ville effervescente qui allie l’histoire millénaire avec le modernisme. Constanta detient une activité industrielle, commerciale et touristique d'importance nationale. Voici le plus grand port de la Roumanie et le quatrième en Europe, au sein de laquelle opère le chantier naval, l'un des plus grands après les numéro des navires construites et réparées. Constanta vous accueille à bras ouverts, avec beaucoup de charme et des endroits surprenants. Il est une ville qui célèbre le multiculturalisme, une ville dans laquelle la civilisation orientale se réunit et se mélange avec l'Occident pour créer un esprit spectaculaire et animée. Constanta est la deuxième ville la plus importante en Roumanie, port et ville touristique qui doit etre visite en été et en hiver, le printemps et l'automne. Donnez-vous le temps de visiter et de découvrir la vieille ville, les ports de Constanta, les bâtiments avec leurs histoires, les monastères et les vestiges romains dans toute le territoire de Dobrogea et le dernier mais non le moindre, prennent le temps de connaître les gens, leurs habitudes, leur traditions. Ne partez pas avant de goûter la tarte specifique du Dobrogea, les poissons d'eau salée et d'autres plats préparés dans les cuisines de Dobrogea.

Encore une fois, mon objectif n’a pas été de faire un guide sur la ville, il y a bien des lieux que j’ai omis de citer. L’idée était de la sentir, d’y découvrir des choses, tout en rappelant les grands traits de caractère du premier port de la mer Noire. Bonne lecture !

I.1 La motivation du choix du thème

Avant de passer à discuter les idées proprement-dites, je dois dire qu'il a été un certain temps, peut-être un peu plus longtemps quand j’eu pour Constanta, un comportement tout à fait indifférent. Lorsque je vis le navire de l’entree dans la ville, j’etais déjà dans l'atmosphère d’été et je marchait à travers la ville avec nonchalance, pressé pour le desir de toucher le sable, la mer. Et je ne pense pas que je suis la seule pour laquelle la ville de Constanta signifiait divertisement sur le bord de la mer.

Personne ne dit qu'il est mauvais ou quelque chose de néfaste voir cette face du Constanta. Mais il serait injuste de voir tout cela. Dans le temps, j’ai découvert que cet endroit a beaucoup d'attractions pour le voyageur curieux.

En outre, le territoire de Dobrogea est une terre qui, au cours des dernières années, de plus en plus me fascinait et je commençais à découvrir au-delà de l'étoile principale, la mer. Et, presque imperceptiblement avec une dose d'ironie, facile, facile, Constanta a commencé à représenter quelque chose de plus, beaucoup plus, que la mer. Bien sûr, la mer, aura toujours sa place dans mon cœur. Mais je, en arrivant a la mer, je commençais à transformer progressivement les jours, une fois destinés uniquement por la mer, en voyages à travers Constanta. Si jusqu'à présent quand j’ arrivais a la mer, je preferais de me detendre sur la plage (en aimant la combinaison l'eau + soleil + sable), aujourd’hui je veux connaitre aussi les gens, les lieux et partir avec quelque chose interesante de ces visites.

Pourquoi dois-je penser a un potentiel touristique?

Parce qu'il a un mélange intéressant de la nature (de mer et de plages), l'histoire (riches vestiges archéologiques de la région), religion et culture (Turcs et Arabes ou les musulmans et les orthodoxes) et bien sûr, la vie nocturne. Si vous ajoutez aussi le port de Tomis ou vienent des navires de croisière et qu’il y ait une zone d'ancrage pour les yachts, je pense qu'ils sont des motifs suffisants pour démontrer qu'elle a du potentiel.

Constanta est la plus ancienne ville habitée en Roumanie. Il est une municipe importante et un centre culturelle, économique et sociale. En concernat le nombre d'habitants, il est possible que deux grandes centres universitaires du pays la surmonte en raison du grand nombre d'étudiants. Constanta est la capitale du departement de Constanta, la plus grande ville dans l'ensemble de Dobrogea et du développement de la région du Soud-Est. Constanta est le lieu de prédilection pour des vacances d'été.

Comme un touriste, l'objectif principal est la mer et la plage. Mais même si vous essayez, vous ne pouvez pas passer tout votre temps sur la plage. Donc, entre deux bains de soleil, une promenade est bienvenue. Vous pouvez allez à la place Ovidiu, dans la zone péninsulaire de Constanta, avec le désir de promenade sur la falaise du Casino. Sur le chemin, on trouve le Musée d'Art, le Musée d'Art populaire et le Musée d'Histoire et d'Archéologie et si vous êtes dans un de ces jours dan lequel la curiosité est un des facteurs dominants, vous ne pouvez pas résister à la tentation d'entrer. De les éscaliers du musée d'histoire, on voit la hausse tour de la mosquée et c’est ne pas necesaire d'avoir une imagination extraordinaire pour se rendre compte que vous ne pouvez pas vous permettre de manquer une chance de regarder Constanta là-haut. Après cela, vous avez le choix entre une promenade en bateau sur la mer ou sur la promenade du du casino avec l'aquarium et un plongeon dans la mer, à la plage moderne situé à proximité. Avec la tombée du jour, le parc à thème dans le village de vacances, les terrasses, restaurants, clubs et discothèques proposent une large gamme de services.

I.2 L’historique de recherche sur la ville de Constanta

L’ancienneté des enquêtes menées sur la ville de Constanta est l'une importante. Les travaux qui ont été publiés dans le passé, ont eu une importance considerable.

Les premières informations sur le litoraux de la mer noire datent de l'antiquité, à travers les œuvres des importants grecs et romains : Hérodote, Eratosthenes, Aristote, Ovidiu, Strabon, Ptolémée, Memnon. Leurs notes sont géographiquement limités, dans la forme des notes sommaires du voyage.

Les informations les plus importantes liees a la ville de Constanta sont joués par le poète romain Ovidiu, exilé à Tomis entre 9 et 17 de notre ère, dans son « Tristele et Ponticele ». On retrouve dans ces œuvres, nombreuses actualités relatives au territoire et population de la ville, la vie et l'activité économique.  Bien que dans ses paroles il y a aussi certaines exagérations en ce qui concerne les conditions naturels et de la vie quotidienne des habitants, ces œuvres restent des documents précieux pour les recherches géographiques.

Au moyen-âge, les préoccupations géographiques sur cette ville ont etes relativement rares tant en nombre qu’en importance. On peut citer quelques notes sporadiques et laconiques de chroniqueurs, ou quelques informations plus amples des géographes, Baudrand (1682) ou Wagner (1684) et les comptes des voyageurs qui ont visité ces lieux.

Beaucoup de ces voyageurs sont remarquables, comme Ewlia Celebi, fournissant des informations précises et précieuses sur les différents lieux qu'elle a visité, y compris la ville de Constanta. Ces documents contiennent des références importantes sur l'état de l'ère économique sociale, ce qui contribue à la connaissance de la ville et des principaux facteurs qui ont contribué à son développement.

Pendant les 17e-19e siècles, avec l'intensification des liens commerciaux et économiques entre les pays, apparaissent aussi des descriptions géographiques de la ville de Constanta, beaucoup plus riches en observations et avec un large éventail de dates et des problèmes avec caractère géographique.

Un pionnier de la recherche scientifique moderne et un ouvreur des nouvelles perspectives dans la recherche monographique de cette région, est Ion Ionescu de la Brad, qui dans son opéra: «Voyage dans la plaine de Dobrogea» offre une source d’informations géographiques. Cette étude, le résultat de voyages de l'auteur en Dobrogea dans l'année 1850, traite des problèmes variées de géographie, fondée sur des documents et des données officielles, ayant une valeur scientifique et un grand documentation.

À la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, une nouvelle et précieuse source documentaire est donnée par Ion Ionescu Dobrogean. Ethnographe et géographe, il capte dans son travail différents aspects du développement et de l'histoire de Constanta. Le travail le plus important est "Dobrogea au seuil de l'âge du XXe siècle", décerné par l'Académie Roumaine en 1906, ce qui représente une synthèse des études et des articles jusqu’au ce moment.

Avec les études mentionnées, apparaît aussi le «Grand Dictionnaire géographique de la Roumanie » et monographies des départements qui élargissent l’horizon de connaissance de régions du pays, et bien sûr, la ville de Constanta avec sa région.

Des importantes aspects physiques et géographiques, économiques et politiques sont offerts par un travail monographique: « Dictionnaire géographique de la ville de Constanta », développé par Gr. Danescu en 1897.

En 1932, Grigore Antipa a fondée en Constanta l’Institut bio-océanographique.

Aussi à la fin du XIXe siècle, la région en cause, capture l’attention de plusieurs géographes et géologues et parmi eux, notamment C.Bratescu (1884-1947), qui traite de diverses thèmes et problèmes de la ville économique, sociale et culturel de Constanta. Il est préoccupé par l'évolution des rives de la mer Noire entre Constanta et Schitu Costinesti, en relation avec les oscillations du niveau de la mer Noire, analysant de nombreux profils en détail sur les falaises de la mer. Il apporte une contribution importante à l'étude de la genèse et la propagation de loess autour de Constanta.

Son travail principal est "La Terre du Dobrogea", qui est une synthèse réussie de ses recherches en géographie.

Avec C. Bratescu, des recherches sur Dobrogea et sur le rives de la mer, a fait aussi George Valsan (1885-1935) qui dans ces travails, « Dobrogea » et « Les rives de mer », dans un style littéraire, mais plein de contenu géographique, évoque des images de paysage et du potentiel économique de cette région.

Un autre représentant est Vintila Mihailescu, qui a abordé des problemes de géographie physique et les aspects de la géographie économique. «Les progrès économiques et culturels realisees en Dobrogea sous la domination roumaine" met en lumière la situation économique et culturel de la province de Dobrogea, representant un véritable modèle en ce qui concerne la préparation d'une monographie régionale de nature géographique.

Aussi parmi les œuvres géographiques, on peut encapsuler diverses études compilées sous la forme d'articles et de notes sur Constanta. Parmi eux, c’est pour mentionner l'article de Marius Tigoiu « Le développement de la ville de Constanta», qui fournit des données importantes sur l'évolution de la ville jusqu'en 1930.

Parallèlement à des études géographiques, ont lieu aussi des recherches géologiques effectuées dans la région. Dans ces directions, on peut mentionner les contributions des K.Peters, G. Macovei, I. Simionescu, I. Atanasiu, N. Macarovici. K. Peters dans son « Grundlinien Zur Geographie und Geologie der Dobrudscha » explore la géologie des falaises entre Constanta et Mangalia, et en 1867 montre un profil géologique menée au sud de Constanta, qui révèle d'abord la structure géologique de la région.

G.Macovei, l'un de les géologues plus remarquables de notre pays, grâce à ses recherches et des études dans la région de Dobrogea de la côte sud de la mer Noire, se soucier aussi par la problème des eaux souterraines et il établi la carte hydrogéologique de la région en 1915. Ces études sont très importantes pour des recherches plus approfondies en géologie.

Ion Simionesc et Ion Atanasiu par leur contribution à la géologie de Dobrogea, fournisent des précieuses indications sur la tectonique de la région, mettant en évidence ses liens avec les régions avoisinantes.

Des études plus récentes de N. Macarovici (1956) viennent compléter certains aspects de la configuration et de la distribution géologique du Dobrogea.

Les cartes de navigation, elaborees par les génois et par les vénitiens dans les siècles XIII et XV fournisent des informations importantes sur le rive de la mer Noire et le port de Constanta.

Ils ont été remarquees par leurs contenu, les cartes de navigation médiévales qui contiennent un nombre important de localités de l'état de la côte. Ils metent en évidence ces cartes publiées par C. Muller, dans «Geographi Graeci minors”. Sur les cartes apparus plus tard d’Andreea Bianca (1439), B. Pareto (1453), Grazioso Benincasa (1471), Giorgio Calapoda (1552), Ubelin Essler (1513), à l'exception de la côte, on peut suivre certains éléments de la terre tels que le réseau des rivieres et les localités.

Ils ont utilisé aussi des cartes en détail plus récentes, comme la carte topographique de Dobrogea, la feuille Constanta de l’annee 1879, à l'échelle 1: 300 000, le plan de la ville de Constanta 1: 4600, la carte topographique des departments de Constanta à l'échelle 1: 100 000, et d'autres cartes avec contenu économique, social ou culturel.

Si les cartes mentionnées rendent la répartition géographique des departements et la configuration du relief, les gravures aident à suivre les traces à travers les périodes historiques. «Quelque souvenirs d`une campagne en Turquie " par Hector de Béarn, qui illustre un dessin remarquable de la ville. Les travaux de C. Allard, "Le port et la ville Kustendge" en 1855, Teodore Valerio "La rue en Kustenge" en 1854, I. Carallea en 1880 – "Vue de la ville de Constanta".

Après l’annee 1880, les gravures prennent une figure plus complexe, plus variée. À cet égard, les œuvres photographiques importantes sont exécutées par L. Degen, H. Wichman, A. Magrin, F. Duschek, qui se trouvent dans la bibliothèque de l'Académie Roumaine.

Les etudes et les recherches géographiques s’intensifient et occupent une place de plus en plus importante parmi les préoccupations des scientifiques, après la Seconde Guerre mondiale. La géographie des villes devient une source de préoccupation, tant en termes de recherche sur le terrain, et les problèmes théoriques. La recherche des villes devient objet d’etude et d'autres spécialistes, en particulier dans les institutions de recherche et de conception. A cet effet, ils ont été exécutés de nombreux travaux de développement de terrains nécessaires, et de nombreuses monographies sur les grandes villes.

En plus de porter des spécialistes économiques et géographiques, de développer un réel intérêt dans le milieu naturel, il y a donc un large éventail d'œuvres d'ombre physique-géographiques avec une orientation spéciale sur le territoire de Dobrogea et son littoral.

Dans les premières décennies de notre siècle, Dobrogea est inclue dans la recherche scientifique moderne, par les études entreprises par Gr. Antipa, C. Bratescu qui seront joints entre les deux guerres mondiales par des nombreux géographes romains : V. Mihailescu, GH. Munteanu-Murgoci, G. Valsan qui permettra d'enrichir la littérature de profil avec d'études de paléogéographie, géomorphologie, géographie historique.

Entre 5 et 6 octobre 1968, le premier symposium géographie du Dobrogea se produit a Constanta, les communications présentées étant réunis dans un seul volume (L'étude de géographie sur Dobrogea, Bucarest, 1969).

Les dernières décennies inscrivent la consécration de Dobrogea dans la littérature géographique roumaine, en partie grâce à de nombreuses études, la mise en place des tests avec des œuvres complexes, nouvelles liées à Dobrogea centrale et générale. Ainsi, apparaissent dans la littérature: I. Radulescu, 1965 '' Le Plateau du Casimcea; étude de la géographie physique ''

Dobrogea a été l'objet de nombreuses thèses de doctorat, en abordant des sujets liés à la géographie physique (Sofia Iana – L’Étude de Dobrogea; Adriana Baier – Les lacs littorels, V. Troica – les conditions climatiques et leur influence sur le cadre géographique de Dobrogea du Sud, etc.), la géographie et la population des colonies (Athena Herbust – Radoi – la population de Dobrogea B. Zota – Le municipe Constanta).

I.3 La méthodologie de travail

La presente mémoire de maitrise a comme sujet: «Le tourisme culturel-historique dans la ville historique de Constanta".

Cette étude vise à poursuivre certains aspects de détail sur Constanta.

Le périmètre de la zone étudiée est Constanta, sud-est de la Roumanie, Plateau de Dobrogea.

La région entre dans les coordonnées 44 ° 11 'de latitude nordique et 28 ° 39' de longitude estique.

Bien qu'il existe de nombreux ouvrages spécialisés sur ce secteur, je cherchai cependant, que grâce à ceux trouvés dans les livres, à déchiffrer les secrets qui cache cette merveilleuse région du pays.

Ma modeste tentative de déchiffrer et de détailer quelques informations générales sur la zone a été rempli avec des données strictes de nature culturelle et historique que j’avais obtenu à partir de diverses sources, et leur analyse m’aide à tirer les conclusions appropriées.

Afin de réaliser ce travail, j’avais utilisé une riche bibliographie constituée d'ouvrages spécialisés, des documents cartographiques, un certain nombre de statistiques, etc.

Les différentes méthodes de traitement de données de specialite, ont abouti à l'élaboration de documents qui illustrent l'état actuel de la ville culturel-historique.

Je pense que les trois années de faculte ont contribué aussi à l'élaboration de la licence.

Le document est structuré en une série de chapitres sur les conditions generales de la ville de Constanta, certains aspects sur le potentiel touristique culturel-historique et sa valorisation.

I.4 L’emplacement et les conditions geographiques generales de la ville de Constanta

L’emplacement

Constanța est une ville portuaire de l'est de la Roumanie située sur les rives occidentales de la mer Noire: elle est le chef-lieu du departement de Constanța dans la region de Dobrogea.

La ville de Constanta est le plus grand port de la Mer Noire et la troisieme ville du pays.

Constanta est situé sur la côte de la mer Noire, entre les bouches du Danube au nord et le havre de Mangalia au sud, occupant une position centrale sur le litorel roumain. Deux principaux bassins d'une part, la mer Noire, et d'autre part le système fluvial continental du Danube, ont favorisé le développement de la vie économique et culturelle.

 L’emplacement qui a occupé la ville sur le site d’aujourd'hui, a été liée a la résistance du terrain, aux matériaux de construction abondantes, a la présence de lacs d'eau douce et un fil avec des eaux souterraines, peu profonde. Son emplacement à la croisée des grands axes a joué un rôle important dans le développement de la ville.

La surface du territoire administratif est 1121.66 km2. C’est pas inclue la zone portuaire qui a 31,82 km2, dans ce cas, le total en etant de 1153.48 km2. Constanta disponne du principal port de la Roumanie et le quatrième en Europe, avec 3182 ha.

Constanta, situé en bord de la Mer Noire, à une altitude de 15-30 m, sur les ruines de l'ancienne Tomis.

Constanta est le siège du departement, la plus grande ville industriel et touristique dans le sud-est de la Roumanie.

Constanta est situé à peu près sur le même parallèle avec Sébastopol (Ukraine) New York (Etats-Unis) et sur le même méridien avec Rhodes (Grèce).

Fig. 1 La position géographique de la ville de Constanta

Le climat

Le climat de la ville de Constanta évolue sur le fond général continental tempéré, présentant certaines particularités liees a la situation géographique et aux composants physiques et géographiques du territoire. L'existence de la mer Noire et, au niveau inférieur, le Danube, avec une évaporation constante de l'eau, assure l’humidite de l'air et provoque également sa régulation de chauffage. Les températures moyennes annuelles sont enregistrées avec des valeurs supérieures à la moyenne en Roumanie + 11,2ºC. La température minimale enregistrée a été de -25 ° C à 10 Février 1929 et le maximum de 38,5 ° C à 10 Août 1927. Les vents sont causés par la circulation générale de l'atmosphère. Les brises sont caractéristiques a l'ensemble du departement de Constanta.

Superficie

Autour de la ville il y a une région métropolitaine importante qui fait de Constanta la deuxième region métropolitaine après Bucarest. Avec une superficie de 1013,5 km2 et 446 595 habitants, la région métropolitaine de l'extérieur de la ville de Constanta regroupe 13 autres localités: Agigea, Corbu, Cumpana, Eforie, Lumina, Mihail Kogalniceanu, Murfatlar, Navodari, Ovidiu, Poarta Alba, Techirghiol, Tuzla et Valu du Traian.

Le relief

En termes de topographie, la zone géographique de Constanta fait partie de l'unité naturelle du sud de Dobrogea, ce secteur présentant un relief très fragmenté. Parmi les composantes de la région géographique, les collines représentent la forme de relief la plus rencontree.

Le relief sur lequel est situé Constanta c’est le rive de la mer Noire et les hauteurs bas du plateau de Dobrogea. Dans la zone de la rive, la principale caractéristique du paysage est formé par la partie terminale du plateau continental, avec une pente légèrement inclinée vers la mer en finissant par une haute et raide falaise comme résultat de l'interaction entre l'eau et la terre.

Hidrographie

Une grande partie de la municipalité de Constanta est situé dans une zone de lagune, avec le lac « Siutghiol » dans le nord et le lac « Tabacarie » à Nord Est. Constanța est pratiquement une municipalité sur une île bordée au nord et au nord-ouest par le Canal « Poarta alba-Midia Năvodari », à l'est de la mer noire et au sud et à l'ouest du canal « Danube-Mer Noire ». Bien que sur la surface, il n'y a pas de source d'eau, dessous de la ville, passe par une rivière souterrain dans l’aquifère Jurassic-Barrémien supérieur, coulant deux mètres par jour en direction du sud-ouest vers le nord-est et dont le débit est comparable au celui du Danube et est le réservoir d'eau potable le plus important en Roumanie. Toute l'eau fournie a la population de Constanta est extraite par plusieurs dizaines de puits de la rivière souterraine et seulement le consommation industrielle est realise de la source de surface "Galesu" situé dans le canal Poarta Alba-Midia-Năvodari. Pour cette raison, la municipalité n'a jamais été en mesure de limiter la consommation d'eau potable, même en haute saison touristique, a cause de la chaleur ou la sécheresse. C’est la seule ville de Roumanie et parmi les quelques villes dans le monde qui traite l'eau potable par UV à la place du chlore.

II. LE POTENTIEL TOURISTIQUE CULTUREL-HISTORIQUE DE LA VILLE DE CONSTANTA

II.1 Des considerations generales en ce qui concerne le tourisme culturel-historique en Roumanie

La Roumanie a un patrimoine historique, culturel et ethnofolklorique d’une haute valeur et attrayant. Il y a plus de 680 sites culturels du patrimoine d'intérêt national et international, parmi lesquels se distinguent: des églises et monastères, les monuments et les ensembles architecturaux et d'art, centres historiques urbains et sites archéologiques, dont certains ont été construits les valeurs du patrimoine mondial de l'UNESCO (églises fortifiées, des églises avec des fresques extérieures, des forteresses daces, la ville de Sighisoara, etc.).

Les problemes auxquels fait face ce type de tourisme sont liés à l'infrastructure d'accès aux sites archéologiques, les monuments de l'architecture degrades, la manque de places de stationnement équipées de l'information pour la promotion de l'objectif culturel, pas de points bellevue sur les fortifications, châteaux, églises médiévales, monuments et monastères historiques.

De nombreuses attractions touristiques en Roumanie sont les endroits parfaits pour le repos et la détente. « Peles » et « Bran » sont les châteaux les plus visités en Roumanie pour leur atmosphère médiévale, mais aussi parce qu'ils détiennent une histoire énorme.

II.2 Courte historique de la ville de Constanta

La ville de Constanta est chargée d’une longue histoire qui remonte au VIIème siècle avant J.-C. La cité de Constanta, appelée à l’époque Tomis est un véritable trésor pour ses visiteurs qui apprécieront spécialement le vieux quartiers.

Son passé gréco-roumain avant d’être appelée Constanța au 4ème siècle, d’après le prénom de la sœur de l’empereur Constantin, c’est le nom de Tomis que porte la colonie grecque installée sur le littoral dès le 6ème siècle avant JC. Elle connaît un premier essor économique sous l’influence des Romains avant de tomber en ruines, victime du passage des peuples barbares en route vers Constantinople. Dans l’Antiquité, Tomis sert également de lieu d’exil aux personnalités tombées en disgrâce. Le poète épicurien Ovide, dont une statue est érigée sur la place éponyme, en est la plus illustre victime. Sous l’Empire byzantin jusqu’au 13ème siècle, la région de Dobrogea s’affirme culturellement comme l’une des portes de l’Orient en Occident, tandis que le reste du territoire de la Roumanie contemporaine commence sa vie féodale. Pendant presque 500 ans de domination ottomane, et en l’absence de vocation maritime de l’Empire ottoman, Constanța n’est qu’un modeste port de pêcheurs, tout au plus un abri naval de charpentiers maritimes grecs et turcs. Plus tard, Constanța et Dobrogea servent de refuge pour les Tatars refusant de s’engager contre leurs frères musulmans à l’occasion de la guerre de Crimée (1853-1856). D’autres populations ont déjà fui l’Empire russe pour s’installer dans la région, comme les Lipovènes. Après 1877 et la guerre d’indépendance contre les Ottomans, Dobrogea devient finalement roumaine. Les grandes puissances européennes investissent alors dans la région pour participer à l’essor commercial de la mer Noire. Selon la volonté du roi Carol Ier, le destin du village de Constanța sera celui d’une ville active. Une intense campagne de constructions commence. Une voie de chemin de fer relie Dobrogea à Bucarest en 1862, un pont enjambe le Danube à Cernavodă en 1895, l’entrepôt céréalier est construit en 1904 et le port maritime se modernise jusqu’en 1909. Emblème de cet âge d’or, le Casino de Constanța est érigé en 1910 en bord de mer, comme sur la Riviera française de l’époque. De style art nouveau, il orne l’unique boulevard de la ville, une promenade en demi-cercle qui relie le port commercial au port de plaisance, où une falaise artificielle a dû être aménagée à cause du relief de la vieille ville. Dès 1906, les habitants de Constanța commenceront à mettre en valeur le potentiel balnéaire de leur côte maritime en construisant Mamaia de toutes pièces au nord de la ville.

Un modèle de cohabitation ethnique

Avant la Première Guerre mondiale, Constanța devient un débouché maritime important et gagne un statut de ville commerciale privilégiée. Jusque dans les années 1970, elle est considérée comme le premier port d’exportation de la mer Noire, et la deuxième cité levantine après Istanbul. Elle attire et accueille les populations issues des guerres balkaniques du début du 20ème siècle (ottomanes, bulgares, grecques et macédoniennes), ainsi que les Arméniens persécutés par les Turcs. A cette période naît donc le « creuset Constanța », composé d’une multitude de communautés ethniques et religieuses. La grande mosquée Mahmudiye (1910) et son minaret qui domine la vieille ville en sont les symboles les plus visibles. Les autres lieux de cultes sont construits en l’espace de quelques décennies: l’église hellénique orthodoxe Metamorphosis (1867), l’église apostolique orthodoxe arménienne (1880), la cathédrale orthodoxe Sf. Petru și Pavel (1885), la synagogue de style néo-gothique (1903) et l’église catholique-romaine Sf. Anton (1937). Après l’indépendance, et avec le début des grands projets d’Etat, les Roumains arrivent en masse à Constanța pour y bâtir un nouveau monde, « un peu comme des pionniers », raconte Doina Păuleanu, anthropologue et directrice du musée national d’art de la ville. « La difficulté a été de construire une province sur le modèle de l’Europe contemporaine, tout en composant avec l’esprit oriental et balkanique», explique-t-elle. Constanța moderne s’étend alors sur la colline qui surplombe la presqu’île, vers l’intérieur des terres. Mais les administrations roumaines s’installent, elles, dans le vieux centre, qui abrite les différents quartiers des diverses communautés ethniques. Les premières mesures d’aménagement du territoire et la destruction de certains quartiers entraînent la fin du communautarisme urbain et le mélange des communautés musulmanes, juives, arméniennes, grecques, bulgares et roumaines.

Un cosmopolitisme en voie de disparition

Après la Seconde Guerre mondiale, le régime communiste met un point final à l’âge d’or multiculturel de Constanța. La politique d’uniformisation et de développement urbain négligent le centre historique. Autour de l’ancien centre, la population de la ville s’accroît considérablement: entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la fin des années 1980, la population est multipliée par quatre (plus de 350.000 habitants en 1991). Des quartiers entiers sont construits pour accueillir les villageois roumains qui quittent le monde rural pour travailler au port et sur le chantier naval. « De nos jours, Constanța a perdu son identité cosmopolite », conclut Doina Păuleanu. Ceci dit, malgré la profonde transformation démographique de la ville (plus de 90% des 255.000 habitants se déclarent roumains au recensement de 2011, environ 2,6% turcs et 2,9% tatars), le souvenir d’une cohabitation harmonieuse et tolérante entre les communautés est resté. A la grande mosquée de Constanța, les fidèles musulmans qui viennent quotidiennement pour la prière de 13h15 s’expriment généralement en turc. L’un d’entre eux, Kemal Musurat, ne vient que le week-end car il travaille hors de la ville, dans le vignoble local de Murfatlar. Ce musulman tatar évoque avec satisfaction le bien-être de sa communauté dans la région. « Les relations entre les musulmans et les autres communautés sont très bonnes. Depuis la révolution, l’Etat turc et l’Etat roumain coopèrent et nous soutiennent beaucoup. De nombreux programmes culturels sont initiés par le consulat de Turquie », assure-t-il. Toutefois, il déplore le déclin démographique de sa communauté : « Depuis quelques années, les jeunes partent presque tous travailler à l’étranger. » Même constat pour Eduard Kerpician, membre de l’Union arménienne de Constanța. Cet ancien capitaine de marine, retraité des chantiers navals, considère que les Arméniens ont toujours bien cohabité avec les autres, même les Turcs. Comme Kemal, il regrette néanmoins le vieillissement de sa communauté: « Nous étions plus de 20.000 Arméniens dans l’entre-deuxguerres, maintenant nous sommes moins de 200, dont une vingtaine de jeunes seulement. » Quant à la communauté juive de Constanța, l’état de délabrement avancé de la synagogue – aujourd’hui fermée au public – révèle tristement sa disparition. Alors que la ville comptait plus de 2000 Ashkénazes et Séfarades en 1940, ils n’étaient plus que 600 en 1956 et à peine 40 au début des années 2000.

Parmi les ruines

Dans le centre-ville actuel, la mairie et la préfecture sont bordées par un parc archéologique qui laisse apparaître les restes du rempart d’enceinte de Tomis, avec des colonnes et de vieilles pierres disposées çà et là. Mais de son histoire antique, en dehors des musées et des parcs archéologiques, Constanța ne se sert plus que du nom. En empruntant le bien nommé boulevard Tomis qui se dirige vers le nord, on passe à proximité des quartiers Tomis 1, Tomis 2, Tomis 3, Tomis Nord et Tomis Plus. Même le premier centre commercial de la ville, qui offre une vue imprenable sur la mer au dernier étage, porte le nom de Tomis Mall. Dernièrement, un nouveau centre commercial, le City Park Mall, a été construit dans le principal espace vert de la ville, le parc Tăbăcărie. Non loin de Mamaia, l’« atout » touristique de la ville.

II.3 Potentiel culturel-historique de la ville de Constanta

Constanta, une patrimoine historique et architectural majeur en Dobrudja

Pour la plupart des touristes, Constanța est avant tout synonyme de détente au bord de la mer Noire. La plage, le bord de mer, le Delphinarium et le Casino sont ses principales attractions. Constanța est la ville la plus ancienne de Roumanie. Sa première attestation documentaire remonte à 657 avant J.C., lorsqu’on y trouvait une colonie grecque appelée Tomis. Conquise par les Romains, cette ville – port à la Mer Noire allait être baptisée Constantiana, d’après le nom de la sœur aînée de l’empereur Constantin le Grand. L’histoire ultérieure de Constanța reflète les transformations et les avatars des principautés roumaines au fil des siècles. En témoignent différents vestiges et bâtiments répandus un peu partout à travers la ville, tels le phare situé actuellement sur la falaise, derrière le buste du poète national des Roumains, Mihai Eminescu.

Pour découvrir tous les objectifs touristiques de Constanța, on aura besoin de plus d’une journée très riche en événements. La plupart des monuments d’histoire sont situés sur le quai, c’est un point de départ de tous les itinéraires touristiques. Ici on peut voir des moquettes de navires anciens, la grande collection couvre une longue période d’histoire, à partir de l’époque de la Grèce Ancienne jusqu’à l’époque du haut Moyen âge. Non loin du quai se trouvent aussi de nombreux monuments d’architecture, on peut passer des heures entières à admirer leur beauté exceptionnelle.

Non loin du bord de la mer se trouve aussi le Musée National d'Histoire et d'Archéologie. Ici on peut prendre connaissance des événements historiques les plus importants, qui ont eu lieu à Constanța. Les artefacts archéologiques, découverts sur le territoire de la ville témoignent, les premières cités ont apparu ici dans l’époque préhistorique. Le monument religieux le plus remarquable de Constanța est la cathédrale Saint-Pierre-et-Paul, érigée encore en 1885. L’influence de la culture de l’Empire ottoman était assez grande, c’est pourquoi le style architéctural du bâtiment est assez original.

La cathédrale magnifique ne ressemble pas du tout à tous les autres édifices, qui étaient érigés à la fin du 19 siècle dans les pays européens. À l’occasion de son ouverture on lui a offert en cadeau des fresques d’une beauté exceptionnelle, qui jusqu’à nos jours restent un vrai trésor religieux. À Constanța il y a aussi des endroits sacrés pour les musulmans, jusqu’à nos jours est parfaitement bien conservée la mosquée Carol. Elle était érigée en 1900, sa hauteur fait 50 mètres. Sur le territoire de cet objet religieux il existe quelques plateaux panoramiques, où on peut admirer des belles vues sur la villle et la côte.

Pendant les promenades en ville, les touristes pourront rencontrer des endroits, où il y a tres peu de temps, on a encore mené des recherches archéologiques. Les vestiges des bâtiments anciens de l’époque de la règne de l’Empire romane est un des objets touristiques les plus populaires. Une curiosité assez originale est un casino de la ville, qui était ouvert au début du 20 siècle. Malgré son statut officiel, on le considère aussi comme un objet à la valeur culturelle. Le bâtiment, où est situé le casino, représente un monument architectural remarquable. Dans les alentours de la ville on peut trouver aussi beaucoup d’endroits intéressants à visiter et de beaux coins de la nature – ici chaque visiteur de la ville pourra trouver quelque chose pour son goût.

La ville de Constanta a beaucoup de curiosités historiques. Hormis les vieilles églises et mosquées, on compte un parc archéologique, ainsi qu'un aquarium, un opéra, un ballet et plusieurs théâtres. Les musées de Constanta sont nombreux, on pourra mentionner notamment le Musée d'Art Populaire, le Musée de la mer avec un ancien phare et Musée de la Sculpture de Ion Jalea.

Objectifs culturels-historiques

-Vestiges archeologiques

Dans la ville de Constanta, de nombreux vestiges archéologiques attendent d'être découverts et representent un benefice pour les voyageurs désireux de connaître son histoire.

La ville antique de Tomis

La ville antique de Tomis est un site archéologique situé sur le municipe de Constanta (Péninsule de Constanta, entre le boulevard Ferdinand, falaise d’est de la jusqu'à la plage Modern, Casino, Porte 1, port commercial, le boulevard « Thermes Romains », la rue Traian) comprenant :

1.grands bâtiments de l'époque hellénistique tardive ;

2. importants vestiges de temples, des entrepôts, bâtiments publics, des trottoirs en mosaïque, des colonnades, des rues et des aqueducs, des marchés commerciaux, des objets d'art disparus, ateliers de marbre, le verre et la céramique de l'époque impériale romaine ;

3. basiliques avec absides et voûtes souterraines, bâtiments publics, routes pavées, etc. de la periode plus développée du christianisme ;

4. murs d'environ 3 metres d'épaisseur avec des portes et des tours érigées dans le troisieme siecle et restaurés jusqu’a à sicle VI siècle après JC.

5. le district de basiliques chrétiennes et d’ateliers de céramique sur le territoire de l'ancienne gare.

La péninsule entière (après les découvertes de ces dernières années) est occupé, juste en dessous de la ville moderne, par une multitude de monuments. Les couches de la culture matérielle ancienne réussir se trouvent dans l'ordre: byzantine, romaine, hellénistique, grecque antique, et grecque archaique et acienne material natif de l'âge du fer (Hallstatt). L’hauter de la stratifications varie entre 1 m et 7 jusqu'à 10 m, atteindant le niveau actuel de la mer.

Jusqu'à présent, les recherches les plus récentes ont déterminé: l’acropole de la ville antique, l'agora, les ateliers de district, nécropole hellénistique surmontées par le nouveau mur de l'époque romaine et les necropoles romaines et byzantines, beaucoup des rues, les égouts, les temples et les habitations; tous ensemble sont le ciblage de connaître l’orientation de la ville antique: NE-SW.

L'ensemble se compose des monuments suivants:

– la grande basilique

– la petite basilique

– la basilique chrétienne

– l’Édifice romaine de mosaïque

– amphithéâtre

– le mur d'enceinte de la forteresse Tomis

– aqueducs – galeries

– thermes

Le parc archéologique

Le Parc archéologique expose en plein air quelques-uns des derniers vestiges de la forteresse Tomis. Le parc se trouve entre la marie de Constanta et le boulevard Ferdinand et ses ruelles semblent salles d'un musée de’histoire. Elles sont encadrés par des colonnes, des pots en céramique et d’autres objets historiques datant de la forteresse romaine-byzantine. De l'ancienne ville, est conservé ici le mur romaine d’enceinte avec deux portes d'entrée dans la forteresse, Turnul Macelarilor, reconstruit sous le règne de Justinien, et un certain nombre d'autres fragments architecturaux de Tomis. Sur le mur de l'immeuble situé à l'extrémité est du parc, on peut voir la carte d'anciennes colonies de Dobrogea, realisee a grande échelle et en pierre naturelle.

Les Thermes Romains

Sur la rue qui descend du centre de Constanta au porte 1 du Port, on trouve les ruines d’un objectif très intéressante de la ville historique, les Thermes Romains. Partiellement divulgués, les anciens bains publics romains de la ville ont été construits au cours des siècles III-IV. Les salles de bains étaient pavées avec de dalles de marbre blanc, en dessous des canaux et des tubes qui passent, un système propre de chauffage de l’Antiquité. Toujours dans une ruine complète, ils ont besoin de fonds pour les mettre en valeur!

L'édifice Romaine avec mosaïque

L'édifice Romaine avec mosaïque, un monument unique en Europe de l'Est, par ses dimensions. Le bâtiment a été découvert par hasard dans a la fin des années 50 par une équipe de constructeurs pendant une construction d'un bloc. Ensuite, il a été réhabilité et a été construit le bâtiment abritant. L’edifice romain était un centre commercial construit au IVe siècle et qui n'a duré jusqu'à la fin du sixième siècle, quand il est effondré dans un tremblement de terre. Le pavement de mosaïque dans l’Antiquité avait une surface de deux mille mètres carrés, dont environ 850 ont survécu. Aujourd'hui, il faut donc la réhabilitation du batiment, et la restauration du monument lui-même, étant donné que les murs de soutènement commencent à tomber. Peu de gens savent que, sous Constanta sont des trésors. La ville a été construite sur sept basiliques. Dobrogea a un héritage culturel qui rivalise avec de nombreux autres endroits! Ne mérite pas d'être jeté dans la foule!

L’habitation citadine Tomis

Situé près de la Cathédrale métropolitaine de Saint-Apôtres Petru et Paul, et non loin du Casino, ce parc archéologique apparaît comme un coin d'une époque roumaine ancienne (et les vestiges datant de la période pré-romaine) mis en lumière par les fouilles archéologiques effectuées entre 1971-1974. Aujourd'hui, on peut voir des parties de certaines rues, trottoirs débris, fragments d'égouts anciens, maisons de tailles différentes, des éléments architecturaux généraux du système urbain pratiqué dans les premiers siècles du premier millénaire de notre ère. Conservé à l'air libre, cette micro-région est un exemple en termes de conservation et de préservation des monuments romains relativement intacts.

-Objectifs architecturaux

L'Eglise catholique romaine "Saint Antoine de Padova"

L'Eglise catholique romaine "Saint Antoine de Padova" est situé dans la ville historique de Constanta, à proximité de la Mosquée Carol I et la Cathedral Saints Pierre et Paul. L'imposante église a été construite entre 1935-1936 sur le site d'une ancienne chapelle catholique romaine. Les dessins de construction ont été préparés par l'architecte Romano de Simon du Bucarest, qui a établi comme modèle l’églises du nord de l'Italie. Le bâtiment, qui domine le vieux paysage de la ville d'aujourd'hui, est construit de brique rouge, et l’architecture s’en forme dans le courant roman.

Les bâtiments construits dans le style roman se distingue principalement par leur massivité et la simplicité des lignes extérieures et intérieures. La presence de petits fenêtres et d’éléments de décoration de type rosette sont les caractéristiques les plus frappantes des églises construites dans le style roman. Tous ces traits se retrouvent aussi dans le cas de l’eglise Saint Antoine de Padova.

Un moment important dans l'Église, est la fête de saint Antoine, connu comme la «fête de lys", célébrée chaque année le 13 Juin. En tout temps est un bon moment pour visiter l'église et de découvrir une partie des coutumes catholiques.

L'église "Saint Mina"

L'église "Saint Mina" est un emplacement idéal, une oasis de paix au sein de Constanta. L'église est située dans le parc Tabacariei sur le lac du même nom, loin du bruit de la ville. La belle église a été construite entre 1995 à 1997 par l'architecte Nicolae Goga et presente toutes les détails du style traditionnel de Maramures. La hauteur de l’eglise est aussi impressionante, dont le clocher mesure 43 mètres et peut être observée dans de nombreux quartiers de la ville. À cause de cela, l'église "Saint Mina" à Constanta occupent une place bien méritée sur la liste de la plus haute église en bois dans notre pays.

A l'intérieur, on trouve impressionante la beauté simple et l'austérité à travers tous les meubles et objets décoratifs en bois. L'iconostase est l'élément principal qui attire l'attention lorsque vous entrez dans l'église et la peinture de couverture qui a été réalisée par le peintre de Bucarest, George Sorin Nicolae.

Rejoindre à Constanta, il est intéressant de visiter l'église "Saint Mina" pour admirer la beauté d'un lieu de culte traditionnel roumain et d’etre remis à un moment en silence troublé seulement par les petites vagues du lac.

La Mosquée CAROL I

La Mosquée CAROL I, située dans la Place Ovidiu, est le principal édifice religieux musulman de notre pays et l'un des plus beaux monuments de notre région. Les travaux de construction ont commencé en 1910 à l'initiative du roi Carol I (ce qui explique pourquoi le bâtiment porte son nom) et a été achevé en 1913. L'inauguration a eu lieu le 31 mai, en présence de représentants de la famille royale et representants de la religion musulmane en Roumanie.

Le projet de la mosquée a été menée par Victor Stefanescu, l'un des architectes du rang du début du XXe siècle, et la construction a été soulevée par Gogu Constantinescu.

Le partage d'une belle et unique mélange architectural byzantin et roumain-égyptien, la Mosquée Carol est le premier bâtiment dans notre pays dont la construction a été utilisé en béton armé. Un trait distinctif du bâtiment est l’immense dôme, en matériau innovant mentionné ci-dessus.

Après l’inclusion de Constantinople sous l'autorité ottomane en 1453, de nombreux édifices de l'Empire musulman avaient les prototypes des grandes cathédrales et les églises chrétiennes, en particulier la cathédrale Sainte-Sophie à Istanbul, transformée en mosquée par les Ottomans. Un autre élément qui attire l'attention, c’est le minaret est de 47 mètres hauteur qui domine le paysage local et peut être vu, même de la mer. A l'intérieur de la tour on trouve 140 étapes qui conduit les visiteurs dans une spirale qui semble interminable à la terrasse au-dessus du minaret, un excellent emplacement à partir duquel vous pourrez admirer le panorama de la ville.

L'accès à l'intérieur de la mosquée, se fait par deux portes massives de marbre noir avec des ornements en bronze, modèle de l'artisanat trouve dans les palais des sultans. Une fois à l'intérieur, vous trouverez une place caree avec des côtés de 14 mètres, et décorées simplement. Contrairement aux églises ou cathédrales orthodoxes catholiques, l'intérieur de la mosquée est sobre, de sorte que vous remarquerez immédiatement le manque d'ornements, des statues et des images religieuses. Les seuls éléments qui ornent les murs de la mosquée sont quelques petites peintures et une forme octogonale qui sont écrits avec des lettres arabes du nom d'Allah et le Prophète Mohammed. Le plafon de la salle est peinte dans des tons de bleu et des simples motifs florals.

L’eglise grecque "Metamorphosis"

L’eglise grecque "Metamorphosis" est un petit monastère situé dans la ville historique, sur la rue « Mircea cel Batran », à proximité de la plage « Modern ». L'histoire de la belle église a commence il y a un demi-siècle, quand Dobrogea faisait partie de l'Empire ottoman, et a marque marque la «naissance» du premier lieu de culte chrétien à Constanta. Le bâtiment a été commencé en 1862 avec le consentement du sultan Abdul Aziz Bin Mehmet Han qui a répondu de manière positive à la demande de la communauté grecque de construire un lieu de culte dans la région.

La construction de l'église a été conçue par l'architecte grec Iani Teoharidi, qui a respecte completement les demandes du sultan, à savoir que l'église ne devrait pas être plus grand que toutes les autres batiments de la ville, et d’être construit loin du quartier turc.

Les travaux ont été achevés en 1867, bien que la façade de l'immeuble est inscrit avec l'achèvement d’année 1868. L’eglise "Metamorphosis" a une hauteur de seulement 10 mètres, longueur 25 mètres et une largeur de 12,5 mètres et à l’origine, n'a pas été équipé de tours (la tour qui, aujourd'hui, se dresse sur le côté droit de l'église a été ajouté qu'en 1947). Pour la levée de l'église ont été utilisées briques et pierres naturelles, les piliers ont été faites de bois de cèdre, et le sol était recouvert de marbre blanc apporté de la Grèce. Les portes et les fenêtres sont protégées par des barres de fer forgé magnifiquement ciselés. L’interieur semble avec un salle et l'architecture rappelle les bâtiments typiques grecs.

La plupart des objets qui ornent l'église aujourd'hui sont très précieux. Remarquables sont les quatre lustres en cristal de Murano faites don en 1862, six chandeliers d'argent apportés de Constantinople, un évangile avec des couvertures d'argent et beaucoup d'icônes conçues dans la période 1812-1870. L'une des icônes les plus importantes de l'Église grecque " Metamorphosis" est celui qui incarne le Saint Fanurie, saint très aimé par les Grecs orthodoxes. La peinture originale à l'intérieur de l'église a été faite à l'huile par un peintre venu du Mont Athos, mais à cause de la fumée des bougies, il a été endommagé et a été remplacé par un autre neuf entre 1988-1989.

À l'heure actuelle, l'Eglise grecque "Metamorphosis" remue la curiosité des passants juste par sa petite taille et le caractère unique de son architecture. La beauté et son importance pour la ville l’ont fait un lieu de culte et officiellement monument historique et culturel de Constanta.

La Cathédrale dédiée aux saints Petru et Pavel

La Cathédrale dédiée aux saints Petru et Pavel est le plus grand et le plus important lieu de culte orthodoxe en Dobrogea, en etant connu comme la cathédrale archidiocésain de Tomis. L'église est située dans le quartier historique de la ville, à proximité du front de mer proche du boulevard Elisabeta et du Casino.

Construit entre 1883 et 1885, la belle eglise a été le premier lieu orthodoxe construite en Dobrogea après la libération de la domination de l'Empire ottoman. L'église a été construite de briques et de béton par le célèbre architecte Ioan Mincu. Le meuble d'intérieur, constitué d'autel écran, bancs, lustres, chandeliers et policadre est originale et a été exécuté à Paris, du chêne, selon les dessins de l'architecte. Une partie du mobilier, d’une élégance extraordinaire, est recouvert de feuilles d'or et incrusté de pierres semi-précieuses.

Le travail d’un artist, allait changer non seulement la demeure d'apparence, mais aussi son histoire. Au lieu de la peinture byzantine traditionnelle,Mirea, un peintre avec une vision novatrice, avec le style réaliste préféré, attribuait des visages des personnalités de la vie quotidienne de Constanta aux saints. Cela a provoqué un scandale. Des représentants de l'Eglise orthodoxe ont été choqués par le travail de l'artiste.

Après presque une décennie dans laquelle l'église n'a pas fonctionné, le ministère des Affaires religieuses a approuvé en 1895 la consécration demeure avec toute la peinture existante. Actuellement il n'y a pas de peinture controversée, depuis qu'il a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale. L'église a été reconstruite et re-béni en 1951. La nouvelle peinture a été faite dans la technique de la fresque par Gheorghe Popescu et Dona Niculina Delavrancea.

La peinture, les décorations et les motifs byzantins roumains ont une beauté particulière et fournisent l'état de la cathédrale comme monument d’art, à côté du monument architectural. Il convient de noter que sont les deux fresques qui «dominent» à l'entrée de la cathédrale et représentant en détail le ciel et l'enfer.

La Cathédrale comprend des icônes anciennes, y compris une icône miraculeuse de la Vierge Marie, des Evangiles, épitaphes, des objets liturgiques en précieuses reliques de trois saints aussi bien.

L’Église orthodoxe « Adormirea Maicii Domnului »

L’Église orthodoxe « Adormirea Maicii Domnului » est l'une des plus anciennes églises de la ville, construits entre de .906 et 1911. L'église est considéré comme un monument historique d'intérêt national et un joyau de Constanta en raison de l'intérieur peinte en technique de la fresque et les ornements faits minutieusement.

L'architecte de l'église était G. Mandrea est le style architectural est byzantin- roumain. L'intérieur de l'église a été peinte dans le style Renaissance par l'artiste D. Marinescu. L'extérieur est décoré avec mosaïque.

L'iconostase est faite de marbre et richement décoré de motifs végétaux, il est rare dans les églises orthodoxes et les vitraux utilisés sont uniques dans le departement de Constanta.

Cette eglise est l'un des objectifs les plus importants de la ville.

Le Casino

Le Casino est l'un des les plus beaux sites touristiques de la Roumanie. L'architecture spéciale attirent de nombreux yeux pour ceux qui aiment l'art et l'architecture. Si ce bâtiment est montre a un romain (avec un relativement stock de connaissances) vous dira immédiatement que c'est la ville de Constanta qui e la maison de ce casino.

Coutumier dans les photos de touristes et dans les vues qui rappellent le litoral, le casino de Constanta est sans doute l'emblème de la ville. Un imposant bâtiment qui respire l'air de sa période de gloire, le Casino "regarde" la mer Noire depuis plus de 130 ans.

Le casino est un bâtiment historique de la ville de Constanta. Il est l'un des symboles les plus représentatifs de la ville, il a été construit en 1909 et inauguré en Août 1910. Il est situé sur la falaise du Constanta, sur la rue « Regina Elisabeta ».

Le casino était l'un des bâtiments emblématiques de Constanta. Dans la zone où il est aujourd'hui, avait été, entre 1880-1902, un bâtiment en bois, un Cazin, comme on l'appelait – une place pour le théâtre, boules, lieu de loisirs pour les touristes. La construction d'un bâtiment avec des fonctionnalités telles que les grands casinos européens a commencé dans 1904. Dans un premier temps, des plans ont été élaborés par l'architecte Petre Antonescu, qui conçoit un bâtiment dont le style architectural est inspiré par les traditions de l'art roumain. Après avoir terminé les fondations, les plans sont modifiés, la mairie en donant leur modification d'un architecte d'origine française (ou suisse ), Daniel Renard – qui renonce à des principes de style roumain en faveur d'un mélange de motifs que charge en plus toute l’ensemble. Construit (a partir de 1908) en style Art Nouveau [3] sous l'influence des casinos de l'ère cosmopolite, le bâtiment est terminé à Constanta en 1910, quand il a été aussi inauguré (en 1912 – la touche finale).

En dépit des critiques, le Casino est inauguré en grande pompe le 15 Août 1910 à la présence du prince Ferdinand. En tenant compte des coûts élevés d'entretien de l'immeuble, le 15 Mars 1911 les autorités locales autorisent les jeux d’argent et le casino est équipé avec 2 tables de billard et 7 tables pour les jeux de cartes. Peu de temps après l'inauguration, le casino devienne l'un des lieux les plus populaires de son genre en Europe. A l'intérieur, il était un mobilier luxueux, des murs joliment décorées, des lustres sophistiqués et riches tapis. L’accès à ce monde exclusife à ce monde était autorisé seulement pour les gens distingués. Le luxe du Casino et le mirage des jeux d’argent attiraient les gens riches de partout dans le monde, venus sur terres roumaines. Dans les salles du Casino, la vie etait intense et des drames etaient souvent consommés! Pas un peu étaient ceux qui, ruinés à la table, ont trouver le fin en se jetant dans le vagues de la mer, ou en ponant fin de leur journees dans une chambre d'hôtel.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Casino a fonctionné comme un hôpital, mais il est revenu à sa destination d'origine. Au début des années 80, le Casino "subi" la dernière rénovation, à quel point, sont ajoutes de nouveaux décorations et vitraux.

Actuellement, le Casino de construction "gardiennage"le bord de la mer, en attendant de retrouver son éclat. Elle peut être visitée gratuitement, mais une telle incursion, nécessite attention, étant donné l'état actuel de l'édifice. Même si il est minable par le temps et tombé dans l'indifférence des autorités locales, toujours à l'intérieur, on trouve des reliques de luxe du début du XXe siècle.

Lors de l'inauguration, les médias locaux ont critiqué à la fois la longue durée des travaux et l'apparition du résultat final, que le journal « Conservatorul » le décrit comme un "Perk géant avec toutes sortes de parures, qui en termes de congé architectural esthétique, presente des asymétries et c’est un mélange babylonien de styles et « un monument érigé en l'honneur de l'incompétence et de mauvais goût ".

Dans l'hiver de 1891, une tempête détruit le toit et un mur de la façade, en soulignant l'instabilité de la construction. Les expertises ont proposé, et le conseil municipal a approuvé le 29 Janvier 1892 la démolition du bâtiment. Le maire Al. Belik a décide, par un protocole, l'organisation propre du site en cours de reconstruction du casino en Avril 1892.

Conçu monumental, sans une perspective d'oeil et sans balise, le bâtiment était censé avoir un sale de théâtre avec une scène, des cabines et des pavillons des deux côtés, et une salle de bal de la même taille. Entouré par une galerie ouverte à des vues magnifiques, la construction avait au niveau souterraine toutes les unités nécessaires. La grandeur du projet diminue progressivement, de sorte que la réception faite beaucoup plus tard que ce qui aurait été disposé à permettre le maire Coiciu, constate l'existence d'une salle de bal avec une allée.

Le 21 Décembre 1909, l'ingénieur Elie Radu et les architectes Ion Mincu et D. Maimarolu sont invités à se rendre à Constanta, a un comité conçu pour étudier le casino à tous égards. Le résultat de l'inspection a été matérialisée par un document important contenant des avis documentés et bien soutenus par des personnalités de prestige réel. Les observations concernent à l'ajout d'espaces: une grande salle pour le restaurant, avec cuisine et dépendances nécessaires, restaurant qui sera lie ouvert à la terrasse derrière la porte vitrée, qui ne sera pas un obstacle pour la perspective ouverte de la mer. Ils ont suggéré la libération de l'échelle d'honneur par un arc spectaculaire, l'ajout d'entrées, chambres, des toilettes, et la suppression des escaliers ou des fenêtres.

Des travaux de restauration et modernisation du casino ont été faites en 1934 par le designer Daniel Renard.

Le casino a été restauré en 1986 par un collectif d'artistes composé par Sorin Dumitru, Gheorghe Firca, Ioan Miturca, Nae Mira, Nicolae Moldoveanu. Ont été exécutés peintures fresque-baroque, stuc, vitraux. Les travaux ont duré un année. Le Casino est actuellement en mauvais état et, malheureusement, sans accès à l'intérieur.

Le Fare Genovese

Le Fare Genovese est un monument qui peut facilement passer inaperçu, mais la beauté et l'importance pour l'histoire de Constanta sont indéniables. Le Fare Genovese est situé sur la falaise de la ville, entre l'ancien Casino et l'Hôtel Carol (Commandement de la Marine d'aujourd'hui).

Le monument a une hauteur de 16 mètres, une forme octogonale et est construit à partir de blocs de pierres naturelles sculptées sur tous les côtés et réunies avec du mortier à base de chaux et de sable de mer mélangée avec des coquillages. Le Phare continue avec une coupole en métal avec huit fenêtres pour projetér la lumière. À son tour, le sommet du dôme est décoré avec des éléments qui indiquent les points cardinaux. A l'intérieur il y a un escalier en colimaçon avec 53 étapes, ce qui conduit à la coupole métallique. La forme octogonale est celui qui donne une touche unique, ce qui en fait d'être un bâtiment original.

Le Phare guidait les marinaires à l'aide de sa lumière blanche qui monte de 21 mètres au-dessus de la mer et une visibilité d'environ 5 kilomètres de large.

Contrairement à d'autres bâtiments du même type, la lumière du projecteur de Constanta ne tournait pas. Le phare a fonctionné jusqu'en 1905, quand il a été remplacé par un phare moderne, devenant à cette époque l'un des monuments les plus populaires et pittoresques de Constanta.

La Mosquée Hunchiar

est situé dans le quartier historique de la ville, à quelques pas du Musée d'Art Populaire. Cet endroit est pas très grande en taille, mais a une importance énorme pour l'histoire et le multiculturalisme de Constanta, etant le plus ancien édifice religieux musulman dans la ville.

L’histoire dit que, au début du XIXe siècle,quand Constanta occupait seulement la zone péninsulaire (actuellement le quartier historique, du Casino à proximité du Musée d'Art Populaire), a été bordé par un mur défensif avec un bastion construit par le turcs qui ont régné Dobrogea a cette époque. Ce mur défensif a été détruit entre les années 1828-1829, de lui laissant seulement un tas de pierres blanches. Parmi ceux reste, il a été construit en 1867 la belle mosquée, dont le nom en turc signifie «gouverneur».

Avant un style particulier d'architecture mauresque, la mosquée Hunchiar est un bâtiment simple, se compose d'un corps principal en forme carré, qui abrite une salle de prière et un minaret de 24 mètres hauteur, monté sur le dessus avec un patio. Du minaret, ce qui équivaut à la cloche des églises chrétiennes, est l'appel à la prière. Dans le passé, l'imam, prêtre, musulman, jusqu'à 5 fois par jour sur le dessus du minaret d'annoncer les croyants, en arabe, qu'il était le temps pour la prière. Et aujourd'hui, vous pouvez entendre l'appel de l'imam prononcé en arabe, du minaret de la mosquée Hunchiar. La seule différence est que l’Imam ne monte pas dans le minaret, si non, il utilise des haut-parleurs pour diffuser l'appel à la prière dans l'air.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la mosquée a été gravement endommagée, fait qui a conduit à sa fermeture. L'église est restée dans cet état jusqu'en 1990, lorsque les représentants de la religion musulmane étaient occupés de la rénover. Ils peuvent encore être vus des morceaux de pierre blanche qui composent le mur défensif de Constanta.

A l'intérieur, la mosquée est équipée d'une forme simple, carré, où les fidèles prient. Le sol est entièrement recouvert par de beaux tapis persans et les murs sont dépourvus de peintures qui véhiculent des scènes religieuses. Les seuls éléments qui ornent les murs de la mosquée sont plusieurs tableaux qui sont écrits avec des lettres arabes des versets du livre sacré, le Coran. L'élément principal du culte intérieur de la mosquée est le mihrab, le lieu où l'Imam oficie des cérémonies religieuses. Cet autel, si nous pouvons l'appeler ainsi, est une «niche» dans le mur et porte un tuile spéciale, amené de Turquie et inscrit des versets du Coran. Mihrab est assis devant un tapis persan rouge, fait à la main, qui a fait don en 2001 par le Président de la Turquie. Gardez à l'esprit que le mihrab est toujours orientée vers la ville sainte musulmane, la Mecque. Le Minbar est le chemin d'Allah et apparaît comme un balcon en bois avec des escaliers. Le nombre de marches est toujours inégale et varie en fonction de la taille du lieu de culte.

L’Hotel Intim

"… Je suis assis dans un grenier et mon oeil est ouvert de deux côtés de la mer, je voudrais flotter avec vous. Mais cela est impossible, et je te baisse doucement, ma chère Veronica et je reste vôtre Eminescu "

”… Șed într-o mansardă și privirea mi-e deschisă din două părți asupra mării, pe care aș vrea să plutesc cu tine. Dar aceasta nefiind cu putință, te sărut cu dulce, draga mea Veronică, și rămân al tău Eminescu”

L'information documentaire à propos de cet hôtel remonte à 1882 quand Eminescu dans ses pérégrinations à la mer, sans limites, a été logé dans une petite chambre dans l'établissement. On suppose qu'il a été construit dans les années 1880. Constanta avait déjà devenu un village touristique a ce temps. A cette époque, l'hôtel Angleterre et l’hôtel Carol etaient les deux lieux de Constanta où les touristes pourraient trouver un logement.

Dans le grande salon de l’Hôtel d'Angleterre, frappant par son élégance, a été hébergement pour les bals de charité, en présence de les personnalités de la ville. Les evénements de réunion attiraient des bonnes gens de la ville, et des banquets officiels ont eu lieu.

L'hôtel a été démoli après 1903. Mais l'emplacement est enregistré dans une carte de 1903 dessinée par l’ Union Elektrisitas – Geselschaft du Berlin a la disposition du Moses Schwartz. Il a envisagé la possibilité de rouvrir l'ancien hôtel « Hôtel d'Angleterre » sous un autre nom, dans un nouveau sommet, mais sur l'ancien emplacement, qui présentait de nombreux avantages en termes de localisation.

Certaines sources affirment que l'hôtel avait été déjà construit entre 1903-1904, était en possession des frères Tarpa et a été appelé Hôtel Splendid. Le nom de l'Hôtel Regina serait prise en 1924, probablement à la transition de la propriété a des autres entrepreneurs. Les données ont un haut degré d'ambiguïté, mais il semble que la plupart des points de vue prétendent que le lieu où l'ancien hôtel a été construit dans les années 1880 a dû être conçu et construit à partir du 1er Juin, en 1906 , Hôtel "Regina". Cette fois-ci en tant que propriétaire de l'hôtel apparaît dans certains documents « Theiler ». Les travaux de construction ont été suivis de près par l'architecte Daniel Renard. L'hôtel avait sous-sol, deux étages et un grenier.

Elégant et avec un beau jardin d'été, l'hôtel était le lieu de prédilection où les banquets royaux ont eu lieu. Le bâtiment est fait dans un style éclectique avec des éléments Art Nouveau et la structure néoclassique de la façade principale.

On ne sait pas avec certitude l'architecte du bâtiment, mais il peut avoir été Goue Emil, qui a eleve à Constanta au ce moment plusieurs bâtiments. Certains chercheurs, cependant, disent que le bâtiment a été réalisé par l'architecte Daniel Renard qui soulevé aussi le Casino à Constanta.

Plus tard, au cours de la période communiste, l'hôtel "Regina" a été appelé "Hotel Intim", maintenant connu sous ce nom.

La Maison avec les Lions

Situé sur la rue Diana n ° 1, la maison a été construite par un propriétaire arménien riche, Dicran Emirzian. Le but du commanditaire était tout à fait normal, sa résidence dans la construction urbaine Constanta. Depuis sa création, cependant, l'étrangeté éclectique architectural, elle est devenue un bâtiment qui a trouvé sa place parmi le symboles de l'ancien Tomis.

Comme il est indiqué par certaines sources, le début de la construction a été fait en 1898 et il a très probablement eu comme auteur du projet a Ioan Berindei (1871-1928). Ce fut un grand nom de résonance de l'architecture a ce temps. L’achèvement des travaux a eu lieu en 1902.

En fait, le concepteur n'a pas été établi avec certitude, mais en raison du style et des conjonctures (généralement les lions ne sont pas manquants dans les maisons conçues par Berindei comme un élément décoratif) on peut avancer avec une certaine subjectivité qui on parle de le célèbre architecte qui a conçu et construit en particulier à Bucarest, plusieurs bâtiments emblématiques.

D'autre part, il est possible que l’auteur de la maison Emirzian était Daniel Renard, qui allait plus tard recevoir le projet de commande du Casino de Constanta, d'autant plus que le style architectural était éclectique.

Selon d'autres sources, il semble que l’interval dans lequel le bâtiment a été construit c’est de 1895 à 1898. Au-dessus de l'entrée principale, il est d'ailleurs le temps de combustion de 1898.

Le bâtiment represente un majestueux evidentiation dans le milieu urbain. Le style melange des eléments préromantiques et génoises. Il est un bâtiment qui met en évidence la diversité des caractéristiques architecturales de la zone péninsulaire.

Avec le temps, dans la langue commune des habitants de Constanta, la construction a été nommé comme une phrase associée à quatre colonnes dont les chapiteaux domine un lion: "La Maison avec les Lions".

Vu à travers la lentille de la caméra, le bâtiment offre ouvertures inattendues et fascine avec une généreuse perspective de l'offre.

La monumentalité peut être pris à la fois dans l'association totale et aussi par un élément singulier qui peut captiver un oeil vif pour l'originalité.

En recherchant les dessins cadastraux, on se rende compte que, au moment de la construction, la façade de la maison a été orientée par un ouvrement directe sur le marché Ovidiu.

La maison est une réplique des grandes résidences locales des marchands vénitiens.

Le bâtiment impressionne par son architecture imposante bien préservé qui transforme la lumière à différents moments de la journée par des détails fascinants.

Stylistiquement, le bâtiment appartient à l'éclectisme, typique du XIXe siècle. Le principe de ce style est « de choix » (gr. eklego) des éléments constituant le classicisme, de la Renaissance et du baroque, en les combinant en une nouvelle synthèse, jamais le même.

Les détails fascinent aujourd’hui avec la même intensité qui a attiré les yeux au moment quand le bâtiment a été érigé.

Les renseignements individuels sont soigneusement observés pour que l'assemblage final peut devenir une composition unitaire et fluide.

En haut de chaque colonne, en plaçant un lion de pierre a donne l’effet de l'originalité architecturale particulière qui se rappelle presque chaque fois quand on parle de ce bâtiment.

La tentation de ceux qui entrent dans le bâtiment est de capturer toute la façade monumentale soudainement pressé par sa grandeur.

Par rapport aux bâtiments de la rue Ovidiu, la Maison avec les Lions. semble prendre tout l'espace complètement reprenant l'attention des passants.

Les annes ‘70 ont signifie la transformation du bâtiment en hôtel et restaurant. Le décor était assaisonné à l'extérieur avec quelques éléments de personnalisation qui ont exprimé une nouvelle opération.

Le témoignage d'un compatriote vénérable et distingué, M. Simion Tavitian (02.03.1916 – 07.11.2008) et selon certains documents, en 1940, le bâtiment a été possédée par Eliza Emirzian mais apparemment a été utilisé par fils de l'armateur arménien, Bebi Emirzian qui a vécu dans la maison jusqu'en 1941.

A cette époque, la maison était calme le jour et pendant la nuit, tumulte.

La Synagogue de Rite Askenaz

De la synagogue de rite askenaz de Constanta on trouve seulement les parois de l'enceinte. Construite en 1911 par Adolf Linz (qui a également conçu au début du XXe siècle près de 50 autres maisons a Constanta, parmi lesquels une bonne partie de la place Ovidiu) , le bâtiment de style mauresque reflète une certaine influence architecturale chaldéenne. A ete l'initiative de Pincus Sapira, fournisseur de la Maison Royale de Roumanie, et pendant un siècle, la synagogue de rite askenaz a passé à travers de nombreuses vicissitudes. Par exemple, entre 1941- 1944, le bâtiment a été transformé en entrepôt militaire allemande utilisée pour le stockage des effets militaires, des denrées non périssables aux soldats qui sont arrivés sur le front de l'Est et pour l'alimentation des chevaux. Après 1944, il a été partiellement restauré et remis à la religion.

Le Palais Sutu

Le Palais Sutu est un joyau architectural. Sa façade est similaire à celle arabe. A l'extérieur est impressionnante la galerie qui dispose d'une terrasse soutenu par des colonnades en arc décoratif peintes sur un mur. Les chambres intérieures sont décorées dans le style des palais arabes de Damas et Alger, avec des éléments spécifiques des palais turcs de Constantinople. Les plafonds sont polychromes et l'intérieurs en bois craquaient quand on montait ou descendait. La cour est belle, mais impresionante est l'escalier en colimaçon spécial, construit à proximité de la structure de la paroi, ce qui permetait une descente rapide sur la plage. Une fois pas habitée, elle avait différentes fonctions socio-culturelles. Il était, par exemple, le siège Consulat tchèque, mais aussi la Cour d'appel de Constanta. Actuellement, la maison est fermée, mais pas dégrade.

– Musees

Le Musée de la Marine Roumaine

Le Musée de la Marine Roumaine est la plus grande institution de ce genre en Roumanie et il detient des précieux témoignages de l'évolution de la marine civile dans notre pays. Situé sur la rue « Traian », le musée est installé dans un bâtiment imposant qui a une histoire aussi intéressante que les expositions qu’il détient. L'édifice a été construit en 1909 et a accueilli École superieure de marine, le premier établissement d'enseignement supérieur en Dobrogea.

L'idée de fonder un musée de la Marine Roumaine a été pour la première fois en 1919, avec la démolition de plusieurs navires de la flotte romaine. Malgré des tentatives répétées, l'idée n'a pas été matérialisée qu'à la fin des années 60 à l'initiative de Nicolae Ceausescu qui a exprimé le désir de visiter une telle institution. Le Musée de la Marine Roumaine a été inauguré officiellement le 3 Août 1969.

La base d’expositions du musée est très grande et est organisée chronologiquement, présentant l'histoire de la Marine commerciale dans notre pays et l'évolution des moyens de navigation. Cette époque est illustrée par la carte pierre des modèles de navires grecs et romains, jette de la colonne Trajane et même certains lutteurs Daco-romains de taille naturelle et continue avec les ancrages d'origine et des amphores découvertes sur le fond de la mer Noire.

Les collections du musée ne sont pas seulement uniques, mais aussi spectaculaires. Ils presentent des nœuds, des ancres – certains d'entre eux avec des dimensions impressionnantes, timones, armes de toutes sortes – des armes de Gaulois faites à l'artillerie. La collection de maquettes de bateaux occupent une place importante parmi les expositions du Musée de la Marine Roumaine, dont 150 modèles militaires et civils des navires sont ceux qui composent l'histoire de la flotte roumaine.

Le musée contient une importante collection d'uniformes de la marine. La premiere uniforme officielle de la marine roumaine date de 1850, l'année dans lequel il a été introduit. Le Musée consacre une collection spéciale pour les personnalités qui ont fait l'histoire de la Marine Roumaine.

Juste deux exemples sont celles de l'écrivain marin Jean Bart, qui, en 1932, a pris des mesures pour mettre en place un musée de la Marine à Constanta, et celui de l’officier Dimitrie Stiubei, considéré comme le plus grand mariniste roumain.

Nous arrêtons ici de raconter les collections chronologiques contenues dans le Musée de la Marine Roumaine. Nous ne voulons pas révéler trop de détails, si non de vous laisser de découvrir toutes les collections du musée dans une visite qui certainement vous semblera impressionnante.

Le Musée National d'Histoire et d'Archéologie

Le Musée National d'Histoire et d'Archéologie est l'un des plus riches musées en Roumanie et le second institution de profil, comme taille, après le Musée National d'Histoire de la Roumanie à Bucarest.

La première pierre du musée a été posée en 1879 par Remus Opreanu, le premier préfet de l'administration roumaine en Dobrogea, dans une tentative pour contrer la contrebande de pièces antiques trouvés dans les sites archéologiques de Constanta. Depuis près d'un siècle, le Musée d'Histoire de Constanta a connu des périodes de déclin et de la prospérité, a été désorganisé, réorganisé et déplacé à différents endroits dans la ville. En 1977, les expositions du musée sont déplacés de façon permanente dans le siège actuel du la place de Ovidiu. L'imposant bâtiment du musée a été construit dans le style architectural roumain au début du XXe siècle et a servi comme le siège de la mairie jusqu'en 1921.

Le Musée d'archéologie bénéficie d'un patrimoine impressionnant, constitué de plus de 430.000 objets datant du paléolithique jusqu’aux temps modernes. Le musée est differente aux institutions similaires dans d'autres comtés, par le fait que, même si l'accent est mis sur l'histoire de Dobrogea, le musee a un domaine thématique national.

L'institution abrite des objets d'origine grecque, roumaine, byzantine et médiévale (outils et armes en pierre, de bronze et de fer), de la poterie, éléments architecturaux anciens (colonnes, chapiteaux, frontons, etc.), des sculptures antiques, vases en verre, statuettes en bronze, des bijoux, des monnaies (la collection comprend des pièces de monnaie en argent, bronze et or, certains d'entre eux uniques), des icônes, des documents, des cartes, des modèles, des photographies, des télégrammes, des magazines, des objets ayant appartenu aux personnalités du début du XXe siècle, meubles et autres objets de grande importance historique.

Le rez-de-chaussée du Musée National d'Histoire et d'Archéologie a deux salles ou sont exposées monuments archéologiques de grande valeur, rares et des pièces uniques. De cette section sont observées: Le serpent Glykon – pièce unique dans le monde, ce qui représente une divinité dans la mythologie roumaine (Sec II AD.) Groupe statuaire Fortuna Pontos – divinité protectrice du port et de la ville de Tomis (Sec II-III. AD), Aedicula avec double représentation de la déesse Némésis -… l'une des pièces les plus remarquables du Musée (s II d AD), des collections de bijoux en or, des pierres précieuses et camées, etc.

Dans les autres étages du musee, des pièces sont classés par ordre chronologique, en commençant par la première preuve d'habitation du Dobrogea et se terminant par l'ère moderne. Parmi ces pièces est remarquable "Le Penseur" et sa paire, pièces emblématiques pour la culture Hamagia (Néolithique).

Le Musee d’Art Populaire

Le Musee d’Art Populaire est situé dans le quartier historique de Constanta, à l'intersection du boulevard Tomis avec la rue Traian. Le musée est installé dans un bâtiment d'une grande importance pour l'histoire de la ville. Le bâtiment a été construit en 1893 et a servi pendant un certain temps comme la mairie, appelé le Palais Municipal. Au fil du temps le bâtiment avait d'autres destinations, mais à partir de 1975 abrite le Musée d'Art populaire, une institution culturelle de premier plan de Constanta.

L'idée de créer un musée d'ethnographie au bord de la mer est né dans les années 60 avec la diligence de plusieurs institutions similaires dans le pays: Musée Brukental à Sibiu, Le Musee d’art populaire et le Musée du Village à Bucarest. A l'origine, le musée a été conçu comme un exposant de l'ethnographie de Dobrogea, donc dans l’annee 1975 a été organisé la première exposition qui offrait une vue sur la vie du village traditionnel coagulé sur Dobrogea. Dix ans plus tard, cependant, on remarque des acquisitions d'orientation et d'autres régions ethnographiques du pays. Un moment important dans l'existence du Musee d’art populaire a eu lieu en 1990, lorsque le musée a acquis la personnalité juridique. Depuis lors, l'institution a continué d'être une présence remarquable dans un monde où les traditions, les coutumes, le folklore et le port roumain sont menacés par le modernisme excessif qui a balayé la société actuelle.

Actuellement, le Musée d'art populaire abrite un patrimoine impressionnant, composé de plus de 15.000 pièces illustrant la culture populaire de tous les coins de la Roumanie. Dans les galeries du musée, vous pourrez admirer la magnifique collection d'icônes sur le verre et le bois, la poterie, des costumes, des tapis, des tissus, des ornements et des ustensiles utilisés par les agriculteurs roumains. Les articles ménagers se trouvent dans une variété impressionnante, étant en bois, en métal ou en céramique et couvre une vaste zone géographique. La richesse des couleurs et des fleurs, des légumes, zoomorphes, anthropomorphes, en alternance avec des rayures et autres compositions ornementales de formes géométriques crée une beauté aparte.

Sauf lundi et mardi, le Musee d’art populaire est ouvert au public intéressé par la beauté, l'unicité et la culture folklorique roumaine entre les heures 9 – 17. L'institution organise régulièrement des événements visant à mettre en évidence divers thèmes du folklore et de la culture roumaine. Le prix d'entrée pour le musée est de 8 lei pour les adultes, 4 lei pour les groupes d'adultes et de 2 lei pour les étudiants en groupes organisés.

Le Musee d’Art

Situé au cœur de Constanta, à l'intersection des avenues Tomis et Ferdinand, Le Musee d’Art est une institution qui impressionne avec des valeurs artistiques qu’il détient. Declare la deuxième institution du ce genre en Roumanie après le musee d’art de Bucarest, le musée d’art Constanta est situé dans un bâtiment avec une histoire pleine de sens pour la ville.

L'imposant bâtiment qui abrite aujourd'hui les collections du Musée d'Art a été le premier lycée du Constanta. L’etablissement d'enseignement a été construit entre 1891-1893 à l'initiative du maire de l'époque, qui voulait changer l'apparence de la ville par certains bâtiments majestueux. L’ecole a été nommé "Prince Ferdinand et la princesse Maria» et occupait deux établissements d'enseignement individuales et totalement séparés : une pour les garçons et une autre pour les filles.

Il convient de mentionner que le Musée d'Art Constanta a eu un riche patrimoine avant même que l'institution être déplacé dans le bâtiment de la ancienne école. Un moment important dans l'histoire du Musée d'Art Constanta a été passé en 1990, lorsque les travaux de protocole de Nicolae Ceausescu de Neptune ont été donnés à l'institution. Puis, le musee a pris possession des peintures et des sculptures de célèbres artistes roumains.

Dédié à la peinture, sculpture et arts graphiques, le musée d’art Constanta détient actuellement une collection de plus de 7400 œuvres, organise chronologiquement, illustrant exemplaire l'art roumain. Dans les galeries du musée on trouve tous les grands artistes roumains à travers des œuvres d'art d'une rare beauté.

Une fois entrees à l'intérieur du musée, les visiteurs sont accueillis par des œuvres d'artistes de la peinture roumaine (art. XIX). Dans cette section, ils sont exposés des ouvrages de référence de Nicolae Grigorescu, Stefan Luchian, Theodor Aman et Nicolae Tonitza.

On se voit obligé de souligner que le musée conserve toute la collection du peintre de Nicolae Tonitza, ce qui signifie plus de 70 œuvres. La période entre les deux guerres est reconnu comme un moment glorieux pour l'art roumain, il est également bien représentée par des œuvres de peintres célèbres tels que Theodor Pallady et Gheorghe Petrascu.

L’exposition de peinture du Musée d'Art Constanta se poursuit avec des œuvres exceptionnelles de peintres romains plus ou moins connus. L'histoire de l'art roumain leur donnera un juste place à un moment donné.

Avec l'impressionnante collection de peintures, le musée d’art Constanta possède aussi une importante collection de sculptures portant la signature de noms célèbres dont nous pouvons illustrer la Dimitrie Paciurea, Gheorghe Anghel, Oscar Han, Ion Jalea, etc.

La principale attraction de l'exposition de la sculpture est l'œuvre du sculpteur Dimitrie Paciurea intitulé « Himera de l’eau », situé au milieu de la salle principale du musée. Ce que beaucoup de gens ne savent pas est que le Musée d'Art Constanta ne signifie seulement des expositions ouvertes au public, mais il a aussi un côté sombre, avec une valeur supérieure à celle exposée. Le musee a environ quatre dépôts qui sont font part du patrimoine du musee et sont conçus pour préserver les œuvres.

Le musee du Port

Constanta avec un port d'une histoire datant de 2000 ans, a aussi un musee du port qui mériterait connu et promu.

Le musée est basé dans la construction nommé Le Nid de la Reine ou Le Pavilion Regal. Le bâtiment a été conçu et construit par des ingénieurs du port Constanta sous la direction de Anghel Saligny (architecte du pont Cernavoda entre 1909-1910 et des silos de céréales dans le port, fonctionnels aussi maintenant).

Le bâtiment est situé sur l'ancien digue d'entrée dans le port, et a été initialement conçu comme un bâtiment en bois ressemblant à une superstructure d'un bateau.

Malheureusement, le musée est dans un endroit qui devient assez difficile. A la gauche de la porte 1, le visiteur devrait prendre sur le barrage à environ 1 km. Le paysage jusqu'à il n'y a pas tres agréable, mais finalement produits portuaires en transit provienent de différentes sources et pas forcément le plus agréable à l'œil. A la fin, en face se trouve un petit immeuble, mais très confortable et accueillant, qui cache beaucoup de choses intéressantes. En raison de son emplacement, le musée est visité principalement par les connaisseurs et les touristes étrangers.

La Reine assis ici souvent avec des gardes d'honneur, tandis que le roi était assis au Palais Royal de Constanta (maintenant le Tribunal). Le roi visitait la reine, ils prendaient le thé ensemble et la reine organisait des thés littéraires presque tous les jours ou réceptions que les journalistes considéraient avec d'une charmante simplicité.

En outre, il a été conçu une belle terrasse surplombant la mer, où la reine, en particulier a la vieillesse, vêtue de blanc avec des cheveux longs et blancs, assis sur la terrasse et souhetait aux bateaux qui sont allés en mer "Bon voyage!" et "Bonne chance! ». Tout l'équipage s'etait réuni sur le pont pour la saluer au départ at au l'arrivée au port.

Le Musée du port a eu l'ouverture dans l'année 1996, qui a été choisi pour marquer un anniversaire important pour le port: dans 1896 a ete le début formellement, les travaux de construction du port. Lors de la célébration des cent ans ce qui reste Le Nid de la Reine a été transformé en un musée.

Le musée présente les traditions et les activités portuaires de la période de l'antique Tomis à nos jours.

L'exposition permanente est organisée chronologiquement de l'antiquité à l'époque contemporaine et reflète l'histoire du port. Le Musée offre au public des images de cru et reproductions de documents importants ou des plans de construction.

Le Musée de sculpture Ion Jalea

Le musée Ion Jalea a été fondée en 1968 et est logé dans un bâtiment classé monument historique. Il a été construit dans le style néo-roumain entre 1919-1920, l’architecte etant Victor Stephanescu.

Le musée dispose de 108 œuvres d'art donnés par Ion Jalea au ville de Constanta.

Ion Jalea a été l'un des grands sculpteurs de la Roumanie, né en Dobrogea, membre de l'Académie roumaine, avec une activité artistique de sept décennies. Après la Première Guerre mondiale, Ion Jalea a perdu une main dans la lutte, et a eu pour sculpter la vie entière avec une seule main.

Ion Jalea est auteur de nombreux monuments, des statues, des bustes, des reliefs, et des compositions allégoriques.

– Monuments

Les années 50-60 ont donné au Constanta le patrimoine de sculptures.

La station Mamaia et la zone péninsulaire de la ville ont connu au cours des deux premières décennies du communisme, un investissement inattendu en termes de patrimoine historique et culturel. Les grandes découvertes archéologiques de la ville de Tomis, avec des artefacts exception, qui, aujourd'hui, peut être vus dans les voûtes du Musée National d'Histoire et d'Archéologie, la ville de Constanta a été enrichie par les œuvres de grands sculpteurs roumains Ion Jalea, Corneliu Medrea, Oscar Han, Boris Caragea, Zoe Baicoianu, Mac Constantinescu ou Constantin Baraschi.

Ainsi, ont été créés deux zones geographiques de petites dimensions, qui ont accueilli et aujourd’hui aussi accueillent, ces statues devenues des œuvres d'art pour le public et beaucoup d'entre eux placés sur la liste des monuments historiques de la catégorie B ou A, avec une valeur national et international.

Le Fare Carol I

Le Fare Carol I est un bâtiment qui est situé dans la ville de Constanta, monté dans une tour de pierre et a une hauteur de 21,75 mètres au dessus du niveau de la mer. Il a été construit en 1909 et il a été appelé sous le roi Carol I, et il a été inauguré le 27 Septembre 1909, comme se peut le voir écrit sur il. Sur il, aussi est une plaque avec l'inscription de « Port Constanta ».

Sur la façade du sud, il étais assis, le bas-relief du roi Carol I. sur la façade du norde, le bas-relief de Traian, et sur le côté ouest, il était placé l'inscription "Port de Constanta – défendu par les vagues de la mer, sous le règne du roi Carol I". Un élément important du phare était l'effigie du roi Carol I, détruit par les communistes, mais plus tard reconstruit, en 2002 par l'artiste Traian Marinescu.

Il a été nommé Le Fare Carol I et est devenu l'un des symboles du port de Constanta.

La statue d’Anghel Saligny

La Porte I du port, est surveillé par la statue imposante de l’ingénieur Anghel Saligny. Situé en 1965 dans le port, le travail de Oscar Han a recevu le site d’aujourd’hui, le port de Constanta, en 1974. L'auteur Oscar Han (1981-1976) était un sculpteur roumain qui a laisse au Constanta aussi l'ensemble de la statue en front de lamer de Mihai Eminescu, sur la falaise de Casino, près de le Phare Genovese.

La statue a été faite en 1957 par Han du bronze avec un socle de granit. La statue est de 3 mètres de haut et représente a Anghel Saligny au repos, dans les pies. Sur le socle, une plaque de marbre placée le 16 Octobre, 1996 dit: «Anghel Saligny 1854-1925, il a conçu et dirigé la construction et la modernisation de Port du Constanta (1899-1910). Les réalisations le place parmi les ingénieurs roumains les plus brillants. Il a provoque l'introduction pour la première fois en Roumanie des pilotes et les effaceurs de béton dans la construction portuaire et la conception des silos à grains et de la station de petrole.

La Statue de Mihai Eminescu

Le buste de Mihai Eminescu a été exécuté habilement au début des années 30 par le sculpteur Oscar Han. Le monument est situé près de la mer, sur la falaise du Casino, remplissant ainsi l'un des souhaits exprimés par l'artiste dans le poeme "Mai am un singur dor …"

"J'ai envie:

   Dans la soirée tranquille

   Laissez-moi mourir

   Au bord de la mer. "

"Mai am un singur dor:

In linistea serii

Sa ma lasati sa mor

La marginea marii. "

Le grand poète Mihai Eminescu a vu pour la première fois la mer en 1882, quand il avait 32 ans. Il est arrêté pour 10 jours a Constanta pour faire de grandes salles de bains, sur la recommandation des médecins, et il était éperdument amoureux de la beauté de l'étirement de l'eau. L’initiative d’ascension d'un monument en l'honneur de Mihai Eminescu appartenait à I.N. Roman, brillant avocat, écrivain, journaliste, homme politique et maire de Constanta qui a connaisse personnellement le poète.

Malheureusement, la personnalité de Constanta a decede en 1931, avant que la statue était finie. Le buste de Mihai Eminescu, sculpté en 1932, a été inauguré deux ans plus tard, le 15 Août, Journée de la Marine, en présence du roi Carol II. Pour marquer l'événement, le roi a récite la première strophe du poème "La steaua" et le chœur presente a chanté, "Mai am un singur dor…"

La Statue de la reine Elisabeta

La Statue de la reine Elisabeta c’est une œuvre de Ion Jalea, et a été inauguré dans le jour de la Sainte Marie de 1937, en présence du roi Carol II, du grande voievod Mihai (roi de la Roumanie entre 1927- 1930 et 1940- 1947) et des oficialites locaux. L'hommage apporte a la premiere reine de la Roumanie est symbolique: Elisabeta ou Carmen Sylva, sur le nom d’ écrivain, a laissé des empreintes remarquables sans équivoque sur l'histoire de la ville. Ion Jalea a placé la statue sur la falaise du Casino Regina et a etabli que la reine regarde la mer sa ctitorie à la fin de la digue, "Le Nid de la Reine." Le petit palais d'été où Elisabetaa vécu une longue période, quand elle était a Constanta, près du phare "Carol I" espace où arrivaient les têtes couronnées d'Europe. La dernière visite que Elisabeta reçut il était le tsar Nicolae II de Russie et sa famille impériale, dans le derniere l'été de paix, en Juin 1914.

Posiblement, c’est ne pas le meilleur travail de Ion Jalea, mais la mémoire de Constanta sans la reine Ellisabeta et surtout sans le roi Charles I est incomplète et inéquitable.

La statue du poète latine Ovidiu

La statue du poète latine Ovidiu a été exécuté par le sculpteur italien Ettore Ferrie en 1887 en hommage à l'écrivain qui a vécu les dernières années de sa vie en exil à Tomis. Le monument se dresse fièrement dans la place Ovidiu en face du Musée National d'Histoire et d'Archéologie. La statue a été dévoilée en Août 1887 dans la presence des personnalités locales actuelles et était un événement festif pour toute la ville. A l'origine, le monument a été orientée vers le nord, mais a été déplacé à sa position actuelle en 1921, avec le commencement de la construction de la Salle du Palais, le musée actuel d'histoire nationale et de l'archéologie. La statue de bronze représente a l'écrivain Ovidiu avec une attitude méditative.

La statue de pêcheurs

Dans les annees '60, les autorités ont demandé au sculpteur Corneliu Medrea Virgile (1888-1964) – artiste, membre de l'Académie, la realisation d'un groupe statuaire qui rende l'hommage au travail des pêcheurs. Initialement, la statue de pêcheurs a été placée sur la terre, après il est construit autour une piscine qui rapproche de la réalité du groupe statuaire.

La Statue de la Louve

La Statue de la Louve en bronze est une copie de la célèbre statues de Roma, Lupa Capitolina. La statue représente la louve, dont la légende dit qu'elle aurait allaité Romulus et Remus, les jumeaux fondateurs de Rome.

Dans un premier temps, la municipalité de Rome a donné au Mairie de Bucarest en 1906, cette copie comme symbole de l'origine daco-romaine du peuple roumain. Par la suite, des copies de cette statue ont été offerts à d'autres villes, y compris Constanta. La statue de Constanta est située entre la mairie et La Place Ovidiu. Enfin, d'autres copies ont été offerts au plus de pays avec lesquels Rome voulaient avoir des relations cordiales: France, Etats-Unis, l'Argentine, l'Espagne et même le Japon. Ainsi, la statue porte le symbole de Rome, dans le monde entier, le message d'amitié du peuple italien. La statue originale apparemment date du Ve siècle avant J.-C. et il a été coulé en bronze par les Etrusques, sur le fleuve Tibre. Son âge a été établi par des chercheurs qui ont étudié le mode de la coulée de bronze.

La culture matérielle et spirituelle

Pour plus d'un siècle, les terres de Dobrogea coexiste une communauté ethnique diversifiée. Nous parlons des grecs, arméniens, hébres et turcs.

Dans l'ancien partie historique de Tomis sont conservés des symboles de la culture et de la tradition des populations qui ont construit dans le pasee des quartiers durables. La plupart étaient des Grecs. Ils étaient une grande et forte communauté de l'époque ottomane.

Étant donné que dans cette province ont réussi au fil du temps apparaitre de nombreuses populations, on a aujourd'hui un mosaïque ethno-culturelle hétérogène, unique dans la Roumanie qui a certaines particularités en fonction de la culture matérielle et spirituelle de chaque communauté.

La culture spirituelle du peuple roumain est très proche du celle du peuple bulgare à la suite de longues interactions et influences entre les deux communautés.

Dobrogea a une situation folclorique très particulière par rapport à d'autres zones folcloriques du pays. Dans cette zone, ont migré ou ont été déplacées gens de nombreuses régions du pays, Olténie, Munténie, sud de la Moldavie, les bergers de Transylvanie. En Dobrogea vivent ensemble les Turcs, les Tartares, les Bulgares, les Macédoniens, chacun contribuant au développement de la région multiculturelle, mais en même temps, en gardant les spécificités de chaque groupe ethnique.

En Dobrogea, les habitudes ont été amenés de toutes les régions du pays par les roumains qui se sont installés ici plus d'un siècle.

Dobrogea a un specifique qui ne doit pas être ignorée, est une zone cosmopolite où certains territoires étaient peuplés avec des noyaux de gens qui proviennent de différents zones: villages originaires d'Olténie, Valachie et Transylvanie. Chacun est venu de la région respective et a introduit les coutumes et la tradition specifique, et pour ca, nous rencontrons des habitudes et événements de village en village.

– Traditions et coutumes

Dobrogea rassemble, selon le recensement de 2002, une population de 971.643 habitants. 883.620 (90,94%) sont Roumains. D'autres groupes importants sont les suivants: 27.580 Turcs, Tartares 23.409, 21.623 Grecs, Ukrainiens et Bulgares. Avec une telle mosaïque ethnique, la zone a des habitudes specifiques conservés encore dans les communautés des Arméniens, Grecs ou Bulgares . Le plus populaires et communes de ces habitudes sont Lăzărelul, Caloianul, Paparuda, Olaria et Cucii.

En Dobrogea, nous rencontrons des coutumes qui ont été conservés depuis long temps et sont encore pratiquées:

"Lăzărelul" – pratiqué dans le samedi de "Florii" – pratiquée actuellement dans la ville avec une population majoritairement grecque,"Izvoarele". L'habitude dit que Lazar meurt dans un accident alors qu'il était dans la forêt pour apporter de nourriture pour les animaux. La mère et les filles du village lui plaindre, et du tombeau de Lazare apparait un arbre avec des riches branches.

"Olaria" – est une tradition du Dobrogea qui représente la purification de l'air et le harcèlement des mauvais esprits du village. Aussi appelée «Orarie» ou "Hurhumbalu" selon la localité (Izvoarele, Niculitel, Parches). La coutume consiste à allumer des feux dans les collines de débris végétaux ou de les aliments consommés par les animaux en hiver, symbolisant la purification de l'ancienne végétation pour faire place à une nouvelle et florissante végétation.

"Caloianul" – pratiqué après Pâques – la coutume consistait à faire une poupée d'argile, qui était enterré dans le champ, puis après une période de temps elle serait exhumé, déchiré en morceaux et mis en décharge, symbolisant la fertilité, l'abondance des cultures et de régénérer la végétation .

"Paparuda" – pratiquée dans le troisième jour de Pâques dans les localités Niculitel, Luncavita, Vacareni, et Jijila – le coutume consistait dans l'aspersion avec d'eau sur de jeunes ou de vieilles femmes, ornées de fleurs et de branches vertes, entrant de cour en cour. Les femmes jeunes ou vieux, dansent et chantent pour la pluie.

"Oleleu" – pratiquée dans la nuit de Noel par des groupes de garçons qui collent avec des cloches sur la terre en cercle ou demi-cercle en face de la maison ou à la porte symbolisant la protection contre les mauvais esprits. La coutume est encore pratiquée dans le Macin.

"Boboteaza" – pratiqué le 6 Janvier – l'habitude consiste à récupérer par les gars une croix jeté dans l'eau, ce qui prouve leur passage chez les hommes.

"Calafatuiala" des bateaux – En raison de l'arrivée des bateaux en fibre de verre et d'autres matériaux divers en bois, ce métier est en danger.

« Calafatuire »: operation pour sceller avec de l'étoupe. Avec l'utilisation de burins spéciaux, le calafat était forcée entre la coque d'onglets (ou ponts planches) pour les scellér sans affecter leur élasticité.

« Calafat »: matériau constitué des chiffons imbibés cassés avec du goudron, qui rempli des fissures, des trous ou des lacunes sur les côtés et les ponts en bois des navires afin de les sceller.

« Mosoiul » est une coutume dans laquelle les gens se déguisent avec des masques, tournant leurs manteaux sur le revers. Les masques au début étaient plus beaux, plus abordables, maintenant sont de plus en plus féroces, mais le rôle de la danse Mosoiului est de protéger le Noël des mauvais esprits, de les chasser. Déjà on lui a donné une connotation religieuse, le défenseur.

La menuiserie et la forge pratiquées dans les villages, ont été formés et leurs ramification: tonneliers, maréchaux-ferrants, et la rotation. En outre, les métiers de base sont: l'agriculture, avec ses deux branches: l'élevage des animaux et la culture des plantes et l'occupation des villages spécifiques du Danube – la pêche.

Une importance aparte apportents les chansos specifique a la fete de Saint Andrei. Mais ils sont très rares et sont pratiques avant de Saint-Andrei, pas avant le Noël.

Les danses populaires

Les dances en Dobrogea conservent les caractéristiques essentielles du folklore chorégraphique roumain, soulignant l'unité de structure et la forme avec des dances roumains d'autres régions. Les dances populaires du Dobrogea présentent une variété animée, dont l'explication se trouve dans la composition démographique qui se réunit dans le même territoire des habitants en provenance de toutes les régions du pays.

Le danse folklorique du Dobrogea represente une synthèse des valeurs chorégraphiques de différentes régions, devenant une unité autonome et représentative dans le tableau des styles régionales roumaines.

La rhythmique de dances de Dobrogea est une richesse exceptionnelle. Les formules rythmiques sont tres variées. Cette richesse des rythmes ne répondent plus dans aucun autre région du pays.

Le specifique de danses folkloriques de Dobrogea se distingue par certains traits essentiels et caractéristique de cette région. Le style Dobrogean est tout à fait différent des autres régions mais il a aussi des points d'affinité avec d'autres régions du pays. De cette façon, on distingue deux types de traits que nous appelons les caractéristiques teritoriales et les spécificités pontiques de la mer Noire. Les caractéristiques teritoriales définissent la typologie territoriale des danses du Dobrogea et les caractéristiques pontiques sont stylistiques.

Dobrogea se caractérise par une danse folklorique plein de tempérament et de bonnes variantes de "Brîul muntenesc" exécutée rapidement, "Hora pe bataie" Breaza, des versions spécifiques adaptees aux styles specifiques des zones. Une place importante represente les danses "Geamparaua, Cadîneasca, Păhărelul, Drăgăicuța, Păpușica, Marănghile, Pandelașul", danses rythmiques asymétriques, qui ne se trouvent que dans cette zone.

Le port populaire

Par la diversité typologique du port populaire, par certains accessoires et parures avec fonction sociale ou cérémonielle, on peut façonner le concept convaincant du multiculturalisme en Dobrogea rurale, où, avec les Roumains autochtones ou les Balkans, on rencontre les communautés de Turcs, Tartares, des Bulgares, Grecs, Russes et Lipovani dans lequels certains composants vestimentaires ont été investis avec l'identité de marque incontestable.

Pour façonner la typologie folklorique des roumains, sont jointes les variantes des costume de femme avec androca et jupes ou deux jupes, en association avec une chemise avec empiècement sur mesure lin rayé, présentant une broderie florale disposées sur les épaules, le joug et le bas des manches et après avoir fait de petits éléments clés reliés entre eux par l'aiguille ou au crochet ou une chemise, à droite, tissés à partir de la soie et du cou en coton orné de manches en dentelle et en bas de bonneterie étroite.

Dans le port de musulmans Dobrogeans distingue des costumes avec des pantalons courts et Ilic spécifiques aux femmes d'origine ethnique turque, ceux avec la robe, Tatar ethnique, mais l'utilisation de certaines parties de pièces chapellerie spécifiques ou des ornements et des accessoires spécifiques aux femmes sont des similitudes évidentes.

Les matériaux de la laine, la soie et le coton, les firs d'or et l'argent, la composition ornamentale de costumes represente une différence par rapport au reste du pays.

Personnalités de la ville de Constanta

Cătălina Ponor (né le 20 Août, 1987) est une gymnaste de Constanța, Roumanie. Après avoir commencé la formation avec l'équipe nationale en 2002, Catalina Ponor a remporté plusieurs médailles avec l'équipe roumaine, ainsi que des médailles individuelles pour poutre et exercices au sol. Presque inconnu jusqu'à la fin de 2003, Catalina Ponor a fait plusieurs réalisations importantes dans sa carrière de gymnaste. Ses faits saillants de carrière comprennent les Championnats du monde 2003, où elle était médaillée d'argent triple, et les Championnats d'Europe de Gymnastique 2004 et Jeux Olympiques d'été de 2004, dont les deux qu'elle était une triple médaillée d'or.

Après les Jeux olympiques, Ponor a ete impliqué dans des controverses, mais a également triomphé à plusieurs concours. Après avoir remporté une médaille d'or aux Championnats d'Europe 2006, Ponor a décidé de prendre sa retraite en raison de blessures. Malgré cela, elle a repris l'entraînement et avait l'intention de participer aux Jeux olympiques d'été de 2008. En Décembre 2007, elle a annoncé sa retraite du sport pour des raisons de santé.

Razvan Ionut Florea, (Septembre 29, 1980 Constanta) est un nageur roumain, le premier qui a remporté une médaille olympique pour la Roumanie au masculine.

Il a commencé à nager à l'âge de 5 ans et demi au Palais des enfants Constanta, sous la direction du prof. Dumitru Lungu. En raison de son attirance pour l'eau et les qualités natives (son père était un plongeur professionnel), Răzvan a réussi à surmonter le problème d'etre en surpoids et a fait des progrès rapides. Après plus d'un an du bassin, il a assisté aux premières compétitions de natation au sein de son groupe d'âge, au cours de laquelle a remporté six médailles.

1987 sera son année, l'année de référence dans lequel il a remporté sa première médaille.

Dans les années qui ont suivi, sa progression est restée constante, donc en 1988 (8 ans) Razvan est monté jusqu'à 11 fois sur le podium des compétitions locales, en 1989 avec 6 autres fois, en 1990 et 1991 21 fois, y compris pour la première fois sur le podium des concours républicains pour les enfants de 10 à 11 ans. Les résultats les plus significatifs de cette période demeurent, mais ces deux records nationaux établis par Răzvan a l'échantillon 50m papillon à l'âge de 11 et 12 ans.

Simona Amanar (7 Octobre 1979, Constanta) est une gymnaste roumaine du valeur mondiale, arbitre gymnaste actuel, retiré de la compétition, est multiple médaillée olympique, mondiale et européenne. Il a remporté sept médailles olympiques et 10 médailles au championnats gymnastiques du monde et a remporté avec l'équipe roumaine quatre titres mondiaux consécutifs. Un certain saut en gymnastique, extrêmement difficile, aujourd'hui porte son nom, etant exécute en premier par Simona Amanar aux Jeux Olympiques en 2000. La gymnaste est la deuxième sportive roumaine inclus dans International Gymnastics Hall of Fame, après Nadia Comaneci. Du 1997 est un citoyen d'honneur de Constanta.

Ion Bănescu (n 1851 Roman, Neamt -.. D 12 Décembre 1909, Constanta), était un professeur, homme politique, historien, juriste et avocat roumain. Il s'etait affirmé dans l'éducation et l'administration publique. Il a étudié à l'Académie de Iasi Mihaileana, a remporté une bourse d'études à Berlin, où il a fait en des cours supérieures d'avocat, des lettres et des cours d'archéologie et d'histoire / géographie.

Grace a lui, en 1878 a etait etabli le Musée National d'Histoire et d'Archéologie Constanta.

Activité professionnelle

– inspecteur des écoles dans les comtés de Cahul, Bolgrad et Ismail (du 1874)

– supreviseur d'école pour Dobrogea (du 1879)

– inspecteur scolaire de district pour Constanta (1880)

– a fondé a Constanta la premiere école normale des professeurs, en devenant le directeur (1893-1896)

– professeur puis directeur du Gymnase "Mircea cel Batran" prestigieuse institution de Constanta (créé le 1er Septembre 1896 – Le lycée en 1911)

L'activité administrative

Il commence du 1er Janvier 1900. Ion Bănescu occupent les fonctions suivantes dans la ville de Constanta:

– Président de la ville intérimaire puis conseiller municipal (1 Janvier, 1900- 28 mai 1901)

– Maire de la Ville (7 Février, 1905 – Avril 11, 1907)

– conseiller municipal (20 Novembre, 1908 à la date du 12 Décembre mort 1909)

Affiliation

– membre de la Société géographique de la Roumanie

– Membre de l'Institut d'Ethnographie en France

Réalisations

– inspecteur qui est le fondateur de l'éducation moderne au departement de Constanta.

– en tant que maire il avait imposé des idées et des plans qui ont prouvé leur validité dans le temps

– systématisation et développement de la ville avant de systématisation par des professionnels; l'ordination des rues sur un plan rectangulaire

– zonage de la ville sur les fonctions économiques: résidentiel, commercial, industriel, touristique

– initiera les premiers amenagements a Mamaia et soutenira la promotion d'elle comme station.

– pionnier de l'éclairage public des rues dans la ville de Constanta

– a l'initiiation de l'approvisionnement en eau potable pour Constanta, apporté du Danube

– a souteni la consolidation et la réalisation de la falaise comme une promenade de boulevard (Regina Elisabeta)

– a souteni la construction du casino (ouvert en 1910)

– a l'initiative de la construction de la première centrale à Constanta

– initie l'introduction des tramways de la ville tirés par des chevaux.

Distinctions

– Médaille scientifique décerné par le Département de l'Académie roumaine pour sa «carte ethnographique de Dobrogea" (1894)

– Médaille du Travail, de première classe pour l'éducation (1906)

Jean Constantin, de son vrai nom Constantin Cornel Jean (né le 21 Août 1927, Techirghiol -.. D 26 mai 2010, Constanta), a été l'un des plus grands acteurs roumains, interpreteur des rôles comiques, considéré comme le «maître de la comédie." Parmi les personnages représentés par Jean Constantin on a celles de films d'action et comédie du réalisateur Sergiu Nicolaescu.

Il a fait ses débuts sur la scène du Théâtre d'Etat Fantasio à Constanta en 1957.

Jean Constantin est un personnage à la fois dans la vie réelle et dans les films. L'acteur a joué dans environ 80 films avec Toma Caragiu, Sebastian Papaiani, Dem Rădulescu, Puiu Călinescu, Iurie Darie, Amza Pellea, Sebastian Papaiani, Draga Olteanu-Matei, Stela Popescu et Ștefan Bănică.

Jean Constantin a reçu le prix pour l'ensemble des réalisations a la Gale des Prix Gopo en 2008, et un prix spécial pour theatre de reviste, accordée par UNITER en 2003.

En reconnaissance du talent de l'acteur Jean Constantin, Jean Badea, ancien secrétaire littéraire du théâtre de revue Fantasio, il lui a consacré la biographie artistique "L'homme qui apporte l'humour», publié en 1998.

Alexandru Pesamosca (né le 14 Mars 1930, Constanta -.. D 1 Septembre 2011, Bucarest) était un chirurgien pédiatrique de Roumanie. Pendant un demi-siècle, il a fait environ 45 000 opérations, en sauvant de handicape ou de la mort milliers d'enfants, y compris ceux considérés comme sans espoir et inoperables par d'autres médecins. Il opère également à l'étranger (Chine, France, Italie, Moldavie, etc.), gagnant un prestige international dans le domaine de la chirurgie pédiatrique avant 1989.

Le professeur Pesamosca est une légende vivante. Le talent et le dévouement lui ont apporté la denomination de «L'ange des enfants". Les petits qui on etes sauvés sous son scalpel simplement l'appelaient «Papa Pesi».

Politiciens, architectes, peintres, écrivains ou musiciens – Mihail Kogalniceanu, Alexandru Ioan Cuza, Ionel Teodoreanu, Vlahuta Alexandru Mihai Eminescu, ILCaragiale Barbu Delavrancea, Anghel Saligny, Maniu et George Enescu Nicolae Tonitza sont quelques-unes des personnalités qui ont fait leur marque sur la ville.

III. La valorisation du tourisme culturel-historique dans la ville de Constanta

La valorisation des ressources touristiques , des éléments du cadre culturel-historique en tourisme a été atteint de les temps anciens, si nous nous référons aux eaux minérales ou des établissements religieux de l'Antiquité et du Moyen Age, qui ont généré certains flux de visiteurs. Le développement du tourisme nécessite l'existence d'un potentiel touristique qui, par son attractivité, vise à encourager et à assurer l'intégration d'une zone avec une vocation touristique nationale et internationale, et permettant l'accès pour les touristes par des arrangements appropriés.

Le patrimoine touristique de Constanta consiste à assurer les conditions minimales requises pour le voyage, le logement et passer du temps agréable par les touristes. Essentiellement, la combinaison de ces éléments a comme résultat dans la polarisation des flux touristiques vers les destinations qui offre aux visiteurs la plus grande satisfaction dans un voyage de vacances.

III.1.L'état actuel de la valorisation du tourisme culturel – historique

Dans le domaine de l'art et de la culture, Constanta bénéficie d'un patrimoine riche et une infrastructure culturelle bien développée. La vie culturelle est soutenue par les théâtres, les institutions musicales, les musées, les bibliothèques publiques, les centres culturels, cinémas et jardins d'été.

De point de vue culturel, une caractéristique importante de Constanta est le mélange de l'ancien et le nouveau, entre tradition et modernité. Cette combinaison donne à la ville un charme supplémentaire et aux touristes la possibilité de connaître et de comprendre l'histoire et les traditions des lieux qu'ils visitent.

Constanta se trouve aujourd'hui sur les ruines de l'ancienne Tomis. Assis sur une mine d'or, une énorme richesse qui, si elle serait mis en valeur, apporterait des fonds importants non seulement a la ville mais aussi a l'économie nationale. Beaucoup d'entre les vestiges, maintenant sont enterrés sous le sol, d'autres ont été détruits par l'ignorance, dans les temps anciens, et d'autres pas peu nombreux, ont résisté au cours des siecles. Quel est le sort de ceux qui sont maintenant sur la surface, comme ils sont conservees, que-est que se peut faire avec ceux qui sont soumis à la dégradation, et ceux qui sont prêts à s'effondrer?!

L'un des vestiges les plus touchés c'est l'edifice romanin de mosaïque qui souffre du passage du temps et de l'indifférence (fissures, fenêtres cassées, rouille), affectant précieux monuments antiques et mettant en danger la vie des visiteurs.

Dans une situation déplorable se trouve aussi la tombe peinte, la construction de la protection etant également inadéquate, sans compter le glissement de la falaise. Le Musée National d'Histoire et d'Archéologie, monument historique, est gravement endommagé, nécessitant des interventions d'urgence pour réhabiliter les murs extérieurs et les portiques laterales. Heureusement, les fondations ont été renforcées par le projet HIPERB, mis en œuvre par le Conseil du comté de Constanta entre 2010-2012.

Constanta est l'une des villes qui vit et respire l'histoire. Chaque rue, chaque monument, tout vestige raconte une histoire d'il y a longtemps.

Nous voulons tous ce patrimoine culturel précieux pour être enseigné dans le bien-être des générations futures. Quelques vestiges, mais ils ont besoin de fonds pour la conservation ou de la restauration.

Mais on doit voit la parte bonne de la categorie d'amenagement touristique des objectifs, certains d'entre eux, les plus importantes ont l'avantage de:

– Comprimés avec l'image de l'objectif respective avec des données clés.

Exemples

– pièces collés sur un mur principale de l'objectif en vue de fournir des informations importantes dans la langue roumaine, mais aussi en anglais, quelques uns en francais aussi, des curiosités liees a l'objectifs et aussi et des services audio gratuits de guidage via le téléphone mobile.

Exemples

Dans la Place Ovidiu, nous trouvons une carte avec les 4 objectifs qui se trouvent dans cette zone.

Une autre carte on trouve à côté de l'Edifice Romaine de mosaïque avec des images illustrant des destinations de trans-frontière istro-pontiques pour le tourisme culturel.

La promotion du tourisme culturel – historique

Sur la base de l'analyse de la situation actuelle dans le tourisme et dans le processus de consultation des principales parties prenantes au niveau local grâce à des réunions et des discussions au cours de la préparation de l'étude, a montré la nécessité de procéder à des interventions qui favorisent le développement du tourisme, favorisant ainsi le développement durable de la région métropolitaine Constanta.

En outre, en comptant la richesse du patrimoine culturel existant, une meilleure exploitation de celui-ci en réalisant des projets de restauration / reabilitation des objectifs du patrimoine national et local se reflète dans le projet de mesures axées sur le développement du tourisme dans la région métropolitaine de Constanta.

Le litorel non seulement fourni divertissement mais aussi d'histoire et culture. Constanta possède un patrimoine historique et culturel unique. On a aussi des touristes intéressés à le découvrir en détail on observe la manque de quelque chose d'essentiel: la promotion. Pour que la promotion existe, on doit avoir des itinéraires touristiques conçus en détail par les agents de voyages et des représentants des musées.

L'anee dernier, les 64.000 visiteurs du Musée National d'Histoire et d'Archéologie Constanta, 22.000 étaient des touristes étrangers venus avec les navires de croisière.

Tous étaient intéressés a admirer des pièces inestimables telles que le serpent Glykon, unique dans le monde, le buste d'Isis, le groupe statuaire Fortuna et Pontos et bien d'autres trésors. Comment les étrangers sont intéressés aussi par la période de Ceausescu, cet été, 3 salles seraient consacrées a la Roumanie communiste.

La manque de communication entre les musées et les agences de voyages est dommageable pour les deux parties. Par exemple, le Musée Militaire Constanta, en dépit de ses objets précieux,a ete visité par seulement 2.500 touristes en 2014 en raison du manque de visibilité.

Les statistiques montrent que 40% du tourisme mondial c'est le tourisme culturel et la tendance est de plus en plus.

L’infrastructure

Les infrastructures de transport

 Le transport routier

La région du Sud-Est est traversée par des principaux corridors de transport qui fournissent la liason des centres urbains avec la capitale. Les principales routes et chemins de fer de la région sont: est-ouest Bucarest – Constanta et Bucarest-Braila-Galati et Bucarest-Buzau-Focsani (soit par Ploiesti, soit Urziceni), qui continue vers le nord reliant les principales villes de la région.

La région métropolitaine de Constanta, par sa situation géographique, est une zone d'intersection des voies de transport internationales reliant l'Europe à la fois le nord et le sud et l'ouest à l'est. Le réseau de transport existant assure une connexion aux réseaux dans les pays voisins et avec les pays d'Europe et d'Asie. Comme a ete établi a la Conférence paneuropéenne des transports en Crète en 1994, Constanta est situé sur le corridor paneuropéen 4: Berlin – Nurnberg – Prague – Budapest – Bucarest – Constanta – Ssalonique – Istanbul.

En outre, cette zone est traversée par le passage européen. 7: Constanta – Le canaux Danube – Mer Noire – Danube – Main – Rhin – Port de Rotterdam (Pays-Bas).

La zone est traversée (du nord au sud et d'est en ouest) par deux routes européennes: E60, reliant Bucarest à Constanta et E87, reliant Constanta à la Bulgarie.

La longueur des routes municipales totalisant 666 km (410 km réseau de routes internes appartienent a Constanta), dont 511 km sont des moyens modernisés de rues municipales.

Le trafic routier se déplace généralement facilement. Les principaux problèmes se posent au cours de l'été, lorsque le nombre de voitures qui passent, est triple.

A Constanta, le transport en comun, est assuré à 80% par la RATC, subordonné au Conseil local Constanta, sur le marché, mais aussi etant aussi des opérateurs privés. Actuellement, la flotte de transports en commun pour les personnes de R.A.T.C. dessert 18 routes locales et se composent de 26 bus, 65 tramways et 135 bus équipés de catalyseur euro 3, Constanta etant la seule ville dans le pays qui dispose d'une flotte entièrement rénovée aux normes européennes.

Le transport ferroviaire

Le transport ferroviaire, de fret et des passagers, se realisent surtout sur: Bucarest – Ciulnița – Fetesti – Constanta, mais aussi sur la route Fetesti – Constanta – Tulcea. Par la ligne qui traverse l'ensemble du pays: Constanta – Bucarest – Brasov – Deva – Arad, Constanta est connecté avec la Hongrie, l'Autriche et l'Europe occidentale.

La proximité des chemins de fer de la municipalité, a une longueur d'env. 406 km. Sur la route Constanta – Bucarest quotidien 11 trains, six autres lfont la liason Constanta – Tulcea, le point de départ du delta du Danube, et 14 trains circulent quotidien au sud, Mangalia.

En ce qui concerne le fret ferroviaire, il est très bien développé et dispose d'une infrastructure moderne et bien adapté au service demandé.

Les principales questions touchant les chemins de fer dans la région sont les conditions mauvais dans lequels on trouve les éléments roulants du point de vue technique, et des conditions de confort de wagons relativement faibles. Il est nécessaire d'améliorer la situation quantitative et qualitative des routes d'accès et les chemins de fer dans les grands centres économiques et aussi le lien entre eux et les corridors de transport européens.

Le transport maritime

Le port de Constanta – le plus important port sur la mer Noire et le quatrième en Europe, a une superficie totale de 3.926 ha, 1.312 ha – terre et 2.614 ha – l'eau, et est situé sur la côte ouest de la mer Noire.

Situé au carrefour des routes commerciales reliant les pays développés d'Europe Occidentale et les marchés émergents d'Europe centrale aux fournisseurs de matières premières en provenance de Russie, d'Asie centrale et de Transcaucasie, le port de Constanta offre un certain nombre d'avantages, parmi lesquels les plus importants sont:

– port multi-fonctionnelle avec des installations et des profondeurs de bassin d'eau suffisante pour les navires du port avec une capacité de 220.000 dwt;

– accès direct au corridor paneuropéen VII – le Danube, sur le canal Danube-Mer Noire, offrant un transport de rechange aux routes d'Europe Centrale plus courtes et moins coûteux que d'utiliser les ports d'Europe du Nord;

– de bonnes connexions avec tous les modes de transport: ferroviaire, routier, fluvial, aérien;

En ce qui concerne le trafic de l'eau dans le port, il est d'environ 10 millions de tonnes / an et 24% du trafic annuel. Chaque jour, plus de 200 barges sont en fonctionnement ou sont amarrés dans le chargement et le déchargement des marchandises.

L'infrastructure portuaire pour les navires à passagers et des bateaux de plaisance est assure par le port touristique Tomis. Il est situé à 1200 mètres au nord du port de Constanta et a une superficie totale de 200.000 m2.

Le port touristique Tomis a été construit il y a 40 ans, et ila ete conçu principalement pour les loisirs et dispone des digues de protection, des installations d'amarrage, etc.

transport aérien

A 23 km de Constanta on trouve l'aéroport international de Mihail Kogalniceanu qui dans la saison estivale, il fournit des liens d'air à toutes les grandes villes européennes. L'aéroport dispose d'une piste d'atterrissage et de longueur de décollage de plus de 3500 mètres et a une capacité d'exploitation de 6 avions par heure.

Foires, expositions, festivals, manifestations etno-folkloriques

1. Festivals

a. Le Theatre de state présente cet été a Constanta la première édition du Festival International de Théâtre "Les Mythes de la Forteresse". Trupes de théâtre du pays ou de l'étranger viennent à Constanta pour une série de performances uniques!

Un événement qui montre de productions théâtrales avec des styles différents, des représentations visuelles qui sont produites selon les textes des auteurs antiques ou selon les textes d'auteurs contemporains avec la mythologie comme inspiration.

Le festival se déroulera du 20 Juin au 26, et less spectacles seraient joués en plein air dans La Place Ovidiu et au Theatre de state.

b. Les jours de Constanta – Les jours de Tomis – Évenement pour la celebration de 2500 ans d'histoire

Ce printemps, l'Association Roumanie – Dacia Notre Maison organise la première édition de la Journée de Constanta – la journee de Tomis pour marquer 2500 ans d'histoire et la fondation de Tomis.

L'événement aura lieu le samedi 21 mai sur la falaise du Casino Constanta et dans le parc Carol I.

Les organisateurs ont préparés jeux de gladiateurs, des démonstrations militaires et des ateliers interactifs, créés dans le but de faire revivre un peu de l'aréna Tomis.

c. Le festival antique Tomis est un evenement culturel-historique qui valorifie l'histoire et les vestiges anciennes specifiques au Constanta avec des activités d'archéologie expérimentale. L'événement est organisé par l'Association pour la promotion et développement du toursime Litorel – Delta du Danube et de l'agence de marketing culturel Groove Hour Constanta, avec la mairie de Constanta , avec le soutien des employeurs de l'Association Mamaia, l'Association nationale des agences de voyages et Conseil du comté de Constanta, et l'événement se déroule pendant trois jours, à Constanta, au cours de la saison estivale.

Le succès de la première édition de 2012 a genere la nécessité d'organiser ce festival annuel, le niveau local a été dépassé et a devenu un événement national et international. Le Festival Antique Tomis est un festival culturel international dédié et spécialisé dans l'ancienne reconstitution historique.

d. La journee de la Marine

Date: Le 15 Août

Chaque année, le 15 Août, les touristes se rassemblent à la mer sur la digue ou dans le port Constanta pour assister à la célébration de la Journée de la Marine coïncidant avec la célébration religieuse de la Sainte Marie.

Formalisés pour la première fois en 1902, la Journée de la Marine est célébrée aujourd'hui avec des salves de canon, jeter une ancre des fleurs à la mémoire des héros de marine, des jeux et des concours avec les bateaux, et enfin des feux d'artifice.

e. Parce que 25 Mars est la Journée nationale de la Grèce, la communauté grecque de Constanta a été mis au travail et a organisé plusieurs événements. Quel est le lien entre Constanta et pourtant la Grèce? Rappelons-nous que la vieille Tomis, ville fondée par les Grecs, les ruines sur lequels a été construit plus tard Constanta. On peut mentioner aussi lune de la plus anciennes églises de Constanta, l'Eglisese grecque, construit par la importante communauté grecque de la ville, en 1865, ou le théâtre de marionnettes "Elpis". Donc lien historique existe, et la culture est certainement dans toute fibre dans le citoyens de Constanta, qui n'ont aucun moyen de ne pas grimacer quand ils entendent des accords bouzouki. Il y avait des assiettes cassées, ont été jetés des fleurs, e beaucoup de danse.

f. Black Sea Tall Ships Regatta (septembre) l'événement le plus spectaculaire au cours des dernières années à Constanta, retourne en 2016. Voiles, marinaires, musique, ambiance festive, sont des ingrédients qui étaient présents en 2014 et certainement seront trouvés et 2016.

g. Festival international du Port, danse et chansons Turco-Tatar(Août), un événement qui nous à la fois impressionné par la qualité artistique et la chaleur du public qui a récompensé des artistes importants. Nous ne savons pas si ce festival sera organisé en 2016.

h. Le Marathon des sables (Mars) – organisé par l'association Sanasport était une très bonne surprise en raison du nombre de participants. Espérons que cette année pouvaient être présents plus partisans de concurrents, de sorte que la compétition soit plus attrayante.

i. Nomad International Film Festival (Juillet) – l'événement qui a réussi à garder une grande partie de Constanta dans la Place Ovidiu après minuit.

j. " Aime la mer " (Juillet-Août) – organisé par l'Association Civique de Constanta a réussi à d'apporter sur la mer sur " Adornate "des centaines de jeunes qui ont participé à une croisière pendant quelques heures sur la mer pour découvrir la beauté de la profession d'un marin.

La dinamique du nombre de touristes

A partir de ces données, nous pouvons voir une augmentation considérable en ce qui concerne les touristes roumains et étrangers en 2015 par rapport à 2006, l'année avec la plus faible valeur, avec une différence de 135 157 touristes. Le plus grand nombre de touristes roumains et etrangers a été enregistré en 2008, avec 832 589 touristes. Par général, nous voyons un mélange de hausses et des baisses même pas très significative.

Les valeurs de touristes roumains ont enregistré le nombre le plus élevé en 2015, 792 039 touristes, la valeur la plus faible étant également en 2006, 624 690 touristes.

Au lieu de cela, en 2006, il a été enregistré le plus grand nombre de touristes étrangers, 61 812, et l'année précédente, 2007, 58191. Après cela, cependant, le nombre de touristes étrangers diminue, l'enregistrement des valeurs etant dans environ 30.000.

III. 2 Les perspectives de developpement du tourisme culturel – historique dans la ville de Constanta

Les perspectives pour le développement du tourisme envisage d'imposer la zone metropolitane Constanta comme principal point de repère touristique de la large region et de pays en capitalisant son patrimoine culturel.

En etant dans nos jours aprecie en tant que destination touristique de qualité qui, en général répond aux normes de l'UE en termes de fournire de produits et services touristiques, la zone metropolitane Constanta dispose de ressources importantes dans ce domaine encore sous-utilisés.

En dehors du patrimoine naturel et culturel, nous trouvons une ressource humaine importante dans le tourisme. Plus de 35.000 personnes travaillent dans ce domaine et la valorisation dans l'avenir de la tradition et du potentiel existant dans le tourisme doit representer dans l'avenir un objectif important à la fois pour les pouvoirs publics et pour les entreprises.

La stratégie de développement envisage pour l'avenir d'encourager le tourisme saisonnier et la promotion de la destination au niveau international, le nombre de touristes étrangers visitant la région en augmentant. Se joint également diverses et variées attractions touristiques, naturelles, humaines et culturels qui sont un cible pour l'avenir.

Objectifs

– développement durable du tourisme d'une manière dans laquelle ses richesses environnementales, culturelles et patrimoniales sont également appréciés aujourd'hui et préservés pour les générations futures

– encourager les autorités locales à élaborer des stratégies et des plans de développement du tourisme, y compris tous les éléments d'infrastructure pour éviter le développement non coordonné

– développement du tourisme culturel

Les stratégies de promotion du tourisme

Le terme «stratégie» a comme origine le domaine militaire. Dans un premier temps, la stratégie visait à créer et à mettre en œuvre un plan de bataille pour gagner une guerre ou une composante de la science militaire concernant la conduite générale de la guerre et l'organisation de la défense d'un pays.

Une définition de la stratégie, utilisee en marketing est: «tous les moyens interdépendants utilisees pour atteindre les objectifs de politique commerciale».

La stratégie represente la direction et le but d'une organisation dans le long terme, ce qui donne des avantages à l'organisation par la configuration des ressources dans un environnement changeant pour répondre aux besoins des marchés et des attentes des actionnaires.

Après l'annee 1999, les touristes ont devenu mieux informés, mieux formés, plus exigeants, avec une vaste culture générale, avec une expérience dans les services d'évaluation, peu impressionnés par les mots gentiment dit au petit bonheur sans un réel soutien de qualité.

Le personnel de la societe touristique qui entre en contact avec les touristes doit découvrir chaque client, en fonction des caractéristiques de sa manifestation – quels services, quels preparats l'intéressent particulièrement, quels sont les preferences du client respective.

Des services de qualité, civilisés et efficaces, peuvent être obtenus qu'avec des employés compétents, subtils, de bons psychologues qui savent comment tirer parti de la maîtrise professionnelle en adaptant leur comportement à des situations particulières créées par différents types de clients.

À l'heure actuelle, il faut plus que jamais que tous les travailleurs dans le domaine des services touristiques, d'élever leur qualification professionnelle, pour pouvoir avoir la satisfaction d'une affirmation complète, à la fois pour les entreprises et pour eux-mêmes. Les entreprises fournissant des services doivent toujours faire leur publicité par le biais de diverses formes (télévision, radio, presse, affiches) sur la qualité des services fournis et selon les paramètres ci-dessus, contribuer à la réalisation de documentaires servant sur la façon d'offrir un hébergement, la presentation de patrimoine culturel de la région, qui peut être visité par les touristes, publicite pour les dates d'organisation de séminaires, etc.

Doit être faites des actions promotionnelles pour l'extra-saison, qui doit s'adresse sur un segment de marché spécifique, c'est a dire pour les collectifs qui ne supportent pas le soleil de Juillet et Août. La periode des mois Mai, Septembre et Octobre est idéale pour cette catégorie de touristes.

Une proposition intéressante pour la promotion de l'offre touristique du littoral roumain est la mise en place d'un bureau de marketing pour la promotion du patrimoine culturel et historique de la ville de Constanta. La mise en place d'une telle organisation serait nécessaire, comme elle representara l'image de notre ville à la fois dans notre pays et à l'étranger. Le bureau devrait avoir des personnes experts en marketing, compétentes, qui favorisent notre image internationale dans un mode plus compétitif par rapport à ceux de l'extérieur.

Pour attirer les touristes et développer le tourisme culturel-historique à Constanta, on doit recourir à beaucoup de publicité, tant au niveau national et dans l'internationl, d'organiser dans des conditions choisies, des congrès, foires, expositions, avec la participation d'hommes d'affaires , les politiciens, les touristes.

Il convient également de mettre l'accent sur le tourisme culturel dans ce domaine, étant donné que ici on trouve les plus anciens vestiges archéologiques de notre histoire.

Il devrait également être promus et capitalisée les traditions spécifiques folkloriques et les créations du Dobrogea, qui conduirait à capter l'attention des touristes roumains et étrangers.

En ce sens, La Direction de Commerce, Tourisme, Services Publiques et Agrement a insiste sur les activités suivantes:

1. La realisation et la distribution du matériel de promotion du potentiel touristique de Constanta, imprimées sur support magnétique (CD et DVD de presentation generale aperçu sur chaque objectif) version bilingue sur des thématiques distinctes – historique, culturel, religieux.

2. La mise à jour des bases de données existante, y compris le potentiel touristique. A cet égard, ont été initiés des actions de gestion de toutes les unités, des cinémas, des théâtres, des objectifs et des attractions touristiques à Constanta, afin de constituer un portefeuille d'informations complètes pour les touristes, les visiteurs et les potentiels intéressés et pour faire en première par le Conseil du departement de Constanta d'un guide touristique virtuelle.

3. La participation à des salons du tourisme nationaux et internationaux, pour promouvoir le potentiel touristique de Constanta. Il vise principalement l'information corecte et qualitative du potentiels visitateurs sur la possibilité de passer des vacances et de loisirs de leur séjour sur le littoral roumain, en exploitant de nouveaux circuits avec des valences de l'histoire et de la culture.

4. Initier des projets sur la modernisation des objectifs touristiques, la réhabilitation des zones, monuments, bâtiments d'intérêt touristique et moderniser les infrastructures physiques par:

a. la signalisation des principales objectifs touristiques en présentant des signes d'orientation touristique. Les actions visent à faciliter l'accès des touristes roumains et étrangers pour visiter, et d'accroître l'attractivité des produits touristiques et spécifiques consacrés à Constanta.

b. la continuation des actions d'amenagement des zones avec potentiel ethnographique, historique.

5. L'inititation et la mise en œuvre des projets dans le but de reintroduire certains objectifs avec des connotations culturelles, historiques et religieuses uniques, l'amélioration de la qualité des services publics et touristiques offerts aux touristes et aux visiteurs, le développement du tourisme dans la ville, avec un effet direct dans la stimulation du développement économique et social local. A cet effet, ont été développés par les représentants des propositions sur:

– L'établissement d'un réseau de 16 centres d'information touristiques dans les stations de la mer Noire et Constanta, un dans chaque station et deux à Constanta et 50 points "info-touch".

– Le maintien et la promotion des relations de collaboration durables entre le Conseil du comté de Constanta et les conseils locaux dans le comté. Cette mesure répond aux besoins locaux, le développement du tourisme, la promotion de la nécessité pour la réhabilitation des zones touristiques historiques ou architecturaux, le developpement des ressources humaines et des services sociales.

– l'augmentation de la formation de guides impliqués dans le tourisme culturel.

– l'amélioration de l'accès aux sites touristiques

– développer un réseau de centres d'information touristique dans le plus représentatifes zones du point de vue culturelle.

ACTIONS

– L'initiation des projets de valorisation et amenagement touristique des centres touristiques representatives par son valeur culturelle.

+ la restauration et à la préservation des centres historiques et les principaux monuments historiques et des vestiges archéologiques;

+ le marquage des circuits pédestres historiques, culturels ou architecturals, les sites archéologiques, etc. et des panneaux – cartes.

+ la modernisation et le développement des structures touristiques, des espaces commerciaux et des installations récréatives.

Développement et diversification des infrastructures et des services touristiques

Une proposition pour l'exploitation optimale du potentiel touristique de Constanta, est d'augmenter l'attractivité des objectifs touristiques. Augmenter l'attractivité peut être grâce à une meilleure exploitation des ressources antrophiques, donc du tourisme culturel dans la région.

Une autre proposition pour diversifier l'oferte touristique existante est l'organisation de foires, expositions, congrès dans les stations, au cours de l'extra-saison. L'organisation des congrèses attireraient un nombre important de clients exigeants qui perçoivent un séjour comme une forme d'être favorisée et motivé. Les types de manifestations sont variés. On peut également organiser des foires et des expositions, des foires commerciales, lancements de produits dans les halls ou les salles d'hôtels, et ces actions entraînera à attirer un grand nombre de clients-visiteurs, ainsi qu'un grand nombre d'organisateurs qui devienent tous les clients d'hôtels.

Un autre périmètre à surveiller pour le développement du tourisme sont les services rendus dans le tourisme d'être de qualité supérieure. Le personnel dans les hôtels, restaurants, installations de loisirs doit satisfaire à toutes les qualités de travail nécessaire, et sera donc en mesure de fournir des services de qualité.

Les services de qualité, efficaces, civilisées peuvent être atteints par des employés capables, subtiles, bons psychologues. Ils ont la tâche de traiter, depuis le premier moment de l'arrivée jusqu'au départ par toute l'attention que les clients ont besoin. On doit garder à l'esprit, la préparation de l'unité et de des ménages, qu' il soit équipé au niveau requis par les critères de classification de chaque unité; la modernisation permanente de l'infrastructure touristique et de trouver les solutions les plus appropriées en fonction des spécificités de chaque unité de sorte que lorsque les touristes reviennent dans cette unité toujours en trouvant quelque chose de nouveau, la preuve d'un soin particulier pour les clients; l'adaptation des services aux habitudes alimentaires des touristes par nationalité, âge, religion et le but du séjour.

On devrait modernise et developpe le chemin de transport, la route "du soleil" Bucarest – Constanta pour que les touristes peuvent avoir un accès plus rapide. Une autre proposition est l'augmentation de l'aéroport international Mihail Kogalniceanu, pour qu'il peut recevoir des avions de transport de grande capacité pour les touristes qui viennent ici.

Un autre aspect qui ne doit pas être sous-estimée en termes de développement, concerne les infrastructures existantes des possibilités de garde d'enfants. Pour venir sans souci avec les enfants, on devrait faire de places de surveillance et de jeux pour les enfants. Pour les touristes étrangers on pourraient établir des Kindergardens avec un personel multilingue qualifié.

Une autre proposition est la construction de restaurants originales comme le restaurant relié à la mer par un pont mobile, construit sur le principe d'un navire de coque flottante. Une autre idee de restaurant est aquatique, construit a une courte distance de la côte, à une profondeur pas très grande, avec des murs transparents pour offrir aux touristes un paysage sous-marin, avec un programme special et avec des spécialités de poissons. Ces mesures pourraient être d'une grande aide pour les touristes qui dans la première partie de la journée peuvent profiter du patrimoine culturel de la ville et le soir, ils peuvent se tourner vers d'autres activités de loisirs.

Avec l'intermede des mesures économiques et organisationnelles prises par le ministère du Tourisme et de Constructions, on peut renforcer et développer l'infrastructure, améliorer l'attractivité du tourisme, on peut diversifier les services, répondant ainsi aux goûts et aux préférences des différents segments de touristes. Si l'on tient compte de la compétitivité du tourisme dans le monde entier ou européen, il est nécessaire de faire des efforts pour fournir tout ce qui est plus récent, plus agréable et plus attrayant, pour forcer le touriste de choisir le littoral roumain, pour pouvoir attirer ce segment de touristiques avec des revenus et prétentions donc plus élevés, autrement dit d'être plus compétitifs.

Les principales mesures proposées envisagent le développement des infrastructures: infrastructures d'hébergement, loisirs / divertissement et d'assurer la prestation de services touristiques de qualité (les appareils, équipements, installations, etc.) et de l'infrastructure urbaine en général (routes, voies d'accès, les parkings, l'approvisionnement en eau, assainissement, éclairage espaces verts publics, etc.).

Projets de développement touristique

1. Projet Labyrinthum – PROPOSITION DE SAUVEGARDE de l'édifice romain avec mosaïque PAR le RENFORCEMENT DU BÂTIMENT EXISTANT. La modernisation du complexe museal ET la valorisation de l'ENCEINTE existante PAR la creation des espaces avec une foncionalite culturelle.

La vieille zone péninsulaire de Constanta est sous le signe du patrimoine historique et archéologique d'importance nationale, concentrée dans une zone bâtie inexploitée et abandonné dans une proportion de 35%. Les vestiges greques et romaines d'importance nationale et internationale, les bâtiments de patromoine, uniques et avec une riche architecture et la proximité écrasante du port de la mer Noire de Constanta provoquent la région pour se trouver sous l'attention des autorités locales et des investisseurs en ce qui concerne la régénération et la valorisation touristique de tout l'ensemble de l'espace péninsulaire.

Le projet de développement de l'edifice romain avec mosaïque Tomis vise la transformation en une infrastructure culturelle-historique expérimentale qui intègre les vestiges et l'exposition du musée existant dans un centre d'animation d'événements inter-culturels, artistiques, des médias et d'affaires en visant ainsi la promotion mutuelle des deux éléments de base, l'élément touristique de nature archéologique et l'element d'action qui attire et retienne les participants dans l'ambiance unique des vestiges. Ce projet présente un concept moderne de valorisation intégrale des ressources culturelles de la ville portuaire de Constanta, ainsi que des avantages compétitifs locaux en raison de la forte concentration des vestiges conservées, des ruines et des objets anciens de la vieille ville.

Le projet de développement de l'Edifice contribuera par ses actions et services, a revivre l'ancienne zone péninsulaire de Constanta, pour accroître la visibilité du Musée National d'Histoire et d'Archéologie et la popularité croissante de cette destination.

Objectifs:

L'objectif generale de developpement de l'Edifice romain avec mosaïque Tomis est que dans le long terme, aide a contribuer à la régénération de la zone péninsulaire de Constanta, en créant un espace culturel-historique convivial qui favorise la construction dans les événements et les activités des culturelles, artistiques et des affaires.

Le projet vise les objectifs suivants:

– L'expansion du cadre museal de l'édifice en intégrant des éléments architecturaux modernes et la dynamisation de nouveaux environnement grâce à des programmes inter-arts et des affaires qui valorise l'ambiance unique des vestiges et le potentiel culturel de la ville;

– Augmenter le trafic des visiteurs et des touristes du Musée National d'Histoire et d'Archéologie, a l'édifice romain de mosaïque, et généralement, dans la vieille zone péninsulaire de la ville;

– L'élimination des facteurs externes de dégradation de l'Edifice et d'assurer le contrôle du climat intérieur adéquat pour la conservation des expositions;

– L'assurance des ressources matériels-techniques, humaines et financiers nécessaires pour promouvoir les programmes culturels-artistiques et les activités de musée; la gestion rationnelle et transparente des fonds financiers, quelle que soit leur origine (budgétaire, parrainages supplémentaires);

– Élaborer des programmes spéciaux appropriés par âge, socio-professionnelle, etc., accroître l'assistance spécialisée dans la promotion Edifice;

– L'amélioration des conditions pour recevoir les visiteurs et les participants des programmes culturels et artistiques en introduisant des services publics spécifiques et des installations (eau potable, eaux usées).

– Le developpement des ressources d'information et promotion disponibles au public par la création de matériel promotionnel, des expositions, ou des événements;

– L'établissement de partenariats avec le sector public, privé et non gouvernemental pour la promotion de l'Edifice et le projet proposé.

Investissement

L'état actuel de l'exposition permanente des vestiges est vieux et démodé. Le projet propose la restauration de l'exposition et le remplacement des espaces avec des vitrages isolants. La restauration de l'exposition de base des vestiges et des expositionates devrait être une priorité en termes d'évolution dans les techniques de musées contemporains et dans les nouvelles méthodes artistiques d'intégration.

Les fonctions de cet espace sont proposés pour être:

Scène, coulisses, armoire; Espace public (couleurs généreux pour les visiteurs-500 places assises); Petite salle projections, conférences-200 places; Foyer – alimentation publique cafétéria – terrasse et intérieur; L'espace de stockage; Espaces sanitaires; Ateliers pour 11 disciplines.

Equipements multimédia, équipement technique et des installations modernes fournissent les fonctions climatiques nécessaires et la conservation proposée.

S'utilisera la technologie d'éclairage spécial pendant la nuit, donc le lieu devendra une attraction.

Les estimations financières et la planification de l'investissement dans le temps

Coûts estimés:

Restauration conservation componente artistique : 900 000 euros.

Les programmes d'action

Les objectifs du projet seront atteints par la promotion de programmes d'actions culturels-artistiques et des affaires, adresee a une multitude des groupes cibles, programmes qui feront connaître l'Edifice, de lui apporter dans le centre d'attention des participants et de l'intégrer dans la culture contemporaine. En outre, ces programmes vont attirer des partenaires d'investissement du secteur public, privé et ONG, dans sa valorisation, tout en fournissant un système efficace pour protéger les vestiges et les expositions.

2.Un autre projet qui a été aplique a été la restauration de la falaise de Casino dans le style des annes ‘20 et nous invite à entrer dans l'atmosphère de la "Belle Epoque". Même La Place Ovidiu, qui bénéficie d'une nouvelle infrastructure.

Les visiteurs sont invités à marcher par les planches de pierre naturelle, y compris gazebos, pergolas et des lanternes élégantes faites par les producteurs roumains.

Mais les propriétaires des imobiles de la Place Ovidiu sont obliges de garder l’architecture de la zone environnante. A cet égard, ils seront conditionnées par un règlement qui sera adopté par le Conseil Local. Le nouveau plan couvrira la zone urbaine et le style de vie de la région. En phase avec le projet, apparaîtra bientôt kiosques des antiquaires, des souvenirs et des produits faits à la main, et dans les week-ends sont organisés des differentes foires.

3.La régénération urbaine du centre-ville CONSTANTA

Objectifs généraux

– Le développement urbain durable avec la réhabilitation de municipe de Constanta en ce qui concerne les infrastructures de base.

– Le développement économique durable par la promotion du secteur tertiaire.

Objectif spécifique

– La régénération urbaine du centre-ville Constanta

– La reabilitation des objectifs avec une valeur historique et culturelle de la vieille zone de la ville et aussi les infrastructures connexes.

La valeur totale du projet

– 50.000.000 euro

La durée du projet:

– 36 mois

Brève description:

– La réhabilitation des espaces publics par la restauration des rues et des zones pour les piétons, la réhabilitation des infrastructures de base, la disposition des places, etc.

– La restauration de monuments historiques et des sites archéologiques;

– Façades esthétiques pour tous les bâtiments dans le centre historique, en conformité avec la zone spécifique;

– l'amenagements des espaces verts

– Encourager l'apparition des petites boutiques et endroits levantins avec la l'allure architectural spécifique du siècle XIX et début du XXe siècle.

Résultats:

Le principal résultat du projet est la symbolique du centre-ville et sa transformation en un centre commercial touristique important.  Les avantages à la suite du projet sont d'ordre technique, économiquement et socialement.

En termes de réhabilitation technique et urbaine, la reabilitation des espaces publics, le renforcement et la rénovation des bâtiments avec valeur patrimoniale conduit à l'amélioration de la zone architecturale et d'accroître la fonctionnalité de l'ensemble du périmètre, et les avantages suivants:

– s'améliore l'aspect visuel de la zone;

– patrimoine culturel historique réhabilité de la région, grâce à la consolidation de monuments historiques et des sites archéologiques;

– l'entretien et le développement de la fontion de promenade.

Sur le plan économique, le projet est justifié par les arguments suivants:

– l'agrandissement de nombre de touristes, surtout étrangers, qui visitent la région;

La réhabilitation de centre historique de la ville va sûrement contribuer et développer l'économie locale, ce qui représente un signal important à tous les investisseurs (roumaines ou étrangères) désireux d'investir dans cette région, ce qui va générer des revenus supplémentaires pour le budget de l'Etat et les budgets locaux.

Socialement, après des enquêtes qui ont montré que la réhabilitation et la revitalisation du centre historique est d'abord une priorité sentimentale pour les habitants de Constanta, qui est dans la conscience du public pendant une longue période.

Ces arguments civils et sociaux peuvent être ajoutés et d'autres, tels que:

– la perception de la zone comme un espace multiethnique et multiculturelle;

– l'amélioration des relations sociales et ethniques;

En mettant en évidence l'histoire de ces lieux sera révélé indirectement l'espace multiethnique et multiculturel qui peut être un très bon modèle pratique pour la convivance en ce qui concerne les bonnes relations des de nationalité, de culture et de religion différentes, qui vivent ici ensemble pendant des plusierurs siècles: roumains, macédoniens, grecs, Turcs, Arméniens, Russes, Tatars, Allemands, etc.

L'Unité administrative territoriale de Municipe de Constanta, en tant que bénéficiaire, a organisée le projet «Constanta, la première étape de votre long voyage – la promotion de la zone touristique de Constanta", projet financé par le Programme Opérationnel Régional.

L'objectif generale du projet est de contribuer a la valorisation du patrimoine culturel-historique de Constanta par une promotion cohérente et complémentaire adaptée à la dynamique actuelle du tourisme national et l'expansion de la perception générale de la zone cible du projet, à partir de "vacance a la mer et au soleil» à « vacance a la connaissance ».

Résultats immédiats (directes):

– La réalisation de 650.000 dépliants distribués au niveau régional et national;

– Distribution de matériaux promotionnels à 250 emplacements au niveau régional et national;

– La réalisation de 990.000 depliants distribués localement (au bord de la mer) – 6 dépliants différents;

– La réalisation de 4000 brochures d'orientation pour les touristes et les touristes potentiels.

L'impact du projet par ses résultats sur la zone Constanta est l'un social et économique. Le projet contribuera au développement du tourisme, avec l'intermede de l'information et de la promotion. L'effet direct se réfère à la croissance des revenus dans le secteur du tourisme en raison des dépenses de touristes et l'elevation du niveau de l'éducation, de la culture et de la civilisation des touristes.

La protection et la conservation des ressources touristiques

La restauration et la valorisation durable du patrimoine culturel et la mise en place / modernisation des infrastructures connexes

Les activités admissibles dans le cadre du projet comprennent:

1. la restauration, la consolidation, la protection et la préservation des monuments historiques;

2. la restauration, la protection, la préservation et la réalisation de peintures intérieures, des fresques, des peintures murales à l'extérieur;

3. Le travail d'assure l'éclairage intérieur et extérieur, l'éclairage de sécurité et l'éclairage décoratif;

4. la restauration et la rénovation des façades;

5. Arrangements du paysage pour l'evidentiation de l'objectif touristique

6. Agencement d'intérieur (installations, équipements et installations pour assurer des conditions climatiques, la sécurité pour les incendies, cambriolage);

7. Modernisation des utilites liées à l'objectif du patrimoine (électricité, eau, eaux usées);

8. Arrangement des aires protégées par la démarcation et la délimitation des sites patrimoniaux (seulement dans le cas necesaires);

9. Construction / réhabilitation / modernisation de l'accès à l'attraction touristique du patrimoine réhabilité; Ces activités ne sont éligibles que si l'on peut faire valoir que l'objectif de valorisation du patrimoine restauré est affectée par l'infrastructure d'accès pauvres.

APPLICATION PRATIQUE

1.Les Objectifs de la recherche

L’objectif principal de la recherche a consiste dans la détermination du mode de valorisation touristique du potentiel culturel-historique de la ville de Constanta selon l'opinion de touristes interviewés.

Les objectifs secondaires de la recherche sont:

Trouver les opinions des touristes sur la ville de Constanta

Trouver le pouvoir de se faire connue par le biais du tourisme culturel-historique

Amélioration de la situation actuelle du tourisme culturel-historique en tenant compte des les désirs des touristes.

2.L’analyse des dates et des résultats

Avec cette question, je vouliais savoir quel type de tourisme est le plus préféré par les touristes et comme nous pouvons voir, est d'abord le tourisme balneaire, puis en second lieu, nous trouvons le toursime culturel-historique, et sur le dernier place, le tourisme de détente et repos. On observe également de légères différences entre les types de tourisme, ce qui signifie que totutes représentent un rôle majeur.

Par cette question, je voulais voir l'intérêt des touristes pour la ville de Constanta, s'ils savaient sont retournés plusieurs fois, pour pouvoir analyser la situation du tourisme culturel-historique dans la ville. 93% des personnes interrogées ont visite en plusieurs la ville, et seulement 7% une seule fois.

Cette question montre la principale raison pour laquelle les touristes ont choisi Constanta, le litorel étant d'abord. Cette part correspondante au litorel coresponde avec la majorite de reponses de la question 1, la plupart choisissant le tourisme balneaire. En second lieu, nous trouvons «L'histoire et la culture de la région», ce qui démontre qu'il ya encore des touristes qui trouvent à Constanta et à d'autres domaines, et pas seulement le litorel. Mais seulement 22%, en notant une grande difference face a 56% qui ont choisi le litorel. Mais, il était prévu que la plupart choisisseront "litorel".

Les touristes préfèrent encore Constanta pour les activités de plein air en proportion de 36%. 23% montre qu'il y avait des touristes potentiels à connaître l'histoire de la région, et en même temps, nous devons promouvoir Constanta à cet égard.

Pour les connaisseurs, je l'ai demandé de classer selon leurs préférences, certains des les objectifs les plus importants de Constanta en termes culturels-historiques. Nous pouvons voir que les différences sont minimes entre les premiers cinq, le classement pourtant d'abord, L'edifice romaine de mosaique, suivie par La Mosquee Hunchiar et la Mosque Carol I, en effet, représentatifs pour Constanta. Surprenant a était le fait que le Casino a été classé à la dernière place etant un joyau architectural. Peut-être la raison étant la manque de d'une reconstruction et réhabilitation, ce qui nuit au paysage de l'oeil.

Sans aucune discussion, la proportion de 100% de cette question montre clairement qui on doit investir massivement dans la promotion du torusime culturel-historique de la ville de Constanta, parce-que il y a du potential, du patrimoine, et des touristes désireux aussi.

A cette question, 30% ont choisi l'investissement dans des partenariats avec des agences de voyage et sur la deuxième place, 24%, ont choisi la promotion via Internet. Les 46% restants veulent mettre l'accent en particulier sur les foires, à la fois dans le pays, et à l'étranger aussi.

Par cette question, nous voyons que l'efficacité et la disponibilité des services touristiques comptent le plus pour les touristes, étant donné que cet aspect participe le plus aux activités touristiques. Nous voyons aussi l'égalité des trois dernières classes, l'arrangement actuel du territoire, les services existants dans la région et les événements organisees.

Ainsi, nous voyons que les touristes mettent davantage l'accent principalement sur l'efficacité des services de tourisme, leur disponibilité et le niveau de formation des employés.

Nous voyons a cette question des touristes qui désirent l'initiation des trajets culturels-historiques avec des guides bien formés (26%). Nous avons aussi egalite entre l'amélioration des points d'information touristique et la promotion au niveau régional / local (21% + 21%). Et je crois aussi que l'initiation des itinéraires touristiques, surtout en été, favoriserait plus Constanta en termes culture/histoire, en etant disponibles un grand nombre de touristes qui viennent à la mer, et dans le temps de libre, certainement aimerait se déplacer vers la connaissance de la culture et de l'histoire de la ville

Nous voyons ici que le facteur le plus important qui influence positivement la culture et l'histoire de la zone, selon les touristes, est le caractère multiculturel de la ville, suivie par les coutumes et les traditions et aussi les monuments historiques. On voit mais aussi que 10% sont intéressés par l'histoire en général et pour les événements saillants pour Constanta. Nous pouvons voir aussi que 7% considéré comme un facteur positif l'infrastructure, et apprécient la tentative de préservation de l'identité locale.

Les touristes croient que les facteurs qui influecent négativement le tourisme culturel historique sont principalement la manque d'amenagement touristique et le manque de brochures d'information, des cartes, des CD. Ces variantes ont été choisies au même niveau (22% pour chacune). Nous voyons ici que l'infrastructure de la ville est pas un facteur majeur négatif(seulement 10%), et aussi, de nouveau, le désir de voir l'efficacité des guides et leur formation (18%).

Par cette question, j'ai découvert l'impression laisse la ville au touristes. et quels sont les mots avec lequels eux peuvent le caracteriser. La plupart caractérise la ville avec «identité spécifique", divers mais aussi aglomere. Probablement, ils ont l'esprit des foules de touristes en été, très probablement sur la litorel, mais aussi dans le trafic. Seule une proportion de 10% le caracterise comme culturel-historique.

En dépit des réponses favorables ou moins favorables, 100% des touristes interrogés vont se retourner. Peut-être parce que Constanta promet? Parce qu'ils veulent revenir à voir des améliorations pour le tourisme culturel-historique? Ou seulement vont revenir juste pour la mer, la plage et le soleil?

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