Le Management Du Projet
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UNIVERSITATEA
FACULTATEA „ACADEMIA DE STUDII ECONOMICE”
SPECIALIZAREA : „ADMINISTRAREA AFACERILOR
CU PREDARE ÎN LIMBI STRĂINE”
LUCRARE DE LICENȚĂ
Coordonator științific :
Student :
2016
UNIVERSITATEA
FACULTATEA „ACADEMIA DE STUDII ECONOMICE”
SPECIALIZAREA : „ADMINISTRAREA AFACERILOR
CU PREDARE ÎN LIMBI STRĂINE”
LE MANAGEMENT
DU PROJET
Coordonator științific :
Student :
2016
SOMMAIRE
SOMMAIRE : ………………………………………………………………………………………………………………..2
AVANT PROPOS : …………………………………………………………………………………………………………4
CHAPITRE I : LA GLOBALISATION …………………………………………………………………………….7
I.1. Définition ………………………………………………………………………………………………………….9
I.2. Globalisation / mondialisation / internationalisation ……………………………………………10
I.3. Les dimensions de la globalisation ……………………………………………………………………..10
I.3.1. La globalisation politique ……………………………………………………………………..10
I.3.2. La globalisation « de l’environnement » …………………………………………………10
I.3.3. La globalisation sociale ………………………………………………………………………..11
I.3.4. La globalisation culturelle …………………………………………………………………….11
I.3.5. La globalisation économique ………………………………………………………………..12
CHAPITRE II : LE MANAGEMENT DU PROJET ……………………………………………………….16
II.1. Définition ……………………………………………………………………………………………………….16
II.2. Etapes du management du projet ………………………………………………………………………17
II.3. Les principes fondamentaux du management du projet ………………………………………..19
II.4. Avantages / désavantages de l’utilisation du management du projet ……………………..20
II.5. La réussite / l’échec d’un projet ………………………………………………………………………..21
II.6. Les participants au management du projet …………………………………………………………23
CHAPITRE III : LE MANAGEMENT DU PROJET DANS LA COMPAGNIE « GOODYEAR » ……………………………………………………………………………………………………………26
III.1. L’histoire de la compagnie « Goodyear »………………………………………………………….26
III.2. Le management du projet « Goodyear » ……………………………………………………………27
III.2. 1. La description du projet …………………………………………………………………….27
III.2. 2. Les étapes du projet de l’Afrique de Sud …………………………………………….29
III.2. 3. Le bilan du projet …………………………………………………………………………….30
CONCLUSIONS : …………………………………………………………………………………………………………33
ANNEXES : ………………………………………………………………………………………………………………….35
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES : ……………………………………………………………………..43
SITOGRAPHIE : ………………………………………………………………………………………………………….45
AVANT PROPOS
« Le mot « mondialisation », utilisé par tous, est devenu rapidement un slogan, une incantation magique, quelque chose capable d'ouvrir les portes à tous les mystères actuels et futurs. Pour certains, la « mondialisation » est quelque chose qu’on doit atteindre si on veut être heureux ; selon les autres, notre malheur réside précisément dans la « mondialisation ». Mais il est sûr pour tout le monde que la globalisation représente pour tous l’implacable destin de tout le monde, un processus irréversible qui nous affecte tous également et à la même manière. On devient tous « mondialisés » – ce que signifie la même chose pour tous ceux qui ont été déjà «globalisés ». »
« La globalisation » est le terme moderne utilisé pour décrire les changements dans les sociétés et dans l’économie mondiale qui résulte du commerce international et des échanges culturels. Le terme décrit la croissance du commerce et des investissions grâce à l’élimination des barrières et à l’interdépendance entre les états. Dans le contexte économique, on utilise souvent la suggestion presque exclusive sur les effets du commerce et, en particulier, sur la libéralisation du commerce ou sur le libre échange.
La globalisation définit le contexte sous ses multiples dimensions : économique, politique, socioculturelle, communicationnelle et la conception, la maintenir et le développement de ce procès complexe comme base d’existence des sociétés modernes dans le futur, nous montre les tendances. Le problème d’évaluer les sens de ces tendances trouve les solutions dans la compréhension du contexte politique, économique et socioculturel.
La globalisation est plus qu’un système basé sur des règles politiques et économiques précises, car elle représente, en effet, une nouvelle manière de vivre, un univers entier qui pénètre dans la vie de chaque individu par les multiples effets directs ou indirects qu’on ressent au sein de la communauté, de la société à laquelle ils appartiennent.
La participation au procès de globalisation représente une accumulation d’habitudes et de comportements qui ont comme cause non seulement les aspects externes, standardisés le plus souvent par une série de normes mondiales, mais aussi la manière de chaque individu de se rapporter à l’idée de globalisation économique, politique et socioculturelle. Les opinions des individus à l’égard du procès de globalisation se retrouvent, en effet, dans la manière de comprendre, de s’adapter ou de rejeter certains aspects qui visent les effets et la complexité de ce procès.
Evidemment, il est difficile de s’imaginer le monde sans globalisation. Il n’existerait pas des imports et des exports, des voyages internationaux, la migration de la population, le travail à l’étranger et les investissions dans autres pays. La globalisation a apparu, s’est développé et a des racines sur le territoire de chaque pays. Pourtant, la globalisation a connu des pertes à travers la première partie du XXe siècle : deux guerres mondiales, des crises financières et l’épanouissement des idéologies et des systèmes politiques totalitaires, le développement du terrorisme international, la crise mondiale de l’année 2008.
Etant donné la complexité du thème choisi, le présent travail se propose de définir ce terme en présentant les différents types de globalisation et les effets positifs ou négatifs de ce procès, en insistant sur les aspects spécifiques à la compagnie « Goodyear ».
Le premier chapitre a plutôt un rôle introductif, car il a pour but de définir et de clarifier les principaux concepts et classements. Ainsi, on se proposera de définir le terme de « globalisation » en essayant de distinguer les sens des termes « globalisation », « mondialisation » et « internationalisation » en mettant l’accent sur les caractéristiques différents du chaque terme. Toujours dans le premier chapitre, on mettra en évidence les types de globalisation et leurs traits distinctifs.
Le deuxième chapitre est dédié au management du projet et il présentera la définition de ce syntagme et les étapes obligatoires d’un projet. On apprendra que les principes d’un management de projet assurent la réussite ou l’échec d’un projet, mais que la contribution de chaque participant au projet est la plus importante pour qu’on obtient des avantages à la suite d’un management de projet fini à terme et avec peu d’argent.
Le troisième chapitre, consacré toujours au management de projet, présentera les traits définitoires du management du projet de la compagnie « Goodyear ».
Commençant par la présentation de l’histoire de cette compagnie, en insistant sur son rôle important dans le monde, on insistera sur la multitude des filiales qui la représentent partout dans le monde en réalisant et en vendant ses produits.
Ce chapitre essayera de présenter les éléments pratiques du management du projet déroulé par cette compagnie dans l’Afrique de Sud, en mettant en évidence les étapes du projet. Dans le même temps, on insistera sur le bilan réalisé à la fin du projet qui souligne les points forts et les points faibles du projet.
En évaluant le projet, on constate que les deux équipes participantes au projet ont un point de vue différent sur l’utilité de ce projet. Ainsi, le manque d’expérience des employés tout comme le programme de travail trop chargé et l’incapacité de respecter les termes-limites, représentent des inconvénients pour les roumains. Dans le même temps, pour l’équipe régionale, la centralisation et la standardisation de tous les procès comptables transactionnels et la réduction des couts concernant les employés représentent des preuves qui marquent la réussite de ce projet.
« Le management de projet » suppose la présence de plusieurs étapes à suivre et des termes à respecter, mais, si tous les participants respectent les conditions établies dès le début du projet, le projet peut finir par une réussite.
CHAPITRE I
LA GLOBALISATION
I.1. Définition
Définie comme une « tendance des entreprises multinationales à concevoir des stratégies à l'échelle planétaire, conduisant à la mise en place d'un marché mondial unifié », la globalisation désigne « le processus d'intégration des marchés et de rapprochement des hommes qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication à l'échelle planétaire » qui « se manifeste par, outre l'interdépendance croissante des économies (mondialisation économique) et l'intensification de la concurrence, l'expansion des échanges et des interactions humaines ».
D’après le domaine où on utilise ce terme, celui-ci comporte plusieurs sens. Dans le management, il représente un terme de marketing, une stratégie, qui fait allusion à l’apparition des marchés internationaux pour les biens de consommation caractérisés par les besoins et les plaisirs similaires des clients, en réussissant ainsi, par exemple, de vendre les mêmes savons et voitures ou des produits alimentaires par des campagnes publicitaires similaires, à des personnes appartenant à de différentes cultures.
Si on l’utilise dans le domaine software, « la globalisation » devient un terme technique qui mêle les procès d’internationalisation et de localisation.
Un terme utilisé très fréquemment, « la globalisation » peut être défini par l’interdépendance de l’économie manifestée entre les états, à la suite de l’augmentation du coefficient de dépendance vers l’économie mondiale. D’autre part, ce terme pourrait être défini comme le procès de la diminution des taxes douanières, du renoncement à la politique douanière et aux restrictions de circulation des biens, des services, des technologies et des capitaux au niveau du développement des échanges économiques.
Ce terme a été défini sous de diverses formes, mais aucune n’est pas complète, car, chaque théoricien a mis en évidence seulement l’une de ses dimensions. Ainsi, George Soros considère que la globalisation est « le mouvement libérale du capital accompagné par la domination croissante des marchés financières globales et des corporations multinationaux sur les économies nationales. »
D’autre part, Antony Giddens pense que « l’intensification des relations sociales dans le monde entier lie des locations éloignées de telle manière que des événements qui prennent place régionalement sont influencés par des autres passés à des milliers de kilomètres distances.
Selon un autre point de vue, le phénomène de globalisation est compris comme une série de procès marqués par des échanges et des réseaux transcontinentaux, car « les interconnexions et les échanges commerciaux, financières, culturels, les investissions et la migration s’intensifient. La vitesse de diffusion et de circulation des idées, des biens, des informations, des gens et du capital augmente. L’impacte des effets des événements passés sont ressenti partout dans le monde et des actions régionales peuvent avoir des conséquences globales ».
La globalisation pourrait être définie à l’aide de l’interdépendance de l’économie qui se manifeste entre les états, à la suite de l’augmentation du coefficient de dépendance vers l’économie mondiale. D’autre part, la globalisation pourrait être conçue comme le procès de la diminution de taxes douanières, du manque des restrictions de la circulation des biens, des services et des technologies.
En ce qui concerne la globalisation, on peut affirmer qu’au début du IIIe millénaire il y a une liaison entre les syntagmes « développement » et « sécurité », la globalisation assure un rythme rapide de transformation au niveau des activités nationales et globales, mais aussi au niveau des interactions entre les acteurs sociaux.
Ce terme a été très important à travers le temps et il est encore utilisé pendant nos jours aussi. Son sens semble être proche du sens des mots « mondialisation » et « internationalisation ».
I.2. Globalisation / mondialisation / internationalisation
Si le terme « globalisation » a été utilisé pour la première fois en 1916, « la mondialisation » représente un anglicisme, c’est-à-dire un terme anglais emprunté par la langue française. La différence entre les deux termes consiste dans l’étymologie des mots. Ainsi, le mot « mondialisation » provient du latin « mundus » qui signifie « univers », tandis que le latin « globus » (« en tout sens ») définit le terme « globalisation ».
La meilleure distinction entre ces termes se réalise à l’aide de Guy Rocher qui parle de la mondialisation comme de « l'extension à l'échelle mondiale d'enjeux qui étaient auparavant limités à des régions ou des nations » par rapport à l’internationalisation qui, selon lui, « nous réfère aux échanges de diverses natures, économiques, politiques, culturels, entre nations, aux relations qui en résultent, pacifiques ou conflictuelles, de complémentarité ou de concurrence. »
Pour distinguer « la mondialisation » de « la globalisation », celui-ci précise que « si l'on parle de mondialisation, on entend évoquer une autre réalité, contemporaine celle-là : l'extension de ces relations et de ces échanges internationaux et transnationaux à l'échelle du monde, conséquence de la rapidité toujours croissante des transports et des communications dans la civilisation contemporaine. Quant à la globalisation, un terme qui a la préférence du sociologue, elle ferait référence à un système-monde au-delà des relations internationales, au-delà de la mondialisation, un fait social total au sens propre du terme, un référent en soi. »
La « globalisation », ce terme extrêmement connu, est utilisé dans plusieurs domaines : dans la vie politique, dans le domaine de l’environnement, mais aussi dans le domaine social, culturel et économique.
Selon le domaine d’utilisation, la globalisation connait plusieurs caractéristiques et traits distinctifs, chaque dimension de la globalisation étant différente de l’autre et ayant ses avantages dans le domaine dans lequel elle est utilisée.
I.3. Les dimensions de la globalisation
I.3.1. La globalisation politique
A la suite de l’accentuation de la globalisation, l’activité politique se déroule de plus en plus au niveau international, par des structures politiques intégrées comme l’Union Européenne, ou des organisations intergouvernementales, comme le Fond Monétaire International. Encore, l’activité politique surpasse les limites nationales par les mouvements globales et les organisations non gouvernementales.
Premièrement, c’est un phénomène politique, dans le sens général de l’ouverture des marchés de capital parue comme un résultat direct des actions des gouvernes, voulues ou non, qui ont cédé devant la pression des intérêts financières, en cherchant de prévenir les crises internationales et en échouant dans l’implémentation des milieux efficaces de contrôle.
Pourtant, « le phénomène est politique, dans le même temps, parce qu’un nombre d’états essaie directement de promouvoir et d’encourager, pas de limiter l’internationalisation de l’activité des corporations dans le commerce, dans les investissions et dans les productions. »
En plus, la distribution inégale des investissions étrangères directes dans notre pays a causé l’augmentation des différences des revenus entre les pays développés et la Roumanie.
I.3.2. La globalisation « de l’environnement »
Certains problèmes tels le réchauffement climatique, le trou dans la couche d’ozone ou l’abattage des forêts tropicales montrent, dans la plus impressionnante manière, le phénomène de la globalisation, parce que, dans ce cas, il s’agit, certainement, des problèmes globales qui nécessitent une approche globale pour être résolus.
Dans ce domaine, il y a des problèmes d’ordre régional comme la pollution des rivières et, des autres, plus compliqués comme celui des iles à petite dimension qui sont menacées à disparaitre à cause du niveau de la mer et dont la survie dépend de l’action des états voisins.
Les objectifs des nations déclarés ont été :
– la protection et l’amélioration de la qualité de la vie
– la protection de la collectivité de vie humaine
– l’utilisation rationnelle des ressources naturelles
– la promotion des mesures pour traiter, régionalement ou mondialement les problèmes de l’environnement
Pourtant, les résultats obtenus ont été :
– la diminution des déchets industriels
– l’interdiction d’utiliser des substances toxiques à un haut degré de risque sur la santé et l’environnement
– la diminution de la qualité acide des eaux
– la gestion des déchets
– l’amélioration de la qualité de l’eau, de l’air et de la terre
I.3.3. La globalisation sociale
Les moyens de communication sont plus développés grâce à l’internet et, ainsi, les nations influencent l’une l’autre. Voilà pourquoi Zygmunt Bauman affirme que « La mondialisation est inéluctable et irréversible. Nous vivons déjà dans un monde d’interconnexion et d’interdépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part affecte la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Lorsque les mesures à adopter ont évolué dans un endroit donné, il faut prendre en compte les réactions dans le reste du monde. Aucun territoire souverain, si vaste, si peuplé, si riche soit-il, ne peut protéger à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité à long terme, son modèle social ou l’existence de ses habitants. Notre dépendance mutuelle s’exerce à l’échelle mondiale. »
I.3.4. La globalisation culturelle
Les ressources informatiques contribuent à la connaissance de la culture et des habitudes des autres. D’autre part, le besoin de connaitre des langues étrangères par la plupart des habitants de grandes villes (la culture populaire a facilité l’apprentissage de l’anglais qui est devenu une langue de la communication internationale) facilite et accélère le fluxe globale des idées. Dans cette manière, on considère qu’avec l’apprentissage de nouvelles langues étrangères, il y a le péril de perdre l’identité culturelle. Ainsi, la globalisation nous a rendus conscients du fait que, dans le cas des cultures traditionnelles, il y a le péril d’emprunter les influences étrangères au lieu de les adapter à sa propre culture.
I.3.5. La globalisation économique
La plus importante dimension de la globalisation, la globalisation économique prend en compte la croissance du commerce et les investissions directes, la globalisation des marchés financières, les compétitions à niveau local entre des états et des régions, la fin de l’économie nationale.
« Les compagnies multinationales influencent le monde politique au niveau global et national par des sphères d’influence, étant impliquées dans les relations diplomatiques et même d’espionnage. »
La globalisation des relations économiques des « acteurs » du marché mondiale suppose, premièrement, une nouvelle vision sur le temps et l’espace dans la vie économique et sociale. Maintenant, la globalisation économique est marquée par les moyens de communication grâce auxquels les limites géographique ont disparu dans beaucoup de domaines : les transports, les communications, le commerce et les transactions bancaires. On prône le monde des communications globalisées où les informations sont standardisées, dématérialisées, symboliques, directes, sans des intermédiaires, un monde dans lequel l’information circule rapidement en transmettant les effets positifs et négatifs des complexes des états impliqués dans ce procès. Ainsi, l’apparition du commerce électronique, accompagné par des instruments financiers-bancaires nouveaux, qui facilitent la circulation et les échanges commerciaux, permet les transactions à distance et offre des informations sur les prix, les dépôts, la circulation des biens.
« La globalisation financière a favorisé le financement des entreprises et celui des balances des paiements. En supprimant les obstacles à la circulation du capital elle a donné une impulsion sans précédent aux marchés financiers. Les vrais gagnants au jeu de la finance internationale moderne sont surtout les firmes multinationales, les Trésors publics, les établissements de crédit et les investisseurs institutionnels. »
En Roumanie, on peut dire que la globalisation contribuera à l’intégration de l’économie, de la culture, de la technologie et du gouvernement, en affectant et en liant les citoyens de notre pays avec les gens de partout, du point de vue positif et négatif. Au futur, on considère que les provocations de la globalisation mèneront à la conservation des avantages créés par les marchés globaux, mais aussi au développement des ressources humaines et écologiques pour faire que ce procès apporte des avantages au niveau humain, pas à celui des firmes multinationales. Les spécialistes ONU nomment ce procès « la globalisation à une face humaine ».
La globalisation est le résultat des procès amples et des relations de conditionnement réciproque :
– l’augmentation de la valeur et de l’importance des investissements étrangères directes ;
– l’internationalisation des marchés financiers ;
– le développement des communications globales ;
– la réglementation et la libéralisation des marchés
Les effets de la globalisation sont :
1. Effets positifs :
– l’internationalisation de la production grâce aux firmes avec une activité globale ;
– l’assimilation rapide de nouvelles technologies ;
– les télécommunications effacent les distances entre les gens et assurent la conscience des problèmes globales ;
– la promotion des réformes politiques et économiques ;
– le désir des gens de vivre dans vivre dans un système gouverné par la loi et à l’aide de la loi ;
– la stimulation de l’intégration ;
– la réduction de la probabilité de la guerre et de l’utilisation de la force militaire ;
– l’enrichissement culturel par symbiose et convergence
2. Effets négatifs :
– la fragmentation de la cohésion sociale ;
– l’augmentation des inégalités sur le plan interne et externe ;
– la destruction du système classique de l’hiérarchie des valeurs ;
– la pauvreté des valeurs culturelles et nationales sous la pression de la globalisation ;
– l’utilisation des méthodes légales et financières sophistiquées d’atteindre les limites des lois et des standards locaux pour contrôler la limite entre le travail et les services des régions inégalement développés ;
– l’épanouissement du capitalisme des pays développés vers les autres en train de se développer
Les avantages et les désavantages de la globalisation des marchés peuvent être étudiés du point de vue des firmes multinationales et des pays où ces firmes actionnent. Pour les marchés où sont localisés les investissements des firmes internationales et globales, les avantages peuvent être :
– accès à la technologie avancée qui ne peut pas être développé au niveau régional et doit être acquisitionné à l’étranger ;
– des effets positives sur la balance commerciale si les produits remplacent les imports ou sont destinés à l’export ;
– assurer des emplois spécialement dans les pays qui ont enregistré un chômage chronique ;
– obtenir de l’argent pour le budget de l’état en imposant des impôts et des taxes pour l’activité des firmes ;
– l’utilisation des fournisseurs locaux qui peut déterminer le développement des firmes locales ;
– la participation de la firme au développement d’une région défavorisée ou à la réalisation des projets d’infrastructure ;
Les désavantages sont :
– l’augmentation de la dépendance pour la firme étrangère par le fourni de capital, de la technologie et de l’expérience ;
– la réduction de la souveraineté par la perte du contrôle de la gouverne du pays d’accueil sur la firme étrangère ;
– l’impacte négatif sur les systèmes économiques, sociaux et politiques en encourageant le consume locale, en imposant les valeurs de l’ouest au lieu de celles traditionnelles ou l’appui d’un certain parti politique ;
– le remplacement de firmes locales, possibles concurrents dans certains domaines
La globalisation impose un équilibre entre le développement des technologies et des concepts globaux et la sensibilité vers les besoins locaux. Sans une implication locale, aucun programme global ne peut pas survivre. Le slogan : « pense globalement, actionne localement » suppose le besoin de regarder globalement le marché ou l’affaire et de s’adapter, dans le même temps, aux besoins des consommateurs locaux.
La transformation de la planète dans un grand marché globale met en évidence une série d’avantages et de désavantages pour les pays, l’environnement et la qualité des gens. On considère que la globalisation ne peut pas réduire les différences culturelles ou ethniques, mais augmente le décalage au plan nationale et internationale entre ceux qui disposent des conditions nécessaires d’en bénéficier et entre ceux qui n’en disposent pas. C’est pourquoi, il est nécessaire d’imposer l’adoption au niveau internationale à des règles globales qui gouvernent le procès de la globalisation et qui permettent l’apparition d’un système globale qui intègre de différentes sensibilités, priorités et intérêts régionaux.
CHAPITRE 2
LE MANAGEMENT DU PROJET
II.1. Définition
« La gestion de projet couvre l'ensemble des outils, techniques et méthodes qui permettent au chef de projet et à l'équipe plus ou moins nombreuse, qui lui est directement associée, de conduire, coordonner et harmoniser les diverses tâches exécutées dans le cadre du projet, afin qu'il satisfasse aux besoins explicites et implicites pour lesquels il a été entrepris. »
Ce groupe de termes connait plusieurs acceptions selon les théoriciens qui l’ont utilisé à travers le temps. Ainsi, défini comme le syntagme qui consiste dans la planification, l’organisation et la gestion (le contrôle) des taches et des ressources, qui poursuit l’atteinte d’un certain objectif, dans les conditions de quelques contraintes de temps, ressources et coûts », le management du projet est aussi définit comme « représentant la planification, la gestion et le contrôle de tous les aspects du projet, tout comme le management et le leadership de tous ceux qui sont impliqués pour atteindre les objectifs du projet selon les critères du temps, des coûts, du domaine d’application et de la performance / de la qualité ».
D’après les définitions, on distingue plusieurs types de management du projet :
– des projets-ouvrage ayant comme résultats un bâtiment ou, peut-être, un pont
– des projets-produit qui se proposent de réaliser un nouveau modèle de vêtement, de voiture, de boisson qui sera vendu à un petit à un grand nombre de gens
Tous les projets supposent l’existence d’une série d’étapes à suivre pour que le but soit atteint.
II.2. Etapes du management du projet
Le management d’un projet comporte l’existence de plusieurs étapes nécessaires pour la réussite du projet :
1. Identification / conception
Pendant cette étape, on autorise le projet, on nomme le manager du projet et on lui présente les responsabilités. Des schémas, des dessins ou des prototypes imaginent les résultats du projet. Les objectifs et les buts du projet sont clairement présentés. Les objectifs devront être conçus en prenant en considération quelques éléments :
– les performances techniques du produit ou du service créé ;
– la date du début et de la fin de chaque étape du projet et la date finale du projet entier ;
– les coûts du projet ;
– les critères d’acceptation (les conditions des bénéficiaires du projet)
2. Définition / fiabilité
C’est une étape consacrée à l’analyse du projet. On prend en calcul l’impacte de ce projet sur la population. Si on arrive à la conclusion que c’est une bonne idée, qu’il pourra être réalisé et qu’il sera accepté, le projet continuera. C’est une étape décisive pour l’implémentation du projet et le début des activités.
3. Développement / projection
Cette étape inclue :
– la définition et la description des objectifs à réaliser ;
– la description des responsabilités de chaque membre de l’équipe ;
– la planification des ressources matérielles et humaines nécessaires pour le projet ;
– la comparaison entre les ressources disponibles et les ressources nécessaires ;
– la planification de la durée de chaque étape du projet et du projet entier ;
– l’estimation des coûts ;
– la présentation des procès techniques et des caractéristiques du produit final
4. Approbation / Evaluation / Finances
Pendant cette étape on autorise le projet. Le projet est financé par des ressources externes, parfois interactionnelles.
Même si un projet développe une bonne idée, il ne peut pas être matérialisé sans de l’argent et obtenir des ressources financières devient une activité importante. Les sources sont diverses et tous les participants au projet doivent aider à les trouver dans une période utile de temps.
En Roumanie, dans le domaine du financement des projets, il y a un contrat entre les parties où on précise l’argent consacré au projet, les activités du projet, la période de temps pendant laquelle on peut dépenser l’argent, les modalités de résoudre les éventuelles malentendus entre le financeur et le bénéficiaire de l’argent. Le financeur doit connaitre aussi le nom de l’organisation qui réalisera les activités du projet pour qu’il puisse avoir la garantie que le contrat sera respecté, car, à la fin, pendant l’étape d’évaluation après le projet, le bénéficiaire de l’argent devra argumenter l’argent dépensé.
5. Implémentation
C’est la période dédiée à la réalisation du projet et des activités prévues dès le début. Pendant cette étape, le projet se déroule en respectant les critères formulés au cours des étapes précédentes. Maintenant, on réalise les activités nécessaires pour obtenir le résultat voulu et on prend en compte le fait qu’on doit finir les taches en respectant des dates limites.
6. Opérations / Evaluation après-projet
A la fin, on évalue le projet, en vérifiant le produit obtenu et la différence entre les objectifs et les résultats.
Toutes les étapes avant, pendant ou après le projet sont très importantes et doivent être suivies dans l’ordre préétablie pour que tout se déroule comme on l’avait prévu. Pourtant, on ne doit pas oublier l’importance de l’existence des principes qui représentent la base du management du projet.
II.3. Les principes fondamentaux du management du projet
Le développement et le renom du management du projet ont déterminé la mise en évidence d’une série de principes fondamentaux dont le rôle est de guider l’activité et d’y contribuer pour atteindre la performance.
Les principes sont simples, mais parfois le projet suppose des dizaines ou des centaines d’activités qui sont en liaison, les unes sont faites dans le même temps, tandis que les autres sont interdépendantes, car leur début est lié à la fin d’une autre activité. On a besoin de ces principes parce qu’on parle d’un financement pluriel, provenu de plusieurs sources, de plusieurs partenaires dans le projet aux divers degrés d’implication, d’une partie des activités prise par le contrat par des tiers personnes.
Premièrement, il faut tenir compte d’une série de prémisses :
– les personnes impliquées dans les activités du projet poursuivent les mêmes objectifs ;
– les objectifs du projet sont déclarés dès le début ;
– les participants au projet respectent le principe de l’honnêteté ;
– tous les membres de l’équipe ont de connaissances dans le domaine ;
– un haut degré de la motivation de l’équipe pour finir le projet ;
– les membres de l’équipe connaissent les données du projet : le financeur, le bénéficiaire, les objectifs
S’appuyant sur ces prémisses, on distingue sept principes fondamentaux du management du projet :
1. Le principe de l’engagement souligne la nécessité d’un engagement entre le financeur et l’organisation qui réalisera le projet. Tous les membres sauront, avant le commencement du projet, les responsabilités du projet et les risques.
2. Le principe du succès prédéfini marque l’importance de l’existence de deux types de critères pour le succès : les critères qui supposent le respect des limites de temps et des finances pour un meilleur déroulement du projet et les critères qui visent le produit final et qui prennent en compte la qualité et les standards techniques.
3. Le principe de l’efficacité / de la consistance interne / de l’interdépendance soutient l’importance de quatre éléments qui devront être en relation : le domaine du projet, le temps, les finances et la qualité du produit final.
4. Le principe de la stratégie marque l’importance d’une stratégie, car la planification des étapes du projet se réalise avant la mise en pratique du projet.
5. Le principe du contrôle prône l’idée de l’existence des procédures efficaces de contrôle des activités du projet.
6. Le principe du canal unique de communication met en évidence l’importance de l’existence d’un seul représentant qui assura la communication entre les membres de l’équipe.
7. Le principe du milieu de travail-stimule soutient l’idée que le manager du projet doit assurer un milieu de travail-stimule pour tous les membres de l’équipe pour qu’ils puissent travailler dans les meilleures conditions. Il doit s’assurer que l’équipe qu’il conduit n’est pas isolée dans l’ensemble de l’organisation pour que le projet dont il est responsable soit connu et respecté par l’organisation.
Les principes du management du projet ont une valeur universelle pour la plupart des projets n’importe leur dimension et leur complexité. La gestion rigoureuse des projets suppose l’application des mécanismes et des procédures formelles importantes et l’utilisation de meilleures ressources organisationnelles pour mettre en évidence les avantages d’un projet.
II.4. Avantages / désavantages de l’utilisation du management du projet
Les avantages d’utiliser le management du projet sont :
– un bon contrôle sur l’utilisation des ressources, aspect extrêmement utile quand il s’agit d’organisations où les ressources sont à nombre restreint ;
– de meilleures relations avec les clients ;
– un temps réduit de développement de l’organisation, de moindres coûts, une meilleure qualité et un plus grand profit ;
– une meilleure efficacité de l’activité en prenant en compte les résultats, l’optimisation de l’esprit des employés
Parmi les désavantages, on compte :
– un plus grand degré de la complexité de l’organisation ;
– une tendance de ne plus respecter les termes de la politique interne de l’organisation ;
– un haut degré d’autonomie des employés impliqués dans les projets ;
– un plus grand coût de certaines activités ;
– l’apparition des difficultés dans l’organisation des employés ;
– l’utilisation d’un petit nombre d’employés dans la période de temps entre la fin d’un projet et le début d’un autre
Les avantages ou les désavantages du management du projet mènent à l’apparition de la réussite ou de l’échec d’un projet.
II.5. La réussite / l’échec d’un projet
L’organisation doit agir correctement pour réduire à minimum les effets des facteurs internes et externes qui empêchent la réussite d’un projet.
Les facteurs internes sont :
– la fausse évaluation des ressources disponibles pour le projet ;
– la planification incorrecte des activités du projet ;
– les problèmes liés à l’approvisionnement ;
– le manque des ressources (des fonds ou du personnel qualifié) ;
– l’inefficacité organisationnelle
Les facteurs externes sont :
– les facteurs naturels (des désastres naturels) ;
– les influences économiques externes (la modification défavorable du coût de la monnaie utilisée dans le projet) ;
– la réaction des gens affectés par le projet ;
– le manque de la volonté politique pour l’utilisation des mesures de politique économique ou sociale nécessaire pour le déroulement du projet ;
– la différence culturelle entre les objectifs et les activités du projet et le milieu de déroulement du projet, comme méconnaissance du spécifique locale
Si on parle des causes de l’échec d’un projet, il faut préciser les éléments suivants :
– des ressources financières insuffisantes ;
– des dates-limite impossibles à respecter ;
– un manque de communication entre le manager du projet et les membres de l’équipe ou entre le manager et le financeur ;
– le manque de la concentration ou de l’intérêt des membres de l’équipe ;
– un baisse degré de motivation ou d’auto motivation,
– le manque d’appui du financeur pour résoudre les problèmes imprévus ;
– l’incertitude du but du projet ;
– le prolongement du terme final du projet ;
– le manque des instruments nécessaires pour planifier et matérialiser le projet ;
– l’implication du client dans la réalisation du plan du projet pour être sur qu’il sera réalisé selon ses besoins
La réussite ou l’échec d’un projet dépend du degré d’implication des membres de l’équipe impliquée dans le management du projet. Pour être sur de la réussite d’un projet, on doit préciser, dès le début, clairement et précisément, les taches de chaque membre de l’équipe et les termes limites de finir le travail.
La responsabilité, de communiquer avec les gens, de résoudre les éventuels problèmes et de surveiller le bon fonctionnement des travaux revient au manager de projet, mais les autres membres participants au déroulement du projet ont aussi une importance capitale dans le management du projet, c’est pourquoi on doit assurer un climat favorable au travail et éliminer les éventuels mécontentements.
II.6. Les participants au management du projet
Le rôle le plus important revient au manager de projet qui précise les responsabilités de l’équipe qui travaillent pour le projet.
Les principales attributions d’un manager de projet sont :
– planifier ;
– organiser ;
– coordonner ;
– contrôler ;
– conduire
Il a plusieurs responsabilités, ses principales tâches sont :
– établir les objectifs du projet ;
– diviser les travaux par des activités bien définies ;
– établir les donnés sur le temps et l’argent ;
– coordonner l’équipe et rapporter les résultats ;
– la communication permanente
Les qualités d’un bon manager de projet sont :
– ses connaissances techniques ;
– son enthousiasme pour le projet ;
– son esprit d’actionner ;
– la capacité d’apprendre de l’expérience des autres ;
– sa capacité de négocier ;
– la capacité de communiquer ;
– la planification et l’organisation des finances ;
– l’orientation vers le bénéficiaire
Le management de l’équipe du projet suppose l’identification du nombre optime de personnes avec des capacités optimes à un moment donné optime. Trouver des gens doués et motivés représente une partie importante du management du projet. L’équipe idéale finit le travail à temps en utilisant peu d’argent sans recevoir trop d’indications.
A l’intérieur de l’équipe, le manager du projet doit être capable de :
– résoudre les conflits entre les membres de l’équipe ;
– aider les employés de travailler ensemble, en communion ;
– motiver l’équipe pour atteindre les buts du projet ;
– construire des relations positifs interpersonnels ;
– programmer et conduire les séances de l’équipe ;
– concevoir les graphiques de travail des employés ;
– communiquer aux financeurs sa propre vision sur le projet ;
– être responsable de la qualité et des résultats du projet
Les raisons les plus fréquentes qui donnent naissance à des conflits sont :
– les différences entre les buts du projet perçus par les financeurs et ceux perçus par les employés ;
– le manque de la présentation claire des activités à dérouler ;
– le graphique de temps ;
– l’emploi et la distribution des finances ;
– incertitudes à l’égard technique ;
– incertitudes sur le rôle et les attributions de chacun ;
– les coûts et les finances ;
– des problèmes de personnalité
Pour gérer un conflit, un manager de projet doit utiliser la communication. Il y a trois types de communication :
– communication en haut en et bas, basée sur des relations hiérarchiques ;
– communication latérale entre les employés ayant le même niveau hiérarchique ;
– communication mixte qui implique la communication avec des tiers (les fournisseurs, les consultants)
Ainsi, Hilde Corbu affirme qu’ « on doit s’occuper aussi de l’augmentation du niveau de la performance de l’équipe en mettant les compétences des membres de l’équipe au niveau des besoins du projet, mais aussi de former une équipe unie. Il est besoin de poursuivre et d’évaluer la performance professionnelle des membres de l’équipe de projet, de résoudre les problèmes qui apparaissent au niveau de l’équipe en ce qui concerne la motivation, le niveau de conflit, la gestion des relations de l’équipe de projet. »
« La difficulté de motiver une personne et ensuite une équipe consiste dans le fait qu’on doit découvrir ce que motive chaque personne en particulier et de lier ces facteurs motivateurs à la performance voulue. Le plus souvent on a utilisé comme facteurs de motivation pour l’équipe les activités de team-building, le milieu de travail ouvert, amicale, avec une communication transparente, avec de la tolérance pour les fautes, mais avec une attitude d’amélioration continue, une approche positive et un milieu de travail constructif – établir ensemble les termes, chercher des solutions pour les problèmes, pas des coupables, protéger l’équipe contre les clients internes/externes ou d’autres managers de l’organisation. »
Les membres de l’équipe du management du projet, avec le manager, doivent travailler ensemble pour atteindre le but du projet. Le rôle important revient au manager qui doit gérer les situations conflictuelles et assurer la motivation des employés pour que ceux-ci finissent le travail dans la période de temps préétablie et en utilisant peu d’argent.
CHAPITRE 3
LE MANAGEMENT DU PROJET
DANS LA COMPANIE « GOODYEAR »
III.1. L’histoire de la compagnie « Goodyear »
L’une des plus importantes compagnies qui produisent des pneus au niveau mondial est la compagnie « Goodyear » qui devient, à travers le temps, d’une simple compagnie spécialisée dans la production du caoutchouc, un nom reconnu au niveau mondial.
Fondé en 1898 par Frank A. Seiberling, la compagnie située dans la ville East Akon en Ohio, produisait seulement des pneus pour les bicyclettes et les charrettes et des tuyaux pour les incendies.
Trois années plus tard, en 1901, avec la fabrication des pneus pour une course entre les voitures, la compagnie commence à produire des pneus pour les voitures et, ensuite, pour les avions.
La compagnie se développe encore et, en 1910, il apparait une première fabrique hors de l’Amérique, au Canada, pour qu’en 1927, l’Angleterre et plus précisément Wolverhampton, soit le lieu où on bâtit une nouvelle fabrique.
Les chiffres d’affaires permettent à la compagnie d’améliorer la qualité des produits et, en 1939, une voiture utilisant des pneus fabriqués par cette compagnie réussit de faire une expédition au Pôle, tandis qu’en 1970, la compagnie envoie les premiers pneus sur la Lune.
A travers le temps, la compagnie plusieurs succès : en 1971, on réalise les premiers pneus pour les grandes machines utilisés dans les constructions, tandis qu’en 1987, on construit les pneus capables de résister à la vitesse de 240 kilomètres à heures.
En 1999, la compagnie devient partenaire avec Sumitomo Rubber Industries Ltd et elle occupe la première place dans la hiérarchie des compagnies qui produisent des pneus au niveau mondial. Elle se développe et on ouvre des filiales dans plusieurs pays.
Dans les dernières années, « Goodyear » a lutté pour l’introduction d’étiquettes pour les pneus pour bien informer les clients sur les produits achetés et a commencé le procès de fabrication des pneus régénérables. En Roumanie, aussi, la compagnie connait un grand succès et elle est reconnue par la qualité de ses produits.
III.2. Le management du projet « Goodyear »
III.2.1. La description du projet
En 2012, la filiale de cette compagnie située en Roumanie a fondé un département auxiliaire pour fournir des services d’externalisation pour les départements d’Approvisionnement et de Comptabilité. Son objectif était d’externaliser les services comptables du périmètre EMEA, pour que, dans la phase terminale, on les transfèrera dans une nouvelle location en Manilla Philippine.
Les représentants de la compagnie ont choisi la Roumanie comme location du déroulement du projet à cause du rapport entre le chiffre salarial des roumains et celui des pays de l’Ouest de l’Europe. Ce projet marquera un profit au niveau de nos salaires qui sont au moins cinq fois plus petites par rapports aux habitants de l’Ouest de l’Europe. Pour faire cela, on a employé dans la compagnie de Roumanie des individus sans de l’expérience dont les taches seront très simples. Ainsi, la compagnie a employé des gens qui étudient dans les universités roumaines multilinguistiques et, dans ce moment, on compte des employés parleurs de l’allemand, le suédois, le néerlandais, le russe, le polonais, le français, le turque et l’anglais.
On a commence le projet par le choix d’un manager de projet dont la tache a été de réaliser la carte de l’écoulement pour mettre en évidence ce que restera dans cette location. La compagnie « Goodyear » a comme base une activité opérationnelle avec des produits finis qui se matérialisent par des pneus ayant le haut degré de performance et avec une activité qui nécessite un regard attentif sur les travaux en cours, l’inventaire et le cout des matières. A la fin, on a décidé de transférer les activités pures transactionnelles qui n’ont pas un impacte considérable sur la visibilité et la surveillance à travers le mois. Donc, chaque manager de transition a eu la responsabilité de mettre au courant l’équipe locale et de résoudre les problèmes de communication entre l’équipe locale et l’équipe de Roumanie.
Une activité transactionnelle représente une action de rapports qui n’a pas comme but la modification des sommes ou des chiffres dans une manière indépendante de l’équipe locale. Cela signifie que toutes les informations seront transmises à l’aide d’un instrument et traitées par tous les processeurs de Bucarest.
Malheureusement, ce procès de l’écoulement a été mal fait car le manager qui a travaillé son schéma et sa transformation en forme graphique n’a pas eu de connaissances opérationnelles que sur l’activité qui a été déroulée en France. A travers le projet, on a signalé une multitude de déviations qui ont mené à la mauvaise compréhension des membres du Centre de Services Partagés de l’activité et d’un mauvais transfère du procès. Pourtant, une fois observé les déviations, on a procédé à une réallocation des taches entre l’équipe locale et l’équipe de Bucarest et à une meilleure communication après l’amélioration des déviations.
La transition a pris en compte les pays de l’Europe Centrale, de l’Europe de Sud et de l’Europe de l’Est et les pays participants ont été l’Hongrie, la Slovaquie, la Slovénie, la République Tchèque et la Roumanie.
Les transitions se sont déroulées en cinq étapes :
1. Les pays du Nord et le Luxembourg ;
2. L’Allemagne, l’Hollande et la Belgique ;
3. La France, le Royaume-Uni, l’Italie, la Grèce, l’Espagne, le Portugal ;
4. La Turquie ;
5. La Pologne, le Dubaï et l’Afrique du Sud
L’idée de transition a connu deux formes : pour les pays qui ont une fabrique (la Slovénie, le Luxembourg, l’Allemagne, la France, la Turquie, la Pologne et l’Afrique de Sud), on a transféré les procès à travers trois sessions d’observation du travail, tandis que pour les pays qui ont des compagnies seulement de vente et de distribution, on a réussi de le faire seulement après deux parties.
Le projet de l’Afrique de Sud a été un élément très important pour la compagnie et ses réussites ont contribuées à l’augmentation du prestige de « Goodyear » sur le plan mondial à l’aide des membres participants à ce projet.
Ce projet a compris plusieurs étapes dont le déroulement a été suivi par le manager de projet qui veille au bon fonctionnement du management du projet.
III.2.2. Les étapes du projet de l’Afrique du Sud
Pendant la première étape intitulée le plan de communication, l’équipe de management de Bucarest et celle locale ont révisé toutes les cartes de processus. Ces cartes ont aidé ensuite à la réalisation des documents du procès et à la délimitation des taches entre l’équipe locale et celle de Bucarest.
Les cartes sont partagées en cinq catégories :
– la comptabilité des milieux fixes ;
– la comptabilité de la fabrique et de la production ;
– la comptabilité générale ;
– les voyages et les dépenses ;
– la comptabilité de caisse
Pendant cette période du plan de communication, les deux équipes ont participé aux séminaires pour établir les procès des cartes de processus qui seront externalisés.
La deuxième étape, l’observation du travail réalisée par le manager de transition s’appuyant sur les informations reçues pendant la période du plan de communication. On a conçu un document incluant tous ces procès et on les a repartis vers les personnes proposées pour ce projet selon le département auquel ils appartiennent.
Pour l’Afrique de Sud, cinq personnes ont été proposées, à cause d’une fausse estimation, pour la Comptabilité de Fabrique et des milieux fixes. Ainsi, au début de la première semaine d’observation du travail, en suivant la suggestion du représentant de la Comptabilité des milieux fixes, on a décidé de concaténer ces deux procès en éliminant une ressource, étant un vrai avantage pour les finances du projet.
Le projet a compris plusieurs étapes d’observation du travail, au début de chaque étape, le manager de transition a présenté les taches de l’équipe locale et de l’équipe de Bucarest et la situation du projet.
Pendant la période d’observation, l’équipe de Bucarest a observé entièrement les procès et les a inscrits dans les Procédures normalisées d’utilisation. La liaison entre le Plan d’observation du travail et les Procédures normalisées d’utilisation a consisté dans le fait que tous les procès retrouvés dans le Plan d’observation du travail ont du se retrouver dans la forme finale des Procédures normalisées d’utilisation.
Pendant la deuxième période, de performance sous direction, l’équipe locale a eu toute la responsabilité et elle a surveillé attentivement l’équipe de Bucarest au but de la perfection du procès.
Au contraire, la troisième période, de la performance avec des indications limitées, l’équipe locale a eu la responsabilité entière et l’équipe de Bucarest a adressé un nombre réduit de questions à l’équipe locale.
A la fin de trois périodes, la période de stabilisation, de deux mois, a supposé un support limité accordé par l’équipe locale à l’équipe de Bucarest, pour qu’à la fin de ces deux mois, pendant la mise en ligne, l’équipe locale a été entièrement responsable du projet.
Les participants au projet sont responsables des réussites ou des échecs du projet. Celui-ci a enregistré des points forts, mais aussi des points faibles.
III.2.3. Le bilan du projet
Les points forts du projet ont été :
– un meilleur contrôle de l’équipe régionale sur les transactions financières ;
– la standardisation des procès ;
– le développement d’un département au milieu du Centre de Service partagés qui a eu comme but l’efficacité de chaque projet et la documentation de chaque procès ;
– la centralisation des données (après seulement trois mois, des pays qui ne respectaient pas des dates limites pour la communication des données, ont obtenu la performance de les accomplir dans une période de temps plus rapide que celle préétablie) ;
– la possibilité des employés de travailler pour les travaux (Un grand bienfait pour les employés de Roumanie représente l’envoi des jeunes dans des délégations internationales et leur opportunité de travailler pour les travaux. Le degré de développement personnel et professionnel de l’employé représente un élément important pour son carrière. Pour ces délégations, les personnes envoyées non pas été seulement des employés ayant de l’expérience dans le domaine des finances, mais aussi des jeunes sans de l’expérience qui ont été employé parce qu’ils connaissaient une langue étrangère.)
– le profit de la compagnie (Une fois congédié les gens qui enregistré des activités au niveau local ou dans des pays comme la France ou l’Allemagne qui sont mis en évidence par leurs lois qui visent les salaires et les primes, on a enregistré une évolution considérable du profit de la compagnie)
Les points faibles du projet ont été :
– certains membres de l’équipe locale seront congédiés ;
– les ressources attribuées de manière incorrecte ;
– la charge de travail (les membres du projet ont travaillé plus que huit heures par jour à cause du fait qu’à travers le procès de communication, l’équipe locale n’a estimé correctement le temps pour chaque procès) ;
– la mauvaise communication entre l’équipe de Bucarest et le manager de transition à cause du manque d’un manager opérationnel avec de l’expérience (c’est pourquoi les informations qui ont visé le procès et son écoulement ont été rapporté incorrectement à l’équipe régionale) ;
– les termes courts ont causé les mécontentements des employés parce que le domaine comptable comprend la période de fin du mois (On a consacré cinq jours pour la réalisation des documents pour chaque procès, sans prendre en compte le fait que pendant la période de la fin du mois il y avait plusieurs procès à accomplir. Cela a causé le prolongement des dates limites ou l’incapacité de les réaliser dans un temps préétabli. Même s’ils ont travaillé après la fin du programme, les employés n’ont pas été payés davantage. Ils ont eu la possibilité de prendre des jours libres, mais cela n’a pas été accepté par tout le monde. C’est pourquoi, il y a des personnes qui ont quitté le travail après une année.) ;
– l’incapacité des membres de l’équipe de s’adapter au milieu local (certains n’ont pas pu travailler avec des membres de l’équipe locale ou ont mal supporté l’éloignement de leur famille) ;
– chaque équipe a compris un membre n’ayant aucune expérience (même s’il avait une responsabilité réduite, le manque des connaissances minimales a mené aux problèmes d’adaptation et de communication entre l’équipe locale et celui-ci) ;
– les mécontentements de l’employé du point de vue professionnel (Etant donné qu’on a transféré seulement des activités purement transactionnelles et la dépendance continue de l’équipe de Bucarest à l’équipe locale, les employés ont parlé d’une stagnation au niveau professionnel. Ainsi, l’objet de travail a été mécanique et on n’a pas eu la possibilité de se développer en apprenant quelque chose de nouveau parce que les activités sont identiques d’un mois à l’autre) ;
– le nombre réduit des managers de projet par rapport au nombre des employés ;
– les délégations ont été accueillies dans une manière inappropriée par les équipes locales (Après avoir perdu l’emploi en faveur des jeunes roumains, les étrangers, ayant vingt et trente années d’expérience dans le domaine, ont adoptés des comportements qui ne respectent pas l’éthique organisationnelle.)
Au-delà des points faibles, le résultat de ce projet a été favorable au niveau régional parce qu’on a atteint les deux objectifs proposés :
– la centralisation et la standardisation de tous les procès comptables transactionnels ;
– la réduction des couts concernant les employés
Pour les membres de l’équipe régionale, le résultat a été plus satisfaisant même si, en Roumanie, les employés n’ont pas été contents à cause du grand nombre d’heures de travail.
CONCLUSIONS
Dans le travail présent, nous avons eu l’intention de donner une idée sur la complexité du management de projet.
Si, à une première vue, la question du management de projet, semble être assez simple, après une analyse plus profonde, on se rend compte qu’il y a des problèmes délicats tels le choix des membres compétentes pour composer l’équipe dont la tache commune est de finir le projet à terme tout comme le respect des termes et des conditions du projet.
Ainsi, paru à la suite du développement de la globalisation, le management de projet soutient l’idée de travailler en équipe pour un but commun. On conçoit un projet et on se propose de le réaliser le meilleur possible. S’appuyant sur des ressources externes, le projet devra être réalisé en plusieurs étapes, chacune d’elle supposant l’existence d’une série de taches à réaliser.
Les conditions et les taches sont très bien présentées dans un contrat qui représente une garantie pour les bénéficiaires du projet que le projet sera réalisé à temps et selon leurs volontés. Le responsable du projet, le manager de projet, est celui responsable de la réalisation du projet en bonnes conditions et il est celui qui donne des taches aux membres de l’équipe.
Le manager de l’équipe est la personne qui surveille les activités déroulées par les membres de l’équipe et qui restent en contact avec les bénéficiaires à travers la réalisation du projet en leur donnant des informations sur le déroulement du projet. Il devra être une personne responsable, capable de gérer les ressources financières et de temps du projet et de déterminer les membres de l’équipe de travailler en respectant les conditions imposées par les financeurs du projet.
Notre démarche a eu pour objet d’analyser le déroulement d’un projet à l’intérieur de la compagnie « Goodyear ». L’une des plus grandes compagnies dans le monde, dont le nom est connu depuis 1898, « Goodyear » a passé les frontières et a ouvert plusieurs filiales partout dans le monde.
En 2012, la filiale de cette compagnie située en Roumanie a fondé un département auxiliaire pour fournir des services d’externalisation pour les départements d’Approvisionnement et de Comptabilité. Son objectif était d’externaliser les services comptables du périmètre EMEA, pour que, dans la phase terminale, on les transfèrera dans une nouvelle location en Manilla Philippine.
Le projet de l’Afrique de Sud a été un élément très important pour la compagnie et ses réussites ont contribuées à l’augmentation du prestige de « Goodyear » sur le plan mondial à l’aide de membres participants à ce projet.
Notre travail a mis en évidence le rôle important du manager de projet et des membres de l’équipe dans la réalisation optime du projet. Le respect des termes et des conditions professionnel représente la preuve du travail professionnel des membres de l’équipe et les qualités d’un bon manager de projet.
Au-delà des points faibles, le résultat de ce projet a été favorable au niveau régional parce qu’on a atteint les deux objectifs proposés : la centralisation et la standardisation de tous les procès comptables transactionnels et la réduction des couts concernant les employés. Pourtant, pour les membres de l’équipe régionale, le résultat a été plus satisfaisant même si, en Roumanie, les employés n’ont pas été contents à cause du grand nombre d’heures de travail.
Ce travail n’est qu’un passage en revue des questions essentielles et générales en ce qui concerne le management de projet et non pas une étude approfondie des problèmes particuliers, car notre but a été de mettre en évidence les particularités du projet déroulé à l’intérieur de la compagnie « Goodyear ».
ANNEXES
ANNEXE NO. 1
La mondialisation
ANNEXE NO. 2
ANNEXE NO. 3
ANNEXE NO. 4
ANNEXE NO. 5
Les taches du manager de projet
ANNEXE NO. 6
Le salaire minime
ANNEXE NO. 7
La performance sous direction
Responsabilités :
– Partager des connaissances pendant les activités d’observation du travail ;
– Se familiariser avec les activités, les moyens de communication et de collaboration avec les membres de l’équipe ;
– Présenter les données au manager sur les problèmes rencontrés ;
– Travailler en respectant les dates limites
ANNEXE NO. 8
Les données limites du projet
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