La Contribution de la Culture Manageriale a L’expansion Economique de la Coree Du Sud
LA CONTRIBUTION DE LA CULTURE MANAGÉRIALE À L'EXPANSION ÉCONOMIQUE DE LA CORÉE DU SUD (PROJET D’EXPASION ÉCONOMIQUE)
SOMMAIRE
RÉSUMÉ
ANNOTATION
LISTE DES ABRÉVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION
CHAPITRE 1. LES ASPECTS THÉORIQUES DE LA CULTURE MANAGÉRIALE. L’EXEMPLE DE LA CORÉE DU SUD
1.1. Les aspects théoriques de la culture managériale
1.2. La culture managériale de la Corée du Sud
CHAPITRE 2. PROJET D’EXPANSION ÉCONOMIQUE CONCERNANT LE DÉVELOPPEMENT DE LA CORÉE DU SUD ET STRATEGIES DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES POUR LA RÉPUBLIQUE DE MOLDAVIE……18
CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
DECLARATION CONCERNANT L’ORIGINALITE DU CONTENU DU PROJET DE LICENCE
CALENDRIER D’EXÉCUTION DU PROJET DE LICENCE
LA FICHE D’ÉVALUATION DU PROJET DE LICENCE
RÉSUMÉ
Le but et les objectifs ont été concentré à: définir la culture de gestion, en analysant les opinions des chercheurs; réaliser le plan pour le développement économique de la Moldavie et l'amélioration de la culture managérialemoldave, en analysant le développement économique et la culture managériale de la Corée du Sud.
Les résultats de la recherche sont: définition de le terme „culture managériale”; l’analyse de la culture de gestion de la Corée du Sud et l’influence des particularités culturelles sur l'économie et le développement du pays; l’identification des stratégies de développement de la Moldavie, en utilisant l'exemple de la Corée du Sud; l’analyse des relations entre la Moldavie et la Corée du Sud et l’aide de la Corée du Sud au développement économique de la Moldavie.
Les conclusions et les recommandations. Les conclusions de la recherche sont les suivants: la culture managériale est une partie importante de la culture organisationnelle; la Corée du Sud est une société légèrement hiérarchique, collectiviste, féminine, pragmatique, retenue , pas indulgente et avec l’un de le plus haut niveau d'incertitude dans le monde ; la Corée du Sud au cours des quatre dernières décennies a montré une croissance incroyable ; les sources du développement économique réussi de la Corée du Sud sont le gouvernement, le marché et les Coréens ; il y a des similitudes entre la Corée du Sud et la Moldavie et ainsi on peut utiliser l’exemple de la Corée du Sud pour le developpment economique ; les domaines de coopèration avec la Corée du Sud sont: TIC, l'éducation, l'agriculture, l'industrie, la lutte contre la corruption.
Les recommandations sont: la Moldavie doit valoriser les ressources détenues (la terre, les personnes, la situation géographique, les partenaires, les particularités culturelles); le secteur qui a un besoin de la modernisation indispensable est TIC; la Moldavie doit créer un environnement stable dans l'économie et la politique, pour inspirer confiance aux investisseurs étrangers; les entreprises moldaves devraient commencer à planifier l'activité pour une période plus longue que actuellement et se concentrer non seulement sur les résultats purement matérielles, mais aussi et spirituelles.
Nom de famille, prénom: Anastasia Golban
Titre du projet de licence: La contribution de la culture culture managériale à l'expansion économique de la Corée du Sud (Projet d'expansion économique)
Lieu, année: Chișinău, 2014.
La structure du projet: introduction, deux chapitres, les conclusions et recommandations, bibliographie de 23 sources, 3 annexes, 37 pages de texte de base, 5 figures, 2 tables.
Les mots-clés: culture managériale, holisme, développement économique, chaebol, sahoon, innovation, mondialisation, coopération.
ANNOTATION
The purpose and objectives were concentrated on : defining managerial culture by analyzing the opinions of researchers; implement the plan for the economic development of Moldova and improving the Moldavian managerial culture, analyzing the economic development and managerial culture of South Korea
The results of the research are: definition of the term "managerial culture"; analysis of the management culture of South Korea and the influence of cultural differences on the economy and the country's development; identifying the development strategies of Moldova, using the example of South Korea; analysis of relations between Moldova and South Korea and with South Korea in economic development of Moldova.
Conclusions and recommendations. The conclusions of the research are: managerial culture is an important part of the organizational culture; South Kоrea is a hierarchical slightly feminine, pragmatic, not indulgent society, collectivist, restraint and with one of the highest level of uncertainty in the world; South Korea over the past four decades has shown an incredible growth; the sources of successful economic development of South Korea are the government, the market and the Kоreans; there are similarities between South Korea and Moldova and so we can use the example of South Korea for economic developpment of Moldova; the areas of cooperation with South Korea are: are: ICT, education, agriculture, industry, the mesures against corruptiоn.
After research the recommendations are: Moldova should develop resources held (land, people, location, partners, cultural differences); the area that has a essential need for modernization is ICT; Mоldоva must create a stable environment in the econоmy and politics, to inspire cоnfidence of foreign investors; it is very important for everyone to understand their role in the process called "develоpment", moldavian companies should start planning the activity for longer than currently and focus not only on purely material results periоd, but also spiritual.
Last name, first name: Anastasia Golban
Project Title: The contribution of managerial culture to economic expansion of South Korea (Economic Expansion Project)
Place, year: Chișinău, 2014.
The project structure: introduction, two chapters, conclusions and recommendations, bibliography of 23 sources, 3 appendices, 37 pages of basic text, 5 figures, 2 tables.
Keywords: management culture, holism, economic development, chaebol, sahoon, innovation, globalization, cooperation.
LISTE DES ABRÉVATIONS
BERD- Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement
CNA- Centre National Anti-Corruption
FMI- Fonds Monétaire International
IAC- Centre d'Information et d'Accès (Chisinau)
KIV-Korean International Technologies Volunteers
KORUS- Accord sur le Commerce entre les États-Unis et la Corée du Sud
KOICA-Korea International Cooperation Agency
NIA-National Information Society Agency (Corée du Sud)
PIB- Produit Intérieur Brut
PME- Petites et Moyennes Entreprises
TIC- Technologies de l'Information et de la Communication
ULIM-Université Libre Internationale de Moldavie
LISTE DES FIGURES
Fig. 1.1. Les fonctions culture managériale………………………………………………………………………..11
Fig. 1.2. La relation entre le cadre théorique de la gestion coréenne et la culture coréenne………14
Fig. 2.3. L’évolution du PIB par habitant à Corée du Sud……………………………………………………20
Fig. 2.4. L’évolution du PIB par habitant à Moldavie………………………………………………………….22
Fig. 2.5. L’évolution des taux de corruption à Moldavie et à Corée du Sud……………………………33
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1.1. Les avantages et les inconvénients de la culture adaptée et inadaptée…………………12
Tableau 1.2. Sahoon des chaebols coréens…………………………………………………………………………15
INTRODUCTION
L’actualité et l'importance du thème. L'auteur a chоisi le thème du projet: “La contribution de la culture managériale à l'expansion économique de la Corée du Sud. Projet d'expansion économique”. Le concept „culture managériale” est nouveau, est souvent confondu avec le concept „culture оrganisationnelle”. La culture managériale s'agit d'une partie de la culture de l'organisation, qui a une grande influence sur la performance de l'entreprise. Le processus de mondialisation est très rapide et une culture managériale bien développée peut aider les entreprises de réagir à l'envirоnnement qui est en constante évolution et d’évoluer. La culture fait la différence entre les pays est non seulement sоcialement, mais aussi économiquement. L’économie est adapté à chaque pays, étant influencée de nombreux facteurs, y cоmpris la culture de ce pays.
Le dévelоppement économique des pays d'Asie continue d'être un sujet de discussion à divers niveaux. Un pays qui a montré une performance économique étonnant, c'est la Corée du Sud. Le „miracle” coréen commencé à être étudié récemment. Le pays se trouve entre le Japon et la Chine, qui sont les unes des plus grandes puissances économiques du monde entier. La Corée du Sud a réussi à se mettre en valeur. La Corée du Sud se classe actuellement 14e au monde par le PIB. Le PIB de la Corée du Sud est de 1.321,86 milliards dollars au cours de l'année 2014. L’auteur considère importante la cоntribution de la culture managériale à l'expansiоn économique de la Corée du Sud. L’auteur a trоuvé des similitudes entre la Corée du Sud et la Moldavie, ainsi l’étude du développement économique de la Cоrée du Sud peut aider à trouver et à appliquer des méthodes qui aideraient àla croissanceéconomique de la Mоldavie.
Le but du projet de licence est de trouver des moyens de développement économique de la Moldavie à l'exemple de la Cоrée du Sud, en analysant la culture managériale.
Les objectifs de la projet de licence sont:
la définition de la „culture managériale”;
l’analyse de la culture managériale de la Cоrée du Sud;
l'étude du développement économique de la Cоrée du Sud;
l’analyse de la culture managérialede la Moldavie;
l'étude du développement économique de la Moldavie;
l’analyse comparative Moldavie / Corée du Sud;
établir des stratégies de développement pour la Moldavie, en utilisant l’exemple de la Corée du Sud.
La méthodologie de la recherche. L’auteur a utilisé les trois méthodes de recherche, par la recherche fondamentale on a analysé la littérature qui décrit la culture managériale, le développement économique de la Cоrée du Sud, la culture managérialecoréenne et les possibilités de développement économique de la Moldavie; par la recherche appliquée on a essayaé d'analyser et d’appliquer les résultats des études menées par des sоciologues et des économistes pour décrire la culture managérialecоréenne; par la recherche du développement ona essayaé d’appliquer les méthodes, les valeurs utilisées en Corée du Sud qui pourraient aider le développement économique de la Mоldavie.
Revue de la littératurede spécialité. L’auteur a été bien documenté avec la littérature nécessaire (livres, articles, l’Internet) pour être bien informés sur le sujet du projet. La culture managériale est un concept qui nécessite la mise à jour continue de l'information et l’Internet est la seule méthode disponible qui permet cela. L’auteur a analysé les documents en plusieurs langues (roumain, russe, français, anglais) pour consulter les opinions des chercheurs appartenant à différentes cultures et domaines (économique, sociale etc.) comme par exemple: Hoftede G., Kim J., Năstase M., Taranenco L. et autres.
Jusqu'à présent dans la littérature de spécialité on pas essayé de trouver des similitudes entre la Corée du Sud et la Moldavie pour appliquer le modèle coréen de développement économique valorisant la culture spécifique de la Moldavie. Le concept de culture managériale dans les entreprises en Mоldavie est sous-développé, de sorte qu’on ne peut pas exploiter ses fonctions et ses avantages.
CHAPITRE 1. LES ASPECTS THÉORIQUES DE LA CULTURE MANAGÉRIALE. L’EXEMPLE DE LA CORÉE DU SUD
1.1. Les aspects théoriques de la culture managériale
L’auteur croit que pour analyser la culture managériale on est nécessaire de définir certaines notions, en utilisant les opinions de nombreux chercheurs. On doit d'ab la littérature de spécialité on pas essayé de trouver des similitudes entre la Corée du Sud et la Moldavie pour appliquer le modèle coréen de développement économique valorisant la culture spécifique de la Moldavie. Le concept de culture managériale dans les entreprises en Mоldavie est sous-développé, de sorte qu’on ne peut pas exploiter ses fonctions et ses avantages.
CHAPITRE 1. LES ASPECTS THÉORIQUES DE LA CULTURE MANAGÉRIALE. L’EXEMPLE DE LA CORÉE DU SUD
1.1. Les aspects théoriques de la culture managériale
L’auteur croit que pour analyser la culture managériale on est nécessaire de définir certaines notions, en utilisant les opinions de nombreux chercheurs. On doit d'abord comprendre ce qu'est la culture. G. Hofstede considère la culture comme une programmation collective de pensée qui nous fait accepter certaines normes et valeurs ainsi que des membres d'un groupe (organisation, nation) et pas les autres normes et valeurs avec des membres d'un autre groupe (organisation, nation). Il estime qu'il existe trois niveaux de programmation mentale: individuelle, de groupe et universelle. Le niveau universel affecte l'humanité tout entière et se réfère à un fonctionnement physiologique et biologique du corps humain. Désigne collectivement aux membres d'un groupe social ou économique qui diffère fondamentalement des autres groupes sociaux ou économiques. La culture humaine se trouve dans l'arrière-plan à ce niveau se réfère à la langue parlée dans prédécesseurs de respect, les traditions et les coutumes, en particulier comment ils se comportent dans un groupe. L'individu est la programmation mentale strictement personnel unique, ce qui explique le comportement totalement complètement différent qui peut avoir deux personnes, le même groupe à un stimulus externe spécifique [10, p. 21].
La culture managériale dans son ensemble représente les valeurs, les normes, les comportements des gestionnaires. Elle est la partie composante de la culture organisationnelle. La culture organisationnelle est l’ensemble des valeurs et des comportements qui contribuent à l'environnement social et psychologique unique d'une organisation. La culture organisationnelle comprend les attentes de l'organisation, les expériences, la philosophie et les valeurs qui tiennent ensemble et s'exprime dans son auto-image, le fonctionnement interne, les interactions avec le monde extérieur et les attentes futures. Mais la culture organisationnelle peut être définie est comme “toutes les valeurs, les croyances, les aspirations, les attentes et les comportements formés pendant le temps dans chaque organisation qui est majoritaire en son sein et qui influence directement et indirectement sa fonctionnalité et sa performance [13, p. 273].
Le rôle des gestionnaires dans l'entreprise est reconnue par tous, les gestionnaires forment et influent directement la culture managériale. Les chercheurs roumains affirment que la culture managériale est un “système de valeurs, les croyances, les aspirations, les attentes et les comportements des gestionnaires dans une organisation qui se reflète dans les types et styles de pratiques de gestion au sein de l'organisation, marquant la culture organisationnelle du contenu de chaque entreprise et sa performance” [13, p. 290]. Si on analyse la définition de chercheurs roumains sur la différence entre la culture de gestion et la culture organisationnelle, on trouve que la culture organisationnelle est la culture de l'ensemble de l'entreprise, alors que la culture managériale se compose des qualités et du comportement des gestionnaires. Les gens se diffèrent entre eux par la formation, la culture, les opinions politiques, sociales, religieuses, etc., mais interagissent pour atteindre les buts et les objectifs de l'organisation en établissant des relations interpersonnelles [11, p. 50]. La culture managériale a de nombreuses fonctions, que peut être observé par l'étude de la Fig.1.1. “Les fonctions de la culture managériale.”.
Fig.1.1. Les fonctions de la culture managériale [élaboré par l'auteur adapté après [19, p. 281]
Grâce à ses fonctions, la culture managériale occupe un rôle important dans l'activité de l'entreprise. L’entreprise peut bénéficier de la culture managériale seulement si elle fonctionne correctement, en se manifestant positivement dans l’environnement interne de l'entreprise. Une mauvaise culture managériale peut affecter toute l'activité de l'entreprise et l’haut degré d'influence peut transformer le «médicament» bénéfique pour l'entreprise en «poison» qui détruirait l'entreprise constamment à l'intérieur. Les fonctions de la culture de gestion pourraient devenir des facteurs négatifs qui détruisent la culture organisationnelle. La culture managériale est relié à des niveaux supérieurs de gestion, sans un leadership prospère on ne peut pas accomplir le travail d'une organisation. On peut défini les quatre touches de grands gestionnaires: (1) Lors de la sélection quelqu'un, ils choisissent des talents, pas tout simplement l'expérience, l'intelligence ou la détermination. (2) Lors de la définition des attentes, ils définissent les bons résultats, pas les bonnes mesures. (3) Lorsque motiver quelqu'un, ils se concentrent sur les points forts, pas sur les faiblesses. et (4) Lors de l'élaboration quelqu'un, ils l'aident trouver la bonne personne, pas tout simplement le prochain échelon sur l'échelle. Les gestionnaire doit être en mesure de s'adapter à l'environnement interne et externe de l'entreprise en utilisant leurs compétences professionnelles et personnelles. Le gestionnaire doit combiner des méthodes afin de remettre en état aussi peu conséquences négatives qui garantissent la réalisation des objectifs de l'entreprise[ 7, p. 89].
Marian Năstase [12, p. 84] présente une classification et donne la définition de la culture adaptée et inadaptée. La culture adaptée c'est quand les gestionnaires à analyser la situation actuelle, faire des plans pour l'avenir, est axé sur les besoins du marché, en tenant compte de la situation à l'intérieur de l'entreprise. La culture inadaptée est créé par les gestionnaires qui se concentrent uniquement sur l'intérieur de l'entreprise, la création d'un environnement fermé, strictement réglementée, sans donner aux employés la possibilité de s'auto-développer. On peut observe les avantages et les inconvénients, en analysant le tableau 1.1. Les avantages et les inconvénients de la culture adaptée et inadaptée.
Tableau 1.1. Les avantages et les inconvénients de la culture adaptée et inadaptée [élaboré par l'auteur]
La culture adaptée dans la société contemporaine a des succès et elle aura certainement un meilleur développement. L’entreprise ne peut pas évoluer sans: en assumer les risques et essayer de s'impliquer dans le processus de la mondialisation; sans prendre avantage de la situation actuelle et de réaliser les plans à long et à court terme; essayer de diversifier son activité en créant un know-how; créer sa propre identité . L’auteur estime que la différenciation de masse et l’adaptation sont les unes des clés de la réussite aujourd'hui.
1.2. La culture manageriale de la Corée du Sud
La culture managériale de l’entreprise est influencée par la culture du pays où se trouve l’entreprise. Pour analyser la culture managériale de la Corée du Sud, il faut analyser la culture, les caractéristiques culturelles du peuple coréen. Geert Hofstede [10, p. 157] est un chercheur qui a aidé à développer la gestion et la psychologie, il a mené l'une des études les plus complètes sur la façon dont les valeurs en milieu de travail est influencé par la culture. Si nous examinons la culture sud-coréenne à travers le prisme du modèle 6-D, on peut obtenir une analyse de la culture sud-coréenne par rapport aux autres cultures du monde. La Corée du Sud est une société légèrement hiérarchique, cela signifie que les gens acceptent un ordre hiérarchique dans lequel tout le monde a un endroit et qui ne nécessite aucune autre justification.Les subordonnés s'attendent à être dit quoi faire et le patron idéal est un autocrate bienveillant. La société coréenne est considérée comme une société collectiviste, dans ce type de société les membres ont la nécessité d’appartenir à un groupe, avoir des relations à long terme avec les autres membres et la loyauté est l'une des valeurs les plus importantes. La Corée du Sud est une société féminine, l'accent est mis sur «travailler pour vivre», les gestionnaires s'efforcent de consensus, les gens apprécient l'égalité, la solidarité et la qualité de leur vie de travail, un bon gestionnaire dans ce type de société offre des compromis et prendre les décisions avec l'équipe.
Les Coréens ont un de le plus haut niveau d'incertitude dans le monde, la valeur mis sur les relations interpersonnelles. Ils ressentent le besoin de travailler dur, l’existe de certaines règles (même si peu de gens les respectent). Les Coréens ne supportent pas le comportement et les idées peu orthodoxes, en valorisant la ponctualité et la précision. La Corée du Sud est l'une des sociétés les plus pragmatique, où tous les domaines ont une vision sur un long terme. Les employés travaillent pas pour les salaires mais pour à servir la société et assurer la pérennité de l'entreprise. Les entreprises travaillent pas pour le bénéfice trimestriel mais à assurer les besoins de la société pendant plusieurs générations. On apprécie l'histoire de l'entreprise et son âge. La société sud-coréenne est une société retenue où le cynisme et le pessimisme sont présents. Les Coréens ne se concentrent pas sur ses loisirs et ils contrôlent ses désirs, en ayant le sentiment que leurs actions sont contrôlées par des normes sociales. La société coréenne n’est pas une société indulgente. Les Coréens ne sont pas indulgentes même avec eux-mêmes.
La société coréenne est bien-hiérarchique et divisée, avec les relations personnelles bien développés. La langue coréenne aide de hiérarchiser, diviser, établir de relations et regrouper les individus. La langue a trois formes de politesse (honorifique, officiel, familiale); certains mots qu’on utiliser pour indiquer la position dans la société et la relation entre les individus. L’âge, la profession, l'état matrimonial, le lien de parenté, le sexe sont le plus importants pour déterminer la forme honorifique et le comportement avec les autres. Par exemple le mot 선생님« seonsaengnim » signifie celui qui enseigne, est utilisé non seulement pour nommer un enseignant, mais aussi pour les personnes âgées ; personnes qui peuvent servir d'exemple, qui sont prospère dans des domaines particuliers (par exemple : les médecins), personnes qui méritent d'être respectés. En coréen se manifeste le plus grand respect pour les personnes âgées, quand on parle à une personne âgée sera toujours utiliser la formule de politesse honorifique ou officiel. D'autres termes qui donnent les rangs de relations sont 선배(seonbae) et 후배(hubae) qui sont utilises pour décrire le relation entre senior/junior, par exemple, l’élève de 13 ans est « hubae » et l’élève de 14 ans est « seonbae ». Il y a et d’autres termes utilisés pour établir certaines règles de comportement, de vocabulaire, la relation entre coréens etc.
La religion est un autre facteur qui influe sur la société, mais en Corée du Sud la religion joue un rôle important et influence non seulement la vie sociale, mais aussi la culture managériale. Dans un article consacré à la gestion coréen et japonais, une figure que montre la relation entre le cadre théorique de la gestion coréenne et la culture coréenne.
Fig.1.2. La relation entre le cadre théorique de la gestion coréenne et la culture coréenne [17, p. 905]
La diversité des religions a créé la diversité des valeurs culturelles: l’importance dela vie honnête; la différence entre les hommes/les femmes et de leurs rôles dans la société; le respect pour les ancêtres, la famille; le maintien des traditions; l’amélioration du prestige de la famille; la succession par ligne de sang; hiérarchisation; les relations étroites entre les personnes qui appartiennent à un même groupe (même école, même villagenatal etc); l'autoritarisme; le paternalisme.
Une autre caractéristique de la culture orientale de Corée du Sud est la succession basée sur la parenté. Par exemple Lee Kun Hee, le président du Samsung a nommé son fils, Lee Jae Yong, vice-président de l'unité électronique en 2012, Samsung Group devenu le plus grand conglomérat de la Nation avec 326 milliards de dollars en ventes. Ce qui a conduit à l’apparition de la structure «chaebol», qui est une structure d’un conglomérat d'entreprises avec d'énormes opérations internationales., qui a pris naissance dans les années 1960, à Corée du Sud. Le mot «chaebol» signifie «entreprise familiale» ou «monopole» en coréen. La structure de chaebol peut englober une grande entreprise unique ou plusieurs groupes de sociétés. Chaque chaebol est détenu, contrôlé ou géré par la même dynastie familiale, généralement que du fondateur du groupe. Samsung, Hyundai et LG Group est parmi les chaebol les plus grands et les plus importants. La culture orientale a aide la Corée du Sud dans le processus de modernisation [17, p. 910]. L’essence de la culture managériale de l’entreprise peut être rendue par le « sahoon » qui se traduit par "la philosophie d'entreprise", en ce qui l'entreprise croit et à ce qu’il tend. Pour le marché coréen sont importants l'histoire de l'entreprise, sa culture, sa réputation. Chaque grande entreprise a le slogan désignant sa culture, ça peut être vu dans le tableau 1.2. Sahoon des chaebols coréens.
Tableau 1.2. Sahoon des chaebols coréens [18, p. 346]
Avec le processus de modernisation, la culture managériale coréennea commencé à être influencé par la culture occidentale. La culture managériale a des tangentes avec la gestion des conflits. Dans un article de 2012, Kim J. et Meyers R. A. ont analysé les différences de la gestion des conflits entre les Etats-Unis et la Corée du Sud. Dans cet article les auteurs ont passé une recherche parmi les gestionnaires coréens et américains. Les auteurs ont utilisé la théorie de l'holisme de Bertalanffy (1968) et la la théorie de 5 types de conflits de Thomas (concurrence, de collaboration, de compromis, en évitant, et‘accomodation’) qui est basée sur l'intérêt porté à soi-même ou une autre personne. Le style concurrence est fondée sur un haut souci de soi et une faible préoccupation pour l'autre partie. Le style de collaboration emploie une stratégie de résolution de problème qui implique à la fois une grande préoccupation pour soi-même ainsi que l'autre participant dans le conflit. Le style de compromis est positionné au milieu des préoccupations modérés à la fois pour soi et les autres. Le style ‘accomodation’ est généralement utilisée quand il ya un faible risque pour soi-même et une grande préoccupation pour les autres. Le style évitant survient lorsqu'il ya un peu préoccupations à la fois pour soi-mêmes et l'autre [20, p. 269].
Les résultats de l'étude ont montré que les Coréens étaient plus holistique que les Américains. Le style de gestion des conflits préféré par les Coréens était le compromis, la collaboration et ‘accomodation style’, que les Américains préfèrent d’éviter [16, p. 29]. Pour assurer le succès de la gestion en Corée du Sud, on doit être au courant des protocoles stricts et des rituels qui existent.
En affaires, il est important de maintenir un degré de formalité. Les Sud-Coréens âgés et ceux aux postes de responsabilité doivent être traités avec respect et déférence. Les gestionnaires coréens s'attendent à ce que leurs instructions seront respectées et cette attente de l'obéissance est généralement remplies. Confucianisme insiste sur l'obéissance et de la loyauté et cela se manifeste fortement dans la relation gestionnaire/subordonné. Il est utile de penser à la gestionnnaire comme un père qui, en échange de la loyauté, le respect et l'obéissance, donne le soutien subordonné et de l'aide à tout moment. Les managers peuvent démontrer une préoccupation pour les employés qui va au-delà du lieu de travail et des préoccupations strictement professionnelles.
La volonté de la Corée du Sud pour le changement est faible. Cela signifie qu'il est difficile de faire changer les choses. Les projets doivent être soigneusement analysés à chaque étape de la façon de s'assurer que tous les risques ont été évalués et compris. L’échec en Corée du Sud entraîne une perte à long terme de confiance par l'individu. La culture managérialeest également très orienté sur la relation. Les gens de la Corée du Sud ne veulent pas déranger les autres dans le but de forcer le respect d'un délai, cependant, l'expansion mondiale et interculturelle signifie que certains gestionnaires peuvent avoir une plus grande appréciation de la nécessité de respecter les délais et en tant que tel, accepté les délais sont plus susceptibles d’être respectées. La plupart des dirigeants de bureaux ne sont pas sur le même étage que leurs états-majors. L'ancienneté est assimilée à rang et l'autorité, et exige le strict respect d'un protocole de soin prescrit. Dans le même temps, les Sud-Coréens sont ouverts à l'adoption des concepts occidentaux de la gestion.
Depuis la classe sociale est importante pour la culture, il est presque impossible pour une personne de classe inférieure à superviser une personne à partir d'une classe supérieure. Sensibilité interculturelle est essentielle, car elle est considérée comme une violation grave de l'étiquette de mettre un jeune en charge des travailleurs âgés. Les employés s'attendent à des entreprises et leurs dirigeants, d'être paternaliste. Les styles de gestion sont une combinaison du confucianisme et le comportement de l'Ouest, selon l'éducation et les antécédents de la personne.
Comme il s'agit d'une culture hiérarchique, la plupart des décisions sont prises en haut, puis remis aux employés à mettre en œuvre. Les opinions personnelles et les critiques sont supprimées et l'équipe suit généralement les idées des membres plus expérimentés de l'équipe. Les désaccords sont exprimés en privé et rarement, sinon jamais, en public. Les Sud-Coréens peuvent être non conflictuelle et hésitent à donner une réponse "non" à une question. De même, un «oui» ne peut pas être une réponse affirmative. Le trait négatif de la culture managériale coréenne est la structure de chaebol, parce que dans ce type de structure, la direction et le propriétaire ne sont pas bien différenciés.
Dans les entreprises avec la culture de gestion de l'Ouest, les propriétaires et les gestionnaires sont bien différenciés une fois que l’entreprise se développe. Dans les entreprises de type « chaebol » le propriétaire et sa famille sont impliqués dans les activités quotidiennes de gestion. En analysant certains cas critiques de l'histoire de la Corée du Sud, plusieurs experts ont appelé les autres lacunes dans la culture de gestion coréenne. La catastrophe du ferry qui s’est produit le 16 avril, 2014, révèle le côté sombre de la culture de «compassion» de la Corée du Sud. Le dernier bilan officiel de la catastrophe fait état de 287 morts et 17 disparus (19 mai 2014). La compassion est une vertu très appréciés dans la vie coréenne. Il a été crédité de Coréens réunissant pour son ascension économique rapide et maintenir la cohésion sociale a contribué à créer une culture. Mais la récente catastrophe du ferry a offert à côté sombre de la compassion de l'avant. Les analystes disent que les fonctionnaires «compassion» en charge du système de sécurité sociale à négliger les violations d'inclinaison mineures aux règles de sécurité. Les Coréens se concentrent trop sur les liaisons régionales, de l'école et d'autres liens personnels et ont la tendance à prendre des décisions axée sur les émotions non sur les aspects professionnels.
CHAPITRE 2. PROJET D’EXPANSION ÉCONOMIQUE CONCERNANT LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES DE LA CORÉE DU SUD ET STRATEGIES DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES POUR LA RÉPUBLIQUE DE MOLDAVIE
La Corée du Sud a été mis sur une rapide croissance économique, gagnant ainsi un surnom comme le «miracle sur la rivière Han». La Corée du Sud au cours des quatre dernières décennies a montré une croissance incroyable et l'intégration mondiale pour devenir une économie industrialisée de haute technologie. Deux lignes de pensée existent dans l'interprétation des sources du développement économique réussi de la Corée. Un souligne l'orientée vers le marché nature de son régime économique tandis que l'autre se concentre sur le rôle du gouvernement dans son processus de développement. Les uns économistes affirment que le marché, et non le gouvernement, occupait une place centrale dans le développement économique de la Corée du Sud [21, p. 218]. Le gouvernement, selon eux, n'a joué qu'un rôle mineur. Ces défenseurs du libre marché sont sceptiques à l'affirmation selon laquelle quant le gouvernement peut être en quelque sorte plus efficace que le marché, quel que soit le stade de développement. De nombreuses études tentent de se connecter le rôle rétrécissement de gouvernement à la réussite économique. Par exemple, de nombreux économistes estiment que l'excellente performance de l'économie coréenne dans les fin des années 1960 était principalement due à des pressions concurrentielles soulevées par la libéralisation du commerce et des prix des capitaux réalistes créé par la rationalisation des taux d'intérêt. L'État a joué un rôle important dans la construction d'un modèle économiquede marché, du développement dynamique et durable en Corée du Sud. Dans les années 1960, quand le PIB par habitant était comparable à niveaux des pays les plus pauvres d'Afrique et d'Asie, l’économie a commencé à croître.
À la fin des années 1980, le marché intérieur est devenu une source croissante de la croissance économique. La demande intérieure pour les voitures et d'autres biens localement fabriqués grimpé grâce aux consommateurs sud-coréens, dont l'épargne a été soutenue par des augmentations de salaire. Le résultat a été une réorientation progressive de l'économie d'une forte dépendance sur les exportations vers davantage de l'accent sur la satisfaction des besoins du pays. En 1990, il y avait des preuves que les taux de croissance élevés de la fin des années 1980 seraient ralentir au début des années 1990. Une des raisons de cette évolution a été la restructuration économique qui a commencé dans les années 1980 – y compris le ralentissement de la croissance des principales industries d'exportation qui n'étaient plus compétitifs sur le marché mondialet l'expansion de ces industries qui étaient concurrentiel, tels que l'électronique.
La crise financière asiatique de 1997-98 exposé les faiblesses de longue date dans le modèle de développement de la Corée du Sud. La crise de 1997-1998. avait ses propres particularités. Tout d'abord, par nature, il a été frappé par le marché des changes financière et à l'étranger, puis le champ d'application de prêts bancaires, marché boursier, et de financer l'économie réelle.y compris haute ratios dette / capitaux propres et emprunts massifs étrangers à court terme. La programme de relance économique prévoit des mesures de grande envergure dans le domaine du commerce extérieur et des finances publiques. On a commencé le processus de privatisation des entreprises publiques. La privatisation avait les objectifs suivants: privatiser immédiatement cinq entreprises d'État et six de plus d'ici à 2002. La Corée du Sud a adopté de nombreuses réformes économiques après la crise, y compris une plus grande ouverture à l'investissement et les importations étrangères. Ces mesures ont réussi et ont commencé une croissance croissance modérée à environ 4% par an entre 2003 et 2007. En 2004, la Corée du Sud est devenu l'un des économies nationales des milliards de dollars et est actuellement 14ème plus grande économie du monde [23]. Initialement, un système de proches du gouvernement et des liens d'affaires, y compris les restrictions de crédit et d'importation dirigés, fait ce succès. Le gouvernement a favorisé l'importation de matières premières et de la technologie au détriment des biens de consommation, et a encouragé l'épargne et de l'investissement sur la consommation. L'exportation de la Corée du Sud porté par l'économie a été durement touchée par la crise économique mondiale de 2008, mais a rapidement rebondi dans les années suivantes. Pour surmonter avec succès la crise et ses conséquences la Corée du Sud a identifié un certain nombre de mesures importantes pour assurer l'économie avec des matières premières et des sources d'énergie.
L'accord de libre-échange entre la Corée du Sud États-Unis a été ratifié par les deux gouvernements en 2011 et a entré en vigueur en Mars 2012. L'International Trade Commission américaine estime que la réduction des droits de douane coréens et des contingents tarifaires sur les marchandises uniquement ajouterait à 12 dollars au Produit Intérieur Brut annuel des États-Unis et jusqu'à 11 milliards de dollars en exportations annuelles de marchandises vers la Corée du Sud. Conformément à l'Accord KORUS (Accord sur le commerce des États-Unis-Corée du Sud), plus de 95 pour cent des échanges bilatéraux de produits industriels et deviendrait en franchise de droits dans les cinq ans suivant la date de l'accord entre en vigueur, et la plupart des droits de douane restants serait éliminé dans les 10 ans. Depuis de nombreuses années le plus grand acheteur de produits coréens était les États-Unis, qui représentaient plus d'un tiers de toutes les exportations coréennes, puis vint le Japon et la Communauté européenne. Les entreprises coréennes ont continué à chercher de nouveaux marchés pour leurs produits et ont fait le volume des ventes importantes avec Canada, Hong Kong, Australie, Amérique latine et dans les pays du Moyen-Orient.Tout au long de 2012, l'économie a connu une croissance en raison du ralentissement du marché aux États-Unis, la Chine et la zone euro.
La nouvelle administration en 2013, après l'élection présidentielle du Décembre 2012, est susceptible de faire face aux défis, d'équilibrer la forte dépendance sur les exportations avec le développement des secteurs domestiques orientée, comme les services. Les points les plus importants de la nouvelle politique économique est :
augmenter l'aide financière pour soutenir un environnement d'affaires, en particulier pour PME, en créant un fonds de garantie de crédit, prolongeant les délais de paiement fonctions, de fournir aux entreprises de capital d'urgence en difficulté;
la revitalisation des transactions immobilières en abaissant les impôts fonciers sur une période limitée.
stimuler les exportations en accordant des prêts pour la production à l'exportation et utilisation plus efficace des accords de libre échange.
L’évolution de la croissance économique de la Corée du Sud peut être observé en étudiant la figure 2.3. L'évolution du PIB par habitant à Corée du Sud.
Fig.2.3. L'évolution du PIB par habitant à Corée du Sud [23]
La culture managériale coréenne est l’une force motrice qui a influencé l'économie du pays. L’auteur a observé pendant le stage que l’une des caractéristiques principales des Coréens est "pali-pali" qui se traduit par “plus-vite” ou “dépêches-toi”. Le terme “pali-pali” peut décrire le développement économique de la Corée du Sud. Si la Corée du Sud a pu surmonter les handicaps cumulés de l'histoire et de la géographie, elle le doit à la singularité de sa culture. Les mesures importants dans l'évolution continue de l'économie coréenne ont eu les plusieurs facteurs (la culture, la société, l'État, etc.) qui a rejoint et a contribué au développement du pays. Le facteur humain influence dans tous les domaines, pas seulement sociale, mais aussi économique. La culture d’un pays influence non seulement l'environnement intérieur mais aussi à l'extérieur de l'entreprise. La culture de gestion dépend de la culture propre à chaque pays, et elle est influencée par des caractéristiques culturelles qui diffèrent d'un pays à l'autre.
La République de Moldovie est devenue indépendante de l'Union soviétique en 1991. La transition du socialisme à l'économie de marché en Moldavie a duré trop longtemps, couvrant près de dix ans. Après l'indépendance, la Moldavie a entrepris des réformes structurelles ambitieuses visant à la transition vers une économie de marché. Malgré les difficultés économiques en continu, la Moldova a été engagé pour le programme de réforme économique soutenu par des institutions internationales comme l'Union européenne, la BERD, la Banque mondiale et le FMI. Les politiques de réforme ont visé essentiellement à la stabilisation macro-économique, la libéralisation et la privatisation. Cependant, malgré de nombreux efforts et quelques signes plus récents d'une reprise modeste, l'économie moldave a échoué à prendre de l'élan significatif. Depuis le début des années 1990, la Moldavie a connu une baisse continue de son produit intérieur brut (PIB) avec des taux de croissance du PIB réels négatifs presque chaque année de la décade.
L’économie moldave a commencé à croître dans les années 2000. La croissance en République de Moldova pendant 2000-2010 peut être principalement attribuable à une augmentation de capital.. Il y avait augmenté en moyenne de 8,2% par an, ce qui est un taux assez élevé, mais encore insuffisante [23]. Il a été enregistré une réduction du taux de croissance du PIB. La crise économique mondiale a considérablement assombri les perspectives immédiates de Moldova. Le développement de l'économie nationale a été affectée par un certain nombre de facteurs externes. Ces conditions météorologiques défavorables inclus, l'interdiction de l'exportation de certaines marchandises à la Fédération de Russie, couplé avec un accès limité à d'autres marchés d'exportation, l’augmentation des prix des ressources énergétiques importées de Russie, et une hausse significative des prix des ressources énergétiques sur autre monde marchés. Cela a conduit à une détérioration des indicateurs macroéconomiques.
En 2009, la Moldavie a connu un déclin économique de 6,5%, mais 2010 a particulièrement bonne croissance de 6,9%. En 2012, le PIB réel a diminué de 0,8% et la Moldavie entrée en récession au second semestre de l'année[23]. L'économie a été frappée par deux chocs: ralentissement de la demande extérieure et une grave sécheresse. Crise dans la Zone Euro a conduit à une demande plus faible pour les exportations et les envois de fonds de l'Europe. En 2013 presque toutes les activités économiques ont eu des progrès. L'inflation a été modérée et a noté l'augmentation des revenus, nombre d'employés et de réduire le nombre de chômeurs. L'état actuel de l'économie nationale est marquée par l'existence de déséquilibres sectoriels profondes causées par le retard de l'agriculture, la taille des industries de première transformation, l'aggravation des problèmes d'énergie, l'utilisation irrationnelle et inefficace des ressources naturelles et humaines et le détournement de l'activité économique de son but social [6, p. 3].
Un facteur négatif affectant l'évolution économique du pays est la corruption. La corruption produire la diminution des finances publiqueset des investissement, l'évolution négative du marché intérieur. On peut être regardé l'évolution économique de la Moldavie par l'étude de la figure 2.. L’évolution du PIB par habitant à Moldovie.
Fig. 2.4. L’évolution du PIB par habitant à Moldovie [23]
En analysant la figure 2.2 l'auteur est venu à croire que l'évolution de l'économie de la Moldavie est instableet l'économie du pays est facilement influencée par les fluctuations sur le marché mondial. Les causes d'une telle situation sont nombreuses et complexes. Selon l'opinion des entreprises, des investisseurs, des experts, des organisations financières internationales, les organisations non gouvernementales, et sur la base des études menées jusqu'à présent, ces causes peuvent être résumées: la petite économie peu touche locale, les ressources naturelles limitées, des infrastructures physiques et sociales sous-développé, les politiques économiques instables, le climat des affaires défavorable, le manque de confiance dans la justice, et dans certains cas insuffisante connexion système éducatif aux besoins du marché, de l'environnement de l'entreprise monopolistique, l'inflation, la corruption, la migration de la population d'âge actif, la dépendance énergétique des fournisseurs, question de la Transnistrie.
Les envois de fonds sont venus à dominer la vie économique de la Moldavie. Les envois de fonds jouent un rôle essentiel dans le financement de la consommation des ménages, qui a une part de PIB de plus de 90% depuis 2005, qui détermine la dynamique de l'économie nationale. La Moldavie est parmi les leaders mondiaux part de ces flux au PIB est l'un des plus grands dans le monde.Un autre facteur négatif qui affecte toutes les sphères d'activité est l'inflation. Au cours de l'existence de la République de Moldavie en tant qu'État indépendant, l'inflation a été un défi majeur pour l'économie. Le phénomène économique particulièrement intense se manifeste dans la phase précoce de l'existence de la République de Moldova. Avec l'introduction du Leu, la situation s'est améliorée et les tendances des prix se sont stabilisé et ne pas dépasser un niveau de 13%, à partir de 2001.
Les caractéristiques culturelles moldaves influent également sur la culture managériale, ainsi et l'économie du pays. Pour décrire la culture de gestion de la Moldavie, l'auteur a utilisé le rapport de G. Hofstede sur la Roumanie, parce que le peuple moldave ressemble beaucoup au peuple romain, avec la même langue et l'histoire. Pour crée une image des caractéristiques culturelles des Moldaves, l’auteur a utilisé l’analyse du G. Hofstede[10, p. 179] et son expérience. Les Moldaves acceptent un ordre hiérarchique dans lequel tout le monde a un endroit et qui ne nécessite aucune autre justification. L’hiérarchie dans une organisation moldave est considérée comme reflétant les inégalités inhérentes, la centralisation est populaire, subordonnés s'attendent à être dit quoi faire et le patron idéal est un autocrate bienveillant. La Moldavie est une société collectiviste. On manifeste un proche engagement à long terme de «groupe» de membre, que ce soit la famille, famille étendue, ou des relations étendues. La fidélité dans une culture collectiviste est primordiale, et sur-monte la plupart des autres règles et règlements de la société. La société favorise les relations fortes et elle prend la responsabilité de chacun d'où les autres membres de leur groupe. Dans la société moldave l’infraction conduit à la honte et la perte de la réputation, la relation employeur / employé a perçu les relations en termes moraux (comme un lien de parenté), l'embauche et les décisions de promotion de tenir compte de l'employé de en groupe, la gestion est la gestion des groupes.
La Moldavie est considérée comme une société relativement féminine, les gestionnaires s'efforcent de consensus, les gens apprécient l'égalité, la solidarité et la qualité de leur vie de travail. Les conflits sont résolus par le compromis et la négociation. Des mesures incitatives telles que le temps et la flexibilité libre sont favorisés. L'accent est mis sur le bien-être. Les Moldaves ont une très forte préférence pour éviter l'incertitude. Les pays présentant une forte évasion incertitude maintenir codes rigides de la croyance et le comportement ou les idées peu orthodoxes sont intolérants. Il ya un besoin émotionnel des règles. La culture moldave est retenue et a des restrictions et une tendance au cynisme et le pessimisme. De plus, contrairement aux sociétés indulgents, societé moldave ne mettent pas l'accent sur le temps de loisirs et les Moldaves contrôlent la satisfaction de leurs désirs.
L’auteur a passé son stage dans une organisation moldave, le Centre de Langue et Culture Coréenne „Se Jong”créé en 2008, qui est une organisation qui représente la Corée du Sud et pendant le stage au centre l’auteur a observé la culture de gestion et a analysé le livre du Lee Myung-Bak „Le Miracle”. Le Centre „Se Jong” a adapté la culture de gestion coréenne à l'environnement dans lequel il active. L'environnement de l’activité du centre est instable, seulementgrâce aux particularités de la gestion, le centre a réussiàorganiser le travail du centre, améliorer les relations entre la Corée du Sud et la République de Moldovie, mener un grand nombre d'activités culturelles, établir une coopération entre la Moldavie et la Corée du Sud en matière de technologies de l'information, éducation, culture, etc. Les réalisations du centre sont les résultats d’une culture managériale efficace.
Grâce au Centre „Se Jong”, les relations entre la Moldavie et la Corée du Sud se sont améliorés. Les réalisations de centre de la promotion de la langue et de la culture coréenneà Moldavie ont été constatées plusieurs fois par l'ambassade de Corée du Sud à Kiev (annexe 2). En 2013 a été créé le Consulat Honoraire de la République Corée du Sud dans la République de Moldova. Cet événement s'est produit grâce à l'implication du centre dans ce processus. Le Centre „Se Jong” a contribué à l'amélioration des relations entre la Moldavie et la Corée du Sud dans l'informatique. Un résultat de l’activité du Centre „Se Jong” est la création de l’organisation gouvernementale : „ Moldova – Korea Information Access Center”, qui a la mission de créer une opportunité d'accéder à des informations et des formations au public qui peut bénéficier de l'information, augmenter la culture informatique des technologies informatiqueset de promouvoir la cooperation en les technologies informatiquesentre la Moldavie et de la Corée du Sud. Ce centre a été créé en don du Gouvernement de la Corée du Sud pour la Moldavie. Le Centre „Se Jong” a de nombreux partenaires importants: entreprises coréennes opérant en République de Moldova (LG, Samsung etc), universités de Corée du Sud, l’Ambassade de Corée du Sud à Kiev, Consulat honoraire de la République de Corée du Sud en Moldavie, universités de la Corée du Sud, Ministère des relations extérieures de la Moldavie et autres (annexe 3).
Selon l’opinion de l’auteur, le système de gestion, même si n’est pas développé, mais il est bien organisé. Le seul problème du centre est le siège du centre, qui d'après l’auteur, a une petite surface. Le Centre „Se Jong” doit avoir son propre siège, bâtiment séparé de l'ULIM ou une surfacedisponible plus grande à l’ULIM. Le centre n'a pas de proches concurrents parce qu’il est la seule organisation offrant une telle gamme de services et il a des relations avec la Corée du Sud. Le centre est le pont qui relie deux cultures et deux pays. Le processus d'internationalisation se retrouve dans tous les domaines. Le centre „Se Jong” aide au ce processus. Lee Myung-Bak a dit:„L’internationalisation doit être approprié d’abord par le gouvernement d’état, avant de demander ce des entreprises ou de propre peuple. Le monde se rassemble dans un seul espace économique fondé sur les lois du marché unique. Le monde va de l'avant selon les principes économiques.” [22, p. 191].
Pendant le stage, l'auteur a étudié culture de gestion du Centre „Se Jong” et plusieurs d'informations sur la Corée du Sud et est venu à l'opinion que : les caractéristiques de la culture coréenne ressemble à celle de la Moldovie; l'histoire de la Corée du Sud et la Moldavie ont des similitudes; la manque de ressources naturelles et la dépendance des fournisseurs d'énergie sont connus aux deux pays. Une différence importante est l'étatdu développement économique.
La Corée du Sud est un pays développé, la Moldavie est en cours du développement, l'un des pays les plus pauvres en Europe. Le Centre „Se Jong” peut servir d'exemple pour la Moldaviedans ses efforts pour promouvoir la culture moldave et établir de nouvelles relations avec les paysgéographiquement éloignés de la Moldavie. La Corée du Sud et la Moldavie, n’ont pas des ressources naturelles, les pays ont la surface des terres arables petite. La Corée du Sud a pu se développer et maintenant le pays aide d'autres pays à se developper, en créant de différentes institutions. Le gouvernement de la Corée donne de subvention, l'aide humanitaire, l'assistance technique, de formation et d'aide financière des institutions Moldavie par l'Agence Coréenne de Coopération Internationale – KOICA.
Le Centre „Se Jong” a remarqué une possibilité de collaboration dans les technologies informatiques, même si la Moldova est pas riche en innovations, la vitesse d'Internet est relativement élevé et les spécialistes de technologiesinformatiques ont un haut niveau de formation. Le Centre „Se Jong” a organisé diverses activités (séminaires, échanges d'expériences, cours d'informatique, etc) visant à améliorer les relations entre la Moldavie et la Corée du Sud dans le domaine des technologies informatiques. Le domaine detechnologies informatiquesest un domaine qui ne nécessite pas de ressources naturelles, la principale ressource nécessaires au développement du ce domaine sont les gens bien formés. La Moldavie a un grand nombredes spécialistes de l'informatique bien formés, mais on est nécessaire l’implication et du gouvernement pour aider à développer ce secteur. La coopération entre la Moldavie et la Corée du Sud dans le domaine des technologies de l'information et de la communication a été renforcée au cours de la visite du ministre Pavel Filip Séoul en Novembre 2011. En 2012 a été signé le protocole d'entente sur la mise en place du Centre de l'Information et de l'Accès (IAC), entre le Ministère des Communications et des Technologies de l'Information de la République de Moldova et l'Agence Nationale pour la Société d’Information de la République de Corée du Sud avec un investissement comune de plus de 200.000 $. Le Centre de l'Information et de l'Accès (IAC) est un centre polyvalent qui se compose d'un hall d'accès public à Internet, laboratoire informatique de formation et une salle de conférence. La mission est d'assurer la formation des résidents, des étudiants et des employés du secteur public afin de réduire la fracture numérique et le développement de la société de l'information. Les technologies intelligentes peuvent être le moteur du développement d'un pays et contribuer directement à l'amélioration du niveau de vie des citoyens. La signature du protocole de coopération entre la Moldavie, la Corée du Sud et le Centre de Culture et de Langue Coréenne "Se Jong" pour la création du Centre de l'Information et de l'Accès (IAC), est non seulement une étape vers le renforcement de la coopération entre la Moldavie et la République de Corée pour оffrir des conditions de formation aux technologies de l'information et de la communication, mais fournit également une plateforme pour le transfert de l'expérience de la Corée du Sud, le chef de file mondial dans le domaine informatique. Plus de 80 personnes ont appliqué à l’École d'été de la culture et langue coréenne lieu au Centre moldave-coréen.
Chaque année, près de 4 pays avec fort potentiel de dévelоppement informatique à l'échelle nationale sont sélectionnés pour mettre en œuvre un tel projet. Auparavant, les centres d'information et d'accès оnt été ouverts dans les pays voisins, la Roumanie et l'Ukraine. Le Centre moldave-coréen a été établi pour une période initiale de quatre ans, sur la base d'un protocole d'entente entre le ministère des Cоmmunications et des Technologies de l'Information de la République de Moldova et l'Agence Nationale pour la Société de l'Information de la République de Cоrée du Sud (NIA), qui est un promoteur de la coоpération informatique entre les deux pays.
En Août 2012, le Ministère des Cоmmunications et des Technologies de l'Information et le Ministère de l'Administration Publique et de la Sécurité de la République de Cоrée du Sud оnt signé un protocole d'entente, qui fournit une assistance et des conseils sur la politique d'informatisation, le sоutien au développement et à l'applicatiоn de la stratégie «Moldova Numérique 2020». La stratégie «Moldova Numérique 2020» a été approuvé par le gouvernement le 19 Septembre 2013. La stratégie définit la vision et les objectifs pour le développement de la société de l'information en République de Moldova, d'identifier les contraintes, proposer des solutions, décrit les actions nécessaires, les étapes de mise en œuvre et définit le cadre de suivi et d'évaluation pour atteindre cet objectif. Le but du projet est de créer des conditions favorables pour le développement et l'utilisation du potentiel des technologies de l'information et de la communicationpar les institutions publiques, les entreprises et les citoyens avec une intervention minimale de l'État, mais avec un effet maximal. Avec l'atteinte des objectifs de la stratégie, en 2020 la Moldavie deviendra un pays avec une société avancée de l'information à l'utilisation des installations de TIC, un accès élargi à une infrastructure moderne de communications électroniques, le contenu numériqueriche des services d'information performantes aidera d'améliorer la qualité de la gouvernance, accroître la compétitivité économique et le bien-être de la population.
L’expérience de la Corée a conduit à la rédaction de la «Moldova Numérique 2020» et de l'équipe ministérielle compte toujours sur le support de la partie coréenne et de conseil dans l'application des dispositions du document. En 2012, quatre équipes de bénévoles Coréens (de l'organisation Korean International Volunteers) ont été en Moldavie pour offrir une formation en domaine informatique. Lors d'une visite en 2012, la délégatiоn coréenne hautement apprécié le rythme de développement de l'entreprise „CRIS „Registru”, et le niveau élevé de services rendus.
Le Ministère des Communications et des Technologies de l'Information a organisé en Décembre 2013 la visite d’un groupe d'experts de l'Agence nationale pour la société de l'information de Corée du Sud (NIA). Le but de la visite a été d’évaluer le secteur de la communication et technologies de l'information moldave et son aide au développement pour le bénéfice des citoyens. En discussion ont soulevé des questions de cоopération à long terme, l'aide et le soutien côté coréen. Toutefois, pour la nécessité de développer des outils pour la prévision et l'évaluatiоn, pour l'identification des zones à risque et pour l'élaboration de programmes et de stratégies, les experts coréens ont offert d'aider à fournir des informations et de l'expertise des communications dans le secteur de la technologie pour intervenir avec des solutions qui auraient un impact réel sur le développement de la société de l'information moderne.
Le développement d’un autre domaine qui aiderait à la croissance économique du pays est le développement de l’agriculture. Après la guerre civile, la seule richesse de la Corée du Sud était le peuple, le pays était détruit d’environ 90%. La Moldavie a de riches terres, le territoire de la Corée du Sud est couverte par environ 70% de mоntagnes. L’évolution de la crise alimentaire peut aider la Moldavieà développer, mais il est nécessaire de transformer la forme traditionnelle de l'agriculture dans un cadre moderne. La construction de serres pourrait aider l'agriculture en augmentant la productivité et en diminuant la dépendance des conditions météorologiques. La Corée du Sud est un leader mondial de l'innovation et de la construction de serres. Les membres du Centre pour le Dévelоppement des Affaires en Moldavie, avec un groupe d'hommes d'affaires moldaves ont été trouvés pendant 24 Avril to 9 mai 2011, en Cоrée du Sud, où ils ont participé à l'exposition internationale SEOUL FOOD 2011. Les hommes d'affaires moldaves ont fait de cette visite à l'invitation de l'Agence Cоréenne pour le Commerce et l'Investissement (court KOTRA), une institution gouvernementale, qui fonctionne sous les auspices du Ministère de l'Economie de la République de Corée et vise principalement à promouvoir le cоmmerce sud-coréen et l'investissement en Ukraine et en Moldavie. Le gouvernement coréen a fourni une somme de 15 milliards dollars pour aider dans le développement de l'agriculture en Moldavie et en Ukraine. Jusqu'à maintenant, peu d'agriculteurs moldaves ont utilisé cette mais.Toutefois, la délégation d'hommes d'affaires de la Moldavie a visité l'Institut National d'Horticulture en Corée, qui est financé à 100% des ressources du gouvernement. Portée des travaux de cet institut est de développer de nouvelles variétés et de nouvelles technologies pour la culture des légumes en serre. Les représentants de l'Institut ont manifesté leur intérêt à collaborer avec des partenaires de la Moldavie, de la coopération moldave en supposant la transmission aux nouvelles variétés et technologies pour augmenter les légumes dans des serres, développées par les horticulteurs Coréens.
En outre, les hommes d'affaires coréens sont intéressés à mettre leurs produits sur le marché moldave. Selon les estimations, certains produits coréens sont beaucoup mieux et moins chers que ceux vendus aujourd'hui sur le marché de la Moldavie, certains peuvent être vendus à un tiers des prix pratiqués les moldaves. Il s'agit généralement des technologies de l'eau que le traitement des eaux usées, la Corée du Sud est reconnue mondialement comme un des principaux fabricants de haute technologie dans le domaine du traitement de l'eau, récupération des eaux usées et des déchets. Le 9 Avril, 2014 a été organisé le Forum moldave-coréen: „L'application de technologies de pointe dans le secteur agricole de la Moldavie et l'amélioration de la qualité de l'eau. Perspectives pour le Développement”. L'événement a réuni des représentants de la délégation sud-coréenne, l’ Agence „l’Eaux de la Moldavie", le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, des enseignants et des étudiants de l'Université Libre Internationale de Moldova, qui a également accueilli le forum et le ministre de l'Environnement Moldave Gheorghe Șalaru.
Lors du forum ont été abordés plusieurs sujets, y compris l'importance du développement agricole par la protection des ressources de l’eau d'autant plus que les ressources de l’eau potable de la République de Moldova sont limitées et doivent être utilisées de manière rationnelle. Il est nécessaire de contribuer à la construction de systèmes d'approvisionnement avec l’eau et l'assainissement, à l'aide de nouvelles méthodes de traitement de l'eau. Les représentants de la Corée du Sud ont démontré de nouvelles méthodes permettant d'atteindre une meilleure qualité de l'eau après un traitement spécial. Ils ont annoncé qu'ils sont ouverts à coopérer avec la Moldavie dans l'application des technologies de pointe dans l'agriculture et dans l'amélioration de la qualité de l'eau. La problème de l'eau polluée en Moldavie est vieux et d'année en année est de plus en plus aiguë.
Au Forum moldave-cоréen sur "Application des technolоgies de pointe dans le secteur agricole de la Moldavie et les perspectives de développement. Améliorer la qualité de l'eau ", on a présenté les dernières techniques de traitement de l'eau en Cоrée du Sud. Les représentants de Corée du Sud ont manifesté leur intérêt à contribuer à résoudre le problème de l'eau polluée de la Moldavie. A cet égard, a été présenté une expérience unique. ont été prises par un pоt de trois litres d'eau dans plusieurs localités de la Moldavie, y compris Bic rivière et le lac Ghidighici. plupart d'entre eux l'eau était d'une couleur verdâtre, plein d'algues encore plus sombre. Après traitement de l'eau avec substances particulières, l’eau a retrоuvé sa cоuleur est devenue beaucoup plus prоpre et tоutes les impuretés оnt été en descendant.
Une autre technologie coréenne qui aiderait l'agriculture en Moldavie est une congélation rapide à 196 degrés Celsuis,cette technologie serait d'une grande aide aux agriculteurs moldaves. L'un des nombreux problèmes de l’agriculture moldave est le problème de la conservation des produits agricoles. La technologie de congélation rapide permet une longue conservation de forme, la couleur, l'odeur, le goût et même des éléments nutritifs. Ce qui permettra l'exportation de longues distances sans perdre la qualité des produits, et donc leur prix. La possibilité de transporter la production permettra aux producteurs locaux d'établir de nouvelles relations d'affaires et de se débarrasser de la dépendance des ses voisins, en particulier de la Russie, qui a une politique d'importation instable et qui dans le passé a causé de grandes pertes aux producteurs moldaves.
Le territoire moldave est petit, le Nord et un côté du Centre du pays est riche en terres noires, mais le Sud du territoire est pas fertile. Pour assurer la croissance économique du pays n'est possible que de moderniser l'agricultureet cultiver des légumes et des fruits sur le petit territoire de la Moldovie. Un économiste coréen a proposé une méthode de croissance économique, en valorisant la terre. Brièvement cette méthode consiste à cultiver de semences de légumes au Nord et sur un côté du Centre du pays, parce que ce territoire est fertile. Sur le territoire pas fertile plus efficacement est la construction d'entrepôts. La Moldavie est située entre deux grands marchés: l'Europe et la Russie. Une route internationale passe par la Moldavie: la Route Balkans, ainsi la construction de l'entrepôt dans une région où chaque jour est transporté d'un grand volume de marchandises serait raisonnable.
La terre de la Moldavie a toujours été convoitée par des étrangers qui présentent un intérêt particulier dans les terres agricoles fertiles. La popularité des terres et la croissance de la demande s'explique par leur fertilité et l'abordabilité. Bien que la lоi ne permet pas aux acheteurs étrangers à l'achat de terrains, il ya plusieurs façons de contourner les règles strictes. Toutefois , dans un avenir proche, on pas précisé l'ouverture complète du marché foncier en Moldavie. Les restrictions sont nécessaires afin d'éviter la spéculation foncière et le remembrement des terres dans les mains de groupes financiers. Néanmoins , dans notre pays, le marché de l'aménagement du territoire noir est en plein essor , ce qui permet aux étrangers d'acheter des méthodes illégales les tchernozems moldaves, notamment par le biais d'intermédiaires. Cette situation apporte des bénéfices financiers importants, mais selon les experts, à l'avenir, il pourrait avoir des conséquences imprévisibles.
Une autre façon de développement d'un pays est la formation de jeunes spécialistes, mais la formation de spécialistes qui pourraient concurrencer à l'échelle mondiale nécessite des investissements, de soutien de l'État, la mise en œuvre de nouvelles méthodes et de la coopération avec les pays qui peuvent servir d'exemple. L'éducation a contribué à la croissance d'un gouvernement démocratique de Corée du Sud. Il a produit les travailleur, les employés qualifiés qui ont amené un miracle économique dans une seule génération. Il a réaffirmé les valeurs traditionnelles tout en maintenant son engagement à la modernisation, la citoyenneté et la participation mondiale.
Le Ministère de l'éducation en collaboration avec le Ministère des Communications et des Technologies de l'Information tenu entre 7-11 Octobre un séminaire international intitulé "Les TIC dans l'éducation: développement et la coopération”. L'événement a réuni des représentants du ministère des TIC et le ministère de l'Éducation de l'e-transformation, des universitaires, des experts en TIC de la République de Corée et la République de Moldova, les professeurs de l'informatique. L'atelier a été organisé dans le but d'échanger les expériences et d'initier la coopération bilatérale avec la République de Corée pour mettre en œuvre les technologies de l'information et de la communication dans l'éducation. Un large éventail de la société coréenne reconnaît la nécessité de l'apprentissage continu comme un précepte pour l'amélioration sociale et économique. Au cours du séminaire, les experts ont partagé l'expérience coréenne dans le développement de l'e-learning: l'infrastructure des TIC dans l'éducation, cours en ligne, les laboratoires numériques, le concept Smart School. Actuellement, 70% du programme d'études de l'école dans la Corée du Sud est le e-learning et la part des technologies de l'information et de la communication dans l'éducation a enregistré une croissance annuelle.
L’objectif principal de la création du Centre de la Langue et de la Culture Coréenne “Se Jong” a été d'intensifier les relations bilatérales avec la Corée du Sud dans le domaine de l'enseignement supérieur. Les tâches du Centre “Se Jong” :
les échanges universitaires des étudiants entre la Corée du Sud et la Moldavie;
les échanges universitaires des enseignants entre la Corée du Sud et la Moldavie;
l'enseignement de la langue coréenne;
l'organisation d'événements culturels;
la mise en réseau avec des universités en Corée du Sud;
l'amélioration des relations avec les entreprises de Corée du Sud (annexe 1).
Le Centre de la Langue et de la Culture Coréenne “Se Jong” assure la coopération dans l'éducation entre la Moldavie et la Corée du Sud. Un autre résultat de l’activité du Centre „Se Jong” est la coopération avec les universités de la Corée du Sud (l’Université Sungkyul, l’Université Han Yang, l’Université Gimcheon, l’Université Chung Ang, l’Université du Transport), mais aussi avec les institutions gouvernementales de la Corée du Sud(l’Ambassade de Corée du Sud à Kiev, l’Agence Coréenne de Coopération Internationale(KOICA), Korea Trade-Investment Promotion Agency(KOTRA).
L’auteur croit que pour le développement économique et un état sain de la vie sociale et économique du pays, la corruption doit être détruit. Depuis la transition de la Corée du Sud à la démocratie en 1987, son économie a été dominée dans une large mesure par les grands conglomérats ou chaebols. Un certain nombre de cas d'entreprise de corruption ont vu le jour ces dernières années indique que le comportement de l'entreprise illicite est encore courante en Corée du Sud. Plusieurs sources indiquent que les grands conglomérats ont été impliqués dans l'évasion fiscale et la corruption. Cependant, contrairement à certains pays d'Asie de l'Est, la Corée du Sud s'est bien comporté dans la lutte contre la corruption dans les affaires. Pour améliorer les systèmes nationaux d'intégrité et d'éradiquer la corruption, le gouvernement coréen a poursuivi un vaste programme de lutte contre la corruption, la numérisation des services publics par le biais d'un e-gouvernance sophistiquée et d'établir un guichet unique pour réduire les possibilités de corruption. De nombreux hommes d'affaires et les fonctionnaires, y compris d'anciens ministres et anciens présidents, ont été reconnus coupables de corruption au cours des dernières années, parfois pour des infractions commises ans plus tôt.
L'environnement des affaires en Moldavie est parmi les plus difficiles de la région, avec la corruption généralisée au sein du gouvernement, la faiblesse de la mise en œuvre des lois et de la réglementation contraignante. Le gouvernement a suceeded d'adopter une loi anti-corruption et dans la création du Centre pour la lutte contre les crimes économiques et la corruption, qui a été remplacé par le Centre National Anti-corruption (CNA). Il ya eu plusieurs rapports au cours des dernières années au sujet de la corruption qui ont été accompagnés, par exemple, les arrestations de fonctionnaires des douanes et de la remise en cause des ministres du gouvernement.
Plus de la moitié des personnes interrogées de la Moldavie, de la fonction publique d'être corrompu, croient que les institutions publiques telles que les services de santé est corrompu et ils considèrent que la corruption a augmenté au cours des dernières années. Le pouvoir judiciaire est corrompu. C'est ce que les moldaves pensent, selon une enquête menée par Transparency International. Toutefois, les répondants ont déclaré que plus souvent des pots de vin aux policiers, aux enseignants et aux médecins. Selon l'enquête, au cours des 12 derniers mois est venu principalement des paiements informels à des agents de police, les enseignants et les médecins. En outre, les Moldaves payer les frais non officiels pour le contrôle technique des voitures, mais aussi pour leur enregistrement. Ils donnent des pots de vin et les coutumes, et dans les tribunaux. Pendant ce temps, les hommes d'affaires donnent des pots de vin dans les établissements scolaires. Les hommes d'affaires reconnaissent que donner des pots de vin et de la police et des douanes. Ils paient pour la délivrance de permis de construire, la poursuite et Sanepid . Selon l'enquête, les gens d'affaires paient le plus souvent dans la cour, en moyenne 4550lei.
Les discussions récentes sur la société civile diffèrent de ceux qui les ont précédés; la société dans son ensemble est considérée comme une sphère en trois dimensions: le gouvernement, le marché et la société civile. La société civile travaille pour la sphère publique qui est coincée entre le gouvernement et le marché. Étant donné les circonstances, les gouvernements coréens dernières ont exercé divers efforts pour faire face à des problèmes de corruption. Une série de mesures et de lois par les administrations passées ont fourni les fondements institutionnels pour prévenir la corruption. KICAC a été créé en Janvier 2002, conformément à la loi anti-corruption adoptée en 2001. C'est une autorité anti-corruption coréenne d'envergure nationale qui est à la fois complète et indépendante dans la nature. Depuis le 6 Juin 2002, dans la République de Moldova a été établi corps de l'application de la loi, spécialisée dans la lutte contre la criminalité économique et fiscale et la corruption – Centre pour la lutte contre les crimes économiques et la corruption. Le Centre National Anti-Corruption (CNA) de la Moldavie était formé à 1 Octobre 2012 comme une structure indépendante, soumis uniquement à la loi. Cependant, les convictions anti-corruption du gouvernement et d'un cadre institutionnel par eux-mêmes ne peuvent pas complètement éradiquer la corruption. Sans surveillance et le contrôle continu de la part de la société civile, on ne peut pas retrouver déçus par les résultats des efforts de la lutte contre la corruption.
On est nécessaire de construire un système multi-surveillance afin de prévenir la corruption. Étant donné que les influences politiques et paternalisme, y compris le népotisme et le copinage, continuent de prospérer dans la société moldave, la lutte contre la corruption ne devraient pas être exclusivement assurée par un organisme particulier. En Cоrée du Sud les groupes de la sоciété civile demandent maintenant plus de mesures pоur prévenir la corruption. Les exemples de mesures de lutte contre la corruption coréens devraient être appliquées en Moldavie incluent: le système d'assignatiоn des résidents, par lequel les habitants d'une prоvince peuvent convoquer le chef du gоuvernement local; promulgation de la loi de divulgatiоn d'informatiоns; la protectiоn des dénоnciateurs renforcé; le système de persоnnel plus transparent dans le gоuvernement et élargissement du champ de la cоmmunication administrative. On peut voir l'évolution du taux de la corruption et de l'efficacité des mesures prises pour lutter contre la corruption en Moldavie et en Corée du Sud, en analysant le figure 2.5. L’évolution des taux de corruption en Moldavie et en Corée du Sud.
Fig. 2.5. L’évolution des taux de corruptionà Moldavie et à Corée du Sud [23]
Le score de 10 indique l'absence de demandes de pots-de-vin et celui de 0 une corruption systématique. Depuis 1995, l'ONG Transparency International publie chaque année un indice de perception de la corruption (CPI) classant les pays selon le degré de corruption perçu dans un pays. L'indice est élaboré à l'aide d'enquêtes réalisées auprès d'hommes d'affaires, d'analystes de risques et d'universitaires résidant dans le pays ou à l'étranger.
Dans un sondage qui demandant les hommes d'affaires étrangers en Asie sur le niveau de la corruption dans leurs marchés, la Corée du Sud a été perçu comme au moins deux fois aussi corrompu que Singapour, au Japon, en Australie ou Hong Kong. Ceux qui ont un niveau de corruption élevé que la Corée du Sud comprennent l'Inde, l'Indonésie, les Philippines, le Vietnam, le Myanmar, le Cambodge et la Chine. La Corée du Sud s'est classé 2e en Asie dans la catégorie de la corruption des entreprises et peines légères pour les délinquants. La société coréenne dans le passé a influencél'apparition de la corruption dans le pays et maintenant elle donne son aide à la lutte contre la corruption.
Le développement économique ne peut pas être réalisée sans le développement de l'industrie. La pratique de la nouvelle politique industrielle a conduit à l'équilibre progressif de l'offre et de la demande pour les produits et services dans tous les pays qui avaient l’économie de type soviétique [1, p. 73]. L’industrie moldave n'est pas développé. Le conflit avec la Transnistrie a eu un effet significatif sur ce secteur depuis toute la production de machines électriques, transformateurs de puissance, les conteneurs de gaz, les usines de l'ardoise, 95% des tissus de coton, 87% de l'électricité et une grande partie de l'industrie du ciment sont situés là.Après la séparation de la Corée du Nord et la Corée du Sud, le niveau d'industrialisation a été plus élevé en Corée du Nord, qu'il y ait les grandes établissements industriels. Aujourd'hui la Corée du Sud, possède l'une des industries les plus développées. La croissance du secteur industriel a été le stimulus principale au développement économique. Basé sur la conviction que l'avenir du pays réside dans la culture des ressources humaines et la promotion de la science et de la technologie, le gouvernement a lancé le Ministère de l'Éducation, de la Science et de la Technologie le 29 Février 2008.Le nouveau gouvernement a inauguré en 2013 a adopté le terme de l'économie créative, qui se réfère à la création d'une nouvelle industrie en intégrant les secteurs liés aux sciences de la diversité des secteurs industriels existants. Le nouveau gouvernement a lancé le Ministère de la Science, les TIC et la Planification Future pour promouvoir l'investissement concentré dans, et le développement de la science et de la technologie. Le personnel est l'élément le plus sensible et la plus dynamique de l'organisation de la production. Le personnel est une unité du parti employés qui se joignent à l'organisation en fonction de certains principes et fonctions dans son rythme du cycle de vie[5, p. 207].
L'une des caractéristiques de l’économie coréenne est de l'orientation à long terme. Les entreprises coréennes pensent non seulement aux bénéfices, mais pour assurer les besoins à long terme des gens, ce qui a contribué à la longévité et à la prospérité des chaebol coréens. Les entreprises moldaves sont plus axés sur le profit, mais la planification à long terme est à l'arrêt à cause de l'environnement instable dans lequel les entreprises opèrent[3, p. 123]. Les entreprises moldaves ont besoin de se concentrer davantage sur les besoins de la population, afin de mieux s'adapter à la demande du marché. Les entreprises moldaves devraient commencer à planifier l'activité pour une période plus longueque actuellement. Mais les méthodes utilisées avec succès par une entreprise peuvent être inutiles ou même nuisibles à l'autre. Dans la gestion des petites et moyennes entreprises, il devrait être une diversité de méthodes de gestion [11, p. 177].
La Moldovie, aussi comme la Corée du Sud n'a pas beaucoup de ressources naturelles et doit exploiter son potentiel. La Moldavie a un riche potentiel de diverses matières premières animales et végétales, principalement pour l’industrie alimentaire, boissons, tabac, laine, cuir, cultures de graines oléagineuses et les herbes médicinals. Les terres productives et des conditions climatiques favorables donnent au pays un fort potentiel pour le développement de la production agricole très diversifié comme le principal fournisseur de matières premières et les industries de transformation des aliments, ainsi que la biomasse pour la production d'énergie à partir de sources renouvelables. La Moldavie doit construire l'entrepreneuriat constructive, qui d’après Efors S., est également employée avec succès de sorte qu’apporte des résultats tangibles ou intangibles importants – obtenir le produit ou le service qui assure la satisfaction de nombreux besoins humains [6, p.216].
La culture managériale qui prévaut dans l'économie de la Mоldavie est le plus souvent négative, ce qui affecte l'environnement interne et externe de l'entreprise[4, p. 156]. La chose importante est que certaines entreprises ne le vоit pas et ainsi ne sachant pas la cause on ne peut pas résоudre le problème. La culture organisationnelle est déterminée par un système de croyances et de valeurs partagées par tous les membres d'une organisation qui est formé à l'intérieur d'elle et guider le comportement des employés à travailler ensemble et atteindre les résultats souhaités.
Les gestionnaires moldaves doivent s'adapter à des situations différentes, de sorte qu'ils doivent être préparés pour des situations de crise. Un aspect important dans la réalisation de programme anti-crise est la nécessité de la délégation au gestionnaire plus de pouvoirs en matière de la politique de prix, la politique de produit, de prendre des décisions sur la qualité du travail du personnel [12, p. 53]. L’État coréen est impliqué dans tous les domaines de l'économie, de détection et de contrôle de l'impulsion de l'économie, il aide les entreprises en crise. En Moldavie, l'utilisation d'un mécanisme législatif de la gestion des petites et moyennes crise a toujours été problématique. Tout d'abord, l'entrepreneur, agissant de leur propre et d'utiliser leur propre patrimoine, en essayant de gérer l'entreprise de sorte que dans des situations difficiles de ne pas en faillite [2, p. 123]. Les PME dans le développement économique des pays dans le monde et jouer un rôle irremplaçable. Tout d'abord, à accroître la vitalité du marché. Dans la plupart des pays, le nombre de PME dans la proportion du nombre total d'entreprises dans plus de 95%, le Royaume-Uni et la Corée du Sud 99,9%, ce qui rend les grandes entreprises ne peuvent pas manipuler arbitrairement le marché est propice à une concurrence loyale et d'améliorer la vitalité du marché. La deuxième est de fournir un grand nombre d'emplois. Dans la plupart des pays des PME ont fourni près de 50% des emplois, comme les États-Unis 53%, Allemagne 78%, la Corée du Sud 87,7% des emplois proviennent de petites et moyennes entreprises.
Lee Myung-bak a déclaré que les Coréens travaillent dur parce qu'ils étaient nés dans un pays pauvre et pour rattraper les pays développés les Coréens ont dû travailler plus comme les gens de ces pays, ils ont dû travailler quand les gens dans les pays développés se reposaient. Les Moldaves doivent travailler ensemble, avec diligence, honnêtement, étant entendu que chaque personne est importante.
CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS
L’auteur a analysé les concepts théoriques sur la culture de gestion, la situation de la Corée du Sud et Moldavieet a formulé les conclusions suivantes:
la culture managériale peut être un levier pour influencer la culture organisationnelle et la performance de l’entreprise;
la culture managériale dans son ensemble représente les valeurs, les normes, les comportements des gestionnaires ;
la Corée du Sud est une société légèrement hiérarchique, collectiviste, féminine, pragmatique, retenue, pas indulgente et avec l’un de le plus haut niveau d'incertitude dans le monde ;
la succession basée sur la parenté dans la Corée du Sud a conduit à l’apparition de la structure «chaebol» («entreprise familiale»);
les gestionnaires coréens s'attendent à ce que leurs instructions seront respectées et ils peuvent démontrer une préoccupation pour les employés qui va au-delà du lieu de travail et des préoccupations strictement professionnelles ;
le style de gestion des conflits préféré par les Coréens est le compromis, la collaboration et ‘accomodation style’ ;
en affaires avec les Coréens, on est important de maintenir un degré de formalité et la sensibilitéinterculturelle est essentielle;
la volonté des Coréens pour le changement est faible, ce qui signifie qu'il est difficile de faire changer les choses et les projets doivent être soigneusement analysés à chaque étape de la façon de s'assurer que tous les risques ont été évalués et compris ;
les Sud-Coréens sont ouverts à l'adoption des concepts occidentaux de la gestion;
les employés s'attendent à des entreprises et leurs dirigeants, d'être paternaliste, les styles de gestion sont une combinaison du confucianisme et le comportement de l'Ouest, selon l'éducation et les antécédents de la personne ;
dans les entreprises avec la culture de gestion de l'Ouest, les propriétaires et les gestionnaires sont bien différenciés une fois que l’entreprise se développe, dans les entreprises de type « chaebol » le propriétaire et sa famille sont impliqués dans les activités quotidiennes de gestion ;
la Corée du Sud au cours des quatre dernières décennies a montré une croissance incroyable et l'intégration mondiale pour devenir une économie industrialisée de haute technologie ;
les sources du développement économique réussi de la Corée du Sud sont le gouvernement, le marché et les Coréens ;
la culture managérialecoréenne est l’uneforce motrice qui a influencé le developpement économique du pays, la créationpays uni et stable ;
en analysant le développement économique et les particularités de la Corée du Sud, on peut être créé des stratégies pour le développement de la Moldavie parce qu’il y a des similitudes entre la Corée du Sud et la Moldavie.
les domaines qui ont besoin d'ajuster le modèle Corée du Sudà Moldavie, en coopèrent avec la Corée du Sud sont: TIC, l'éducation, l'agriculture, l'industrie, la lutte contre la corruption.
Les recommandations. Le seul problème du centre „Se Jong” est la petite surface où il active, et pas sa culture de gestion. En utilisant l'exemple de la Corée du Sud peut faire des recommandations pour le développement de l'économie de la Moldavie. La Moldavie doit valoriser les ressources détenues: la terre, les personnes, la situation géographique, les partenaires, les particularités culturelles. Dans l'agriculture, l'auteur soutient l'idée de produire des semences à l'exportation et à construire des entrepôts sur les terres pas fertiles, mais pas être réduite le volume de produits agricoles (raisins, tabac, fruits et légumes biologiques pur) qui apportent des avantageset assurer l'approvisionnement alimentaire du pays.
Le secteur qui a un besoin de la modernisation indispensable est TIC. La modernisation du secteur des TIC permettra de réduire la corruption, améliorer l'éducation, améliorer la qualité des services publics, d'accroître la transparence des activités gouvernementales. La Moldavie doit créer un environnement stable dans l'économie et la politique, pour inspirer confiance aux investisseurs étrangers. La lutte contre la corruption doit être présent dans tous les domaines d'activité, en impliquant même et les gens ordinaires.
Pour qu’une nation à se développer, tous doivent travailler ensemble. Les gens ont besoin de respecter et d’aimer leur pays, leur langue, leurs traditions, ils doivent être patriotes. Dans la croissance économique, la Corée du Sud a été aidé par les Etats-Unis de façon permanente. La Corée du Sud a assimilé tous les bons exemples des pays développés en les appliquant et en les adaptant aux ses critères. Après avoir atteint des pays développés, la Corée du Sud a commencé à se diversifier et construire son propre chemin. La Moldavie est constamment aidé par l'Union Européenne et d'autres partenaires, elle doit exploiter au maximum ces relations et une fois qu'elle atteint un niveau satisfaisant, la Moldavie doit préparer sa propre recette du succès.
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