III.1 Lhistoire de la lettre [621106]
III.1 L’histoire de la lettre
L’histoire de la lettre a commencée avec les messages et les actes qui ont été écrites
sur des tablettes d’argile ou des tablettes de bois qui ont été enveloppé de cire ou de papyrus.
L’histoire va continuer, même dans les premiers temps du christianisme , ou on peu trouver les
lettres pastorales. Cette correspondance sert à conduire et à informer les fidèles.
Il faut mentionner qu’en même temps dans les monastères, les lettres deviennent un outil
d’enseignement et d’apprentissage pour acquérir quelques nouvelles compétences
linguistiques. En 2100 avant J ésus Christ ont été apparu les premières lettres dans l’E gypte,
et dans lesquelles se parle des quelques problèmes économiques.
Au Moyen Âge , les échanges épistolaires restent le fait des marchands et des moines,
essentiellement. On écrit les lettres d’affaires le plus souvent en latin. Autour de l’an 1000,
des services de courrier ont commence à se développer avec la prospérité grandissante des
villes. Avec l’invention du papier et son parution en Europe en 1400, les lettres s’écrivent sur
des feuilles de formats divers et contrairement à aujourd’hui, dans le sens de la longueur,
n’étaient pas si longues comme aujourd’hui. Au Moyen Âge les lettres étaient plus courtes
que aujourd’hui.
Les lettres permettent à une personne d’avoir des dialogues personnel avec une autre
personne. Erasme de Rotterdam, qui a été un grand humaniste du nord de l’Europe, a
développé l’art de pouvoir et savoir adapter les lettre s à son destinataire dans ses propre s
correspondance s.
Les lettre s permet tent au lecteur de voir la réalité à travers de son propre regard . Le point de
vue des correspondants, leur caractère et les liens qui les unissent apparaissent en premier lieu
et: « la difficulté pour comprendre une lettre ne provient pas principalement de ce qui est
écrit, mais de ce qui n’est pas dit : qui est celui qui écrit ? Qui est le destinataire de la lettre ?
Qui est -il pour celui auquel il écrit ? Quel est l’objectif poursuivi par celui qui écrit ? »1
Les correspondances sont des relations entre des personnes qui sont souvent des
familiers ou des amis et leur dialogue peut -être intercepté par les lecteurs, plusieur s siècles
après qu’il y a lieu. Parce que les lettres restent pour toujours.
1 Biaux Alain, Raconter. Séduire. Convaincre. Lettres des XVIIe et XVIIIe siècles , Paris, Flammarion, 1998, p. 12
III.2 Le genre épistolaire
La lettre doit existence au roman épistolair e d’aujourd’hui . Le roman par lettres est
une forme romanesque qui utilise la lettre comme véhicule de la narration. Plusieurs écrivains
utilisent cet forme pour écrire les romans.
Au XVIIe siècle l e roman par lettres fut spécialement en vogue , mais aussi aujourd’hui il
est en vogue. Ce genre correspond alors à un besoin d’authenticité que satisfaisaient
également les romans sous la forme de mémoires. Le roman épistolaire est comme une
variante du roman personnel , comme un journal, incarnant une certaine technique de la
narration. L’ident ification entre le héros et le narrateur est essentielle pour comprendre tout
l’histoire qui se passe . On peut observe r la présence des dialogue s épistolaire entre les
personnages par lequel s le lecteur prend connaissance, en écoutant les monologues
épisto laires, de l’un ou de plusieurs d’entre eux.
Ce type de roman naît de la rencontre entre deux types de lettres : les lettres polémiques et
philosophiques parmi lesquelles Les Lettres provinciales (1656) qui est écrit par Pascal,
L’espion turc (1684) qui est écrit de Marana et les lettres amoureuses dont le modèle était la
correspondance d’Héloïse et Abérald, souvent traduite ou imitée à la fin du XVIIe siècle et
dont les exemples les plus connus sont le Roman de lettres ou Nouveau Roman qui était
composé de l ettres et billets (1667) et est par d’Aubignac et Les Lettres portugaises (1669) de
Guilleragues.
La composition du roman épistolaire révèle une double origine . On peut alors partir de l’idée
que le roman par lettres résulte du croisement de c es deux formes : la lettre qui impose une
structur e particulière de communication et le roman qui tente à modifier sa portée et sa teneur
en cherchant la voie de l’introspection et de la vraisemblance.
Écrire des lettres était à la mode dans la vie d’une société polie du ce temps , mais maintenant
la monde développe d’autre moyens de communication. On peut dire que les lettre s sont un
genre à existence cachée, qui devient, malgré la volonté de l’auteur, un genre littéraire. Et,
elles restent maintenant jus te dans la littérature, peu de personnes qui utilisent les lettres pour
communiquer.
Un exemple très fameux dans ce sens est celui de Mme de Sévigné, qui était une épistolière
passionnée et qui a passée sa vie à écrire des lettres à ses proches pour remé dier leur absence.
Mme de Sévigné est entrée dans la littérature sans le vouloir et ses lettres ont un caractère
intime. L’œuvre de Mme de Sévigné est due presque en totalité à son amour passionné pour
sa fille, dont elle partage les joies et les soucis av ec l’aide des lettres. Guez de Balzac est un
autre épistolier du ce siècle est qui a choisi le moyen de la lettre pour valoriser son talent
littéraire, pour prouver sa intelligence dans ce sens.
Les deux épistoliers illustrent donc, le même genre mais dans ses extrémi tés, c’est -à-
dire, d’une part les lettre s intime s, personnelle s, avec des écriture s spontanée s, qui sont
marquée s par l’originalité et d’autre part les lettre s littéraire s, publique s avec des écriture s
travaillée s, qui sont marquée par la rhétorique .
Le roman épistolair e est un roman du point de vue : en absenc e d’un narrateur. L’art
d’écrivain est dans l’agencement des lettres, qui donnent au x lecteur s, qui dis posent de
l’ensemble, la position privilégiée sur les personnages et les actions multiples qui le font
savourer quelques épisodes.
Parallèlement au roman de type traditionnel, Diderot nous a donné un exemple avec
Jacques le Fataliste . Ainsi, s e développe un genre qui connaît un grand succès, le roman par
lettres, dont Montesquieu, Jean Jacques Rousseau, Restif de la Bretonne, Laclos en France,
Richardson en Angleterre, Goethe en Allemagne sont juste quelques écrivains qui adoptent
cette structur e romanesque qui est riche, ouverte, complexe et multiforme et les raisons qui
ont conduit à l’épanouissement du genre en sont plusieurs.
Les romans prenaient souvent la forme de documents, de mémoires, de journaux et de lettres.
Parmi les romans français il faut signaler Les Lettres persanes (Montesquieu, 1721), La
Religieuse (Diderot, 1760), La Nouvelle Héloïse (Rousseau, 1761), Les Liaisons dangereuses
(Laclos, 1782) , Noël en Dé cembre ( Bernard Tirtiaux)
L’importance accordée à la correspondance peut expliquée l’i ntérêt extraordinaire
pour les romans épistolaires . On commence à écrire des lettres pour raconter, pour analyser
les sentiments et l es émotions, pour les faire partager, pour instruire, pour discuter de tout ce
que nous vo ulons.
« Le goût de la correspondance, l’intérêt qu’offre la diversité des points de vue, les
interrogations sur le pouvoir du narrateur, la passion pour l’analyse psychologique convergent
pour expliquer une floraison d’ouvrages qui ne répondent à aucun st éréotype, tout en
présentant un certain nombre de caractéristiques communes. »2
A la naissance de l’intime a contribue une pratique de l’écriture épistolaire p rivée qui se
développe de plus en plus. Il y a de plusieurs cas où les lettre s jouent un rôle qu i reviendra à
l’autobiographie ou au journ al intime.
Le roman épistolaire se compose de lettres de personnages différents, qui
correspondent entre eux et les lettre s participe nt à la construction d’un récit. D’une lettre à
l’autre, le s lecteu rs découvre nt quelques nouveaux faits, ou des versions différentes d’un
même événement.
La complexité d’un roman épistolaire est due à certains élémen ts qui sont spécifiques
pour le roman : les correspondance s doivent trouver ses justification s dans la séparation des
épistoliers ; les lettres doivent impliquer le destinataire , l’émetteur et le contenu ; elles
nécessitent aussi des ré ponses et des réactions à travers de quelles se mettent en place un
véritable réseau d’informations et de points de vue ; les éditeurs doivent être formels et parler
d’organisation ; le procédé de la lettre doit poser en jeu une double réalité, celle de
l’interprétation et celle de l’écriture; la réalité doit être accessible au lecteur qui a le privilège
de connaître la to talité des lettres, alors que chacun des personnages ne connaît pas que celles
lettres qu’il écrit et celles qu’il reçoit.
Noël en Dé cembre de Bernard Tirtiaux mêlent un roman d’amour avec les deux
guerres mondiales sur l a chronologie, les deux disparitions de sa femme aimé et les problèmes
sociales ou familiales qui parfois, on peut croire que lui dépasse.
La forme monophonique où une seule personne, une femme ou un homme , fait
entendre sa voix, est liée au genre poétique de l’h éroïde. Elle est représentée par Noël en
Décembre de Tirtiaux dans mon mémoire de licence.
Dans cet œuvre , l’intrigue tantôt s’étend sur quelques années. Elle peut intégrer plusieurs
histoires comme la grand e lettre de Noël pour sa belle sœur, sur toute sa vie, sur toutes les
actions, les deux Guerres Mondiales, les problèmes sociales, les sentiments ou suivre
exclusivement un fil narratif.
2 Décote George, Sabbah Hélène, XVIIIe siècle , Paris, Hatier, coll. « Itinéraires littéraires », p. 447
Souvent, dans le roman épistolaire, les héros, ne se rencontrent jamais, l’absence ou la
distance spatia le est de rigueur. Mais, dans ce roman ils se rencontrent au début et à la fin, il
est un peu différent.
« La fonction des romans par lettres ne se situe pas sur un plan strictement
romanesque : les intentions analytiques ou critiques sont évi dentes. Il n’est sans doute pas
étonnant que ce soit un siècle de littérature contestataire et “questionnante ” qui ait vu ce
genre se développer et atteindre une sorte de perfection. »3
Du point de vue de la technique on peut distinguer deux groupes de romans épistolaires: les
romans où le protagoniste peut conter son histoire à un confident , à une personne dans
laquelle il croit , ou les roman où il peut la vivre dans des lettres directement adressées à
l’antagoniste. La prem ière de ces méthodes peut s’appeler statique , passive ou indirecte et les
lettres ne servent que de véhicules au récit et ne font nullement avancer la trame.
Les réponses du confident n’exercent qu’une action indirecte sur les événements. La seconde
métho de peut s’appeler active ou directe car c’est au moyen des lettres que la trame se
développe et c’est par elles que les personnages se rencontrent et confrontent . Supprimant les
lettres, on supprime l’action contrairement au premier cas où on ne supprime q ue le récit.
III.3 L’application dans le roman Noël en Décembre
Noël en décembre, un roman par lettres de deux beaux frères, de deux amants, a été
inspirée à Tirtiaux par des circonstances extérieures et par les mouvements profonds de la vie
intime de sa propre vie et des propres histoires.
Le titre complet de l’œuvre Noël en D écembre a été publiées par Bernard Tirtiaux et
nous donne aussi des indices sur le fait que Tirtiaux nie avoir écrit sa lettre qui est datées et
localis ées dans le recue il et s’étale sur plusieurs années. Il prend même de distance par rapport
au style des épistoliers amateurs :
« Quiconque veut se résoudre à lire ces lettres doit s’armer de patience sur les fautes
de langues, sur le style emphatique et plat, sur les pensé es communes rendues en termes
ampoules ; il doit se dire d’avance que ceux qui les écrivent ne sont pas des français, des
beaux esprits, des académiciens, des philosophes, mais des provinciaux, des étrangers, des
3 Décote George, Sabbah Hélène, op. cit., p. 448
solitaires, des jeunes gens, presque des en fants, qui dans leurs imaginations romanesques
prennent pour de la philosophie les honnêtes délires de leurs cerveaux. »4
En sachant que le roman a prit sa source dans l’expérience intime et vécue de Tirtiaux, on
peut admettre que le succès de l’œuvr e s’ex plique par l’authenticité car les lecteurs ont en
face une vraie correspondan ce ou un récit autobiographique et non de fiction.
Noël en décembre est un exemple de roman moderne, et c’est que se passe dans le roman
moderne sont des événements et des aventures, mais plus important que les événements et les
aventures c’est l’impact dans l’esprit, dans l’âme des ces deux personnages, Noël et Luise, les
commentaires qu’ils font de ces événements et l’analyse des sentiments que ces événements
ont provoqué en eux. A mesure que le roman va avancer, il va certes conserver l’événement,
l’intrigue et il va donner une place de plus en plus importante à cette i ntériorisation de Noël et
il va donner aussi naissanc e aux événements psychologiques et aux événements émotionnels.
Le presti ge de ces modèles a donc fait d’un roman épistolaire une forme privilégiée pour
raconter une histoire d’amour authentique. La form e épistolaire fut choisie en quelque sorte
spontanément par Tirtiaux. Pour lui, le seul moyen de communication en amour c’est la lettre,
il n’a pas de question de parler d’amour autrement, et en plus, c’était une lettre pour so n
amour, pour décrire son amo ur, pour raconter tout les situation, il le voulait comme un
cadeau.
La rédaction du roman s’étend sur plusieurs ans et c’est clair que ce roman réflexe ce que fut
la vie intérieure de Tirtiaux pendant ces années.
On peut avoir quelques questions, par exem ple : Qu’est que se passe quand on écrit des
lettre s ? Quelle e st la fonction d’une lettre ? Les lettre s ont trois fonctions et ces fonctions
peuvent d’ailleu rs se contaminer. Une lettre peut avoir un but informatif, mais elle peut avoir
une deuxième foncti on, alors, bien au -delà d’une simple information, la lettre peut -être le
moyen et l’occasion pour son scripteur de s’exprimer, de laisser à lire se s sentiments.
La lettre de Noël est un véritable déluge, il s’agit pas seulement d es information s sèche et
ponctuelle, il s’agit d’un état d’âme qui s’expose, il s’agit d’un e âme qui essaie de se
découvre à un autre, on a donc là, une deuxième fonction qui est la fonction lyrique. Mais, on
va à découvre autre chose, c’est que la lettre est toujours et aussi un moyen d’action sur le
destinateur, la lettre est toujours un moyen d’agir, de penser, de manipuler et cela de plusieurs
4 Verrier Jean, Les débuts des romans, Paris , Bertrand – Lacoste, 1992, p. 86
manières. Les lettres du roman épistolaire sont le plus souvent des lettres clandestines. La
lettre clandestine induit la poss ibilité d’une complicité , mais dans ce roman sont juste les
lettres de Noël et quelque lettres de Luise, pas de problèmes, pas de complicité.
Noël en décembre est une histoire d’amour qui est inspiré d’un fait réel et qui a durée trente
années, de 1915 jusqu'à 1945, dans lesquels Noël a racontées tous ses passions, ses sentiments
et les évènements dans une longue lettre pour son amour, Luise. Les personnages pr incipales
sont Noël et Luise, et ils sont au début comme deux frères et à la fin ils finissent par être deux
amoureux. C’est le destin qui a fait se connaître, et non leurs désirs, leur volonté.
C’est passe durant les deux Guerres Mondiales, et les guerr es ont de conséquences dans la vie
de ces personnages. Mais, heureusement, à la fin, ils se retrouvent ensemble.
Dans la première partie de ce roman, Noel a commencé sa lettre pour Luise, quand lui a vu
pour la première fois, quand ils étaient juste des e nfants, Noël a commencé à écrire tout pour
elle, depuis son premier jour, comment elle est arrivée chez sa famille, comment se passé leur
première rencontre, leur premier jour ensemble, comment il a vu la situation et la différence
entre sa vraie sœur et L uise. Mais il n’arrête pas d’écrire, il continue de raconter ce que se
passent toujours dans leur vie, tous ses sentiments, toutes ses tristesses. Il lui a écrit aussi
de sa absence, quand elle a rentré chez sa famille, sa grande tristesse pour tout sa fam ille, dans
ce moment -là, ils se sentent plus proches que au début et cette première disparition lui a fait
beaucoup de mal. Il a commencé à grandir et à penser toujours a celle qui est sa plus aimé
fille mais aussi quand a commencé la Première Guerre Mond iale et c’était la deuxième
disparition, quand il ne savait rien de Luise, ni de sa famille. Il ne pouvait croire rien, ni
qu’elle est disparue, ni qu’elle est morte. Et la première partie finissent dans le moment
quand, après beaucoup des recherches, en fin, il a trouvé Luise. C’était le point ou a
commencé la deuxième partie. La première partie est parcourt de quelques années, aussi que
la deuxième.
La deuxième partie commence avec l’apparition de Luise, qui était absente pour une longue
période. Il l’a vu dans un film ou dans un vidéo et non face à face, mais il est heureux parce
que Luise vit et elle n’est pas morte. Son métier de journaliste lui a aidé beaucoup, parce que,
comme ça il pouvait entrer dans quelques lieux ou était interdite.
Ici a comme ncé une autre série de recherche, quand il l’a trouvée mais elle est mariée, il a
rencontre même son époux, et sa nouvelle famille. Il a rencontre aussi le père, la mère et les
frères de Luise. Sa vie devient comme au début. Il lutte pour faire Luise de re ntrer chez lui,
pour gagner son amour.
A la fin, Luise rentre chez son premier amour, même si dans un moment il ne croie plus
qu’elle reviendra. Mais le roman a un final heureux, pour touts les personnages.
En effet, le roman épistolaire a pour caractérist ique de raconter l’h istoire au moment où il se
passe, comme Noël, il raconte chaque jour, et tout ce qui se passe. Le présent ou le passé
proche sont seules en principe au centre des préoccupations des personnages, ils vivent le
présent.
La forme épistola ire apparaît pour Tirtiaux comme un moyen de parler avec lui -même, un
dialogue qui lui permet de penser, d’approfondir , d’analyser sans cesse ces vues sur l’ amour
et sur la joie , un dialogue ouvert qui lui permet d’exprimer sans être obligé de choisir les
contradictions intimes de sa personnalité, d’où l’ambiguïté si riche de la s ignification de ses
vues sur l’amour et sur la famille.
Les personnages ne sont pas des caractères au sens classique du terme, c’est -à-dire des
êtres susceptibles d’êtr e encadré dans une définition. Ce sont des êtres inséparables de nos
yeux, de la vie qu’ils ont vécus des actes qu’ils ont accompli.
Ainsi plus qu’une simple histoire d’amour, ce livre est un recueil des pensées,
concepts de Tirtiaux . Noël en Décembre a pu être défini comme une véritable histoire
d’amour dans laquelle les personnages principale ont passe par tout les mauvaises situations
possible dans une vie.
Le genre épistolaire permet l’alternation du dialogue amoureux . Après la rupture de
Noël, même Luise lui a écrit certaines lettres. Noël en Décembre de Tirtiaux remporte un
immense succès. Le roman fait l’éloge de l’amour qui reste vertueuse, en même temps qu’il
révèle les charm es d’une existence menée au sein d’une petite société vivant dans la vertu et
la transparence. Les personnages s’y abandonnent à la rêverie et aux sentiments les plus doux,
inspirés par la nature.
Les thèmes qui traversent l’œuvre de Tirtiaux sont : le thème de l’amour, de la guer re,
de la recherche de soi, de la apparition d’une nouvelle famille , de la disparition d’un
personnage, de la tristesse, de la fête de Noël , l’éducation, l’économie , la réligion .
Avec tout cela les deux thèmes qui dominent le roman sont : le premier, la passion de
l’amour et le second, la recherche de soi.
Tirtiaux exalte la passion et en montre le caractère irrésistible chez ces deux personnages qui
était un amour int erdit, on peux dire, à cause de leur statut et de leur but dans la vie. Leur vie
étaient different dans le moment quand elle est revenue chez sa famille. Malheureusement,
Tirtaiux n’y pas exploite toutes les ressources de la forme épistolaire. Il ne fait pas entendre
plusieurs voix en une polyphonie qui permet la confrontation des idées et des sentiments. La
lettre donne juste un point de vue des personnages et peut -être confession, celle de Noël, le
personnage le plus important. Les autres personnages ne sont pas si importante comme lui,
qui on peut dire que se trouve au centre de l’histoire a côté de Luise.
Tirtiaux continue dans Noël en décembre ce qu’il a fait dans ses autres œuvres. Le
roman est un genre qui doit avoir une fonction pédagog ique et instruire le lecteur. Les
sentiments des personnages importent be aucoup plus que leurs aventures de leur vies.
Les contemporains goûtent aussi dans Noël en décembre , non seulement l’histoire
d’amour malheureux au début mais heureux a la fin, mais aussi des problématiques sur les
sujets politiques ( les guerres politiques) et religieux (Luise était juive).
Dans Noël en décembre l’amour de Noel et de Luise est un amour difficile a
accomplir , mais i ls ne force nt pas leur coeur à choisir entre l’amour et leur démarche
professionnel.
Noël en décembre est un exemple de roman épistolaire moderne, c’est s e passe
dans un roman moderne quelques événements et aventures. Mais ce qui se passe et qui est
peut-être plus important que les événements et les aventures c’est le retentissement dans leurs
esprit, dans leurs âmes des personnages, les commentaires qu’ils font de ces événements et
l’analyse des sentiments que ces événements ont provoqué en eux .
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